Le Bloc Québécois à Glasgow pour la COP26 sur les changements climatiques

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 1e novembre 2021 La députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, se réjouit de la présence du Bloc Québécois à la 26e Conférence des Nations unies sur le climat, du 1er au 12 novembre, à Glasgow, en Écosse. Ce rendez-vous crucial pour l’avenir de la planète réunit des leaders et organisations climatiques de partout dans le monde. La porte‑parole du parti en matière de Changements climatiques, Kristina Michaud, y fera valoir les propositions climatiques du Bloc Québécois, notamment sur la nécessité de cesser le soutien gouvernemental aux énergies fossiles et d’appuyer la transition écologique par la finance verte, en incitant les banques à délaisser le secteur pétrolier et plutôt opter pour l’énergie propre, l’innovation et l’expertise des entreprises vertes du Québec.

Les attentes sont nombreuses à la COP26 alors que le dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) démontre que la planète est toujours sur la voie d’un réchauffement catastrophique malgré les belles promesses et ambitions des leaders politiques. Les experts estiment que pour limiter le réchauffement climatique mondial à 2°C, il faudrait réduire les émissions de GES de 25% d’ici 2030. S’il y a maintien des conditions actuelles, les experts prévoient que les émissions de GES sont en voie d’augmenter de 16% d’ici 2030. Un virage écologique et énergétique ferme et immédiat s’impose.

« Le Canada se targue d’être un leader dans la lutte aux changements climatiques, mais ses intentions n’ont jusqu’ici été suivies d’aucune action pour engager une véritable transition énergétique. La COP26 sera notamment l’occasion de lui rappeler les actions immédiates à mettre de l’avant afin d’atteindre les cibles qu’il s’est données en matière de réduction des GES. Ce sera également le baptême du feu pour le nouveau ministre de l’Environnement, Steven Guilbeault. Les attentes sont extrêmement élevées envers l’ex-militant et le Bloc Québécois compte bien lui faire part des priorités et propositions du parti en matière de climat », affirme Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

Transition énergétique et finance verte

Selon Mme Bérubé la première étape de cette transition énergétique est de renoncer à tout nouveau projet d’exploitation d’énergies fossiles, comme l’a récemment annoncé le Québec. Le Canada doit mettre un terme à tous les nouveaux projets d’exploration et d’exploitation des hydrocarbures. C’est ce que demandent les groupes environnementaux et c’est ce que propose le Bloc Québécois.

« Non seulement le gouvernement canadien doit cesser immédiatement de subventionner les énergies fossiles, mais il doit arrêter d’engloutir l’argent des contribuables dans des stratégies qui visent à allonger la durée de vie des sables bitumineux, comme les technologies non éprouvées de capture et de stockage du carbone et la stratégie de l’hydrogène gris du Canada. Pendant que le reste du monde parle de véritable finance verte, le Canada veut financer des projets qui allongent la durée de vie des sables bitumineux. Le vrai potentiel énergétique du Canada se trouve dans les énergies renouvelables », soutient Sylvie Bérubé.

Pour faciliter et accélérer la transition écologique, le Bloc Québécois propose de miser sur la finance verte en incitant les grandes banques canadiennes à se retirer des combustibles fossiles et à investir leurs actifs dans le domaine des énergies renouvelables. Le Canada a un bilan peu reluisant à ce niveau alors que les banques ont investi plus de 700 G$ dans les hydrocarbures au cours des dernières années. Le Bloc Québécois proposera de rendre les REERS et les fonds de pension verts plus attrayants que les fonds pétroliers afin de rediriger l’épargne vers le financement de la transition énergétique plutôt que le développement des hydrocarbures. Ce sont ainsi des dizaines de milliards $ qui seraient dégagés et qui s’ajouteraient au soutien de l’État pour accélérer le virage vert.

« La COP26 apparait comme l’occasion idéale de s’engager formellement dans l’action climatique. Le Canada a l’opportunité d’accélérer le virage écologique avec une finance verte, en poussant les banques vers l’innovation au Québec, créatrice de richesse à même notre énergie propre, notre savoir-faire, nos centres de recherche et nos entreprises. L’investissement dans les énergies vertes, comme le fait le Québec depuis de nombreuses années, est certainement une voie écologique porteuse pour notre avenir et celui du climat mondial », conclut Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

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Lynda Perreault         

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Sylvie Bérubé, porte-parole Famille, Enfants et Développement social

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 25 octobre 2021 – Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, accueille avec fierté ses nouvelles responsabilités de porte-parole pour le dossier Famille, Enfants et Développement social. Elle remercie son chef, Yves-François Blanchet, pour sa confiance.

Ce fut un honneur de défendre le dossier comme porte-parole des Affaires autochtones et du Nord pendant presque deux ans. Nous avons reçu des témoins au comité INAN et nous avons travaillé dans l’intérêt des communautés autochtones. J’ai même déposé une motion au comité INAN durant ce mandat, indique Mme Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou. Elle continuera à défendre les autochtones et les allochtones de sa circonscription.

Ce dossier aura plusieurs priorités ainsi que des engagements précis qui suivront le discours du Trône le 22 novembre prochain. C’est avec un immense plaisir que Mme Bérubé relèvera ce nouveau mandat et elle veillera au respect des responsabilités octroyées au ministre responsable.

Je saurai défendre ce nouveau mandat de porte-parole au dossier Famille, Enfants et Développement social et je m’engage à être à la hauteur des attentes tout en représentant la circonscription et les nombreux défis qui m’attendent », a conclu Mme Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

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Lynda Perreault         

Directrice de bureau

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Journée de la vérité et de la réconciliation 30 septembre 2021

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 29 septembre 2021 – Le 30 septembre, Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, est maintenant un jour férié commémoratif afin de nous permettre de reconnaître et de commémorer les séquelles des pensionnats autochtones. Cette journée est l’occasion de rendre hommage aux enfants disparus et aux survivants des pensionnats, leurs familles et leurs communautés.

« Il est important que cette journée ne devienne pas un simple congé, mais que tous et toutes en profitent pour avoir une réflexion et des discussions sur ce pan sombre de notre histoire », a déclaré Sylvie Bérubé, députée fédérale d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

Elle ajoute que de simples petits gestes, comme porter des vêtements orange ou encore placer un chandail orange, symbole de la dépossession de la culture dont ont été victimes les enfants autochtones pendant plusieurs générations, à une fenêtre démontreraient notre appui et soutien à la réconciliation.

Enfin, dans le sillage de la motion unanime élaborée avec les représentants autochtones que le Bloc Québécois a fait adopter lors de la dernière Journée nationale de peuples autochtones, Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou ajoute: « Mon parti et moi maintiendrons la pression sur le gouvernement fédéral pour que les communautés disposent de toutes les ressources nécessaires pour lever le voile sur la réalité historique des pensionnats autochtones et pour contraindre les églises à ouvrir leurs archives. »

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Lynda Perreault                                                             

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Un crédit d’impôt pour attirer les nouveaux diplômés en région

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 11 mai 2021 – Le Bloc Québécois a déposé vendredi dernier, aux Communes, le projet de loi C-295, loi modifiant la Loi de l’impôt sur le revenu pour favoriser l’attraction et la rétention des nouveaux diplômés en région. La mesure législative vise à accorder un crédit d’impôt à certains diplômés qui désireraient s’établir dans les régions éloignées des grands centres.


« Il faut trouver des moyens d’assurer la vitalité économique des régions du Québec et répondre aux besoins criants en main-d’oeuvre spécialisée. C’est ce que vient faire ce projet de loi. En incitant nos jeunes à s’établir en région par le biais d’un crédit d’impôt, on investit non seulement en une nouvelle génération de diplômés, mais aussi directement dans les milliers de petites et moyennes entreprises régionales, qui pourront plus facilement trouver la main-d’oeuvre qualifiée recherchée », ont soulignés Sylvie Bérubé députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou et Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue.


Le projet de loi C-295 prévoit qu’un nouveau diplômé pourra obtenir un crédit d’impôt fédéral allant jusqu’à 3000 $ pour les deux années suivant l’obtention de son diplôme en s’établissant dans une région désignée, pourvu que l’emploi corresponde à son champ d’études. Le gouvernement du Québec a déjà promulgué de telles mesures avec des résultats probants, puisqu’en 2016 seulement, plus 25 000 jeunes en ont profité.


« Québec le fait depuis 2003. Il est grand temps que le fédéral donne du sien et aille de l’avant avec notre projet de loi. C’est une mesure pleine de bon sens et qu’on sait payante pour les régions. Nous devons inciter nos jeunes diplômés à revenir dans leur région. Ils pourront donner un coup de pouce à la main-d’oeuvre récurrente. Nos diplômés seront fiers de participer à la croissance économique de leur belle circonscription. Ce projet de loi est la stabilité chez-nous ! », a ajouté Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.


Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que le Bloc Québécois propose un tel projet de loi : en 2008 et 2011, il avait par deux fois passé toutes les étapes législatives en Chambre, pour finalement être défait soit au Sénat ou par le déclenchement d’une élection.


« Le moins qu’on puisse dire est que nous sommes déterminés à aider les régions aux prises avec des difficultés d’attraction de main-d’oeuvre et offrir aux jeunes diplômés des emplois ailleurs que dans les grands centres. Si le projet de loi a passé le test en Chambre en 2008, puis en 2011, je suis persuadé qu’on peut changer les choses et finalement passer à l’action pour les régions du Québec », ont conclu Mme Bérubé et M. Lemire.
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Source :
Julie Ouellet Marie-France Beaudry
Adjointe aux communications Conseillère aux communications
Bureau de Sylvie Bérubé, Bureau de Sébastien Lemire,
Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou Député Abitibi-Témiscamingue
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Sylvie Bérubé soutient la FADOQ et déplore la création de deux classes d’aînés

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 10 mai 2021– Sylvie Bérubé députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, partage les préoccupations du Réseau FADOQ et de sa présidente Gisèle Tassé-Goodman, qui publié une lettre ouverte pour dénoncer la volonté du gouvernement Trudeau de créer deux classes d’aînés en excluant les 65 à 74 ans de toute augmentation de la pension de vieillesse.


« Le Bloc Québécois a été le premier parti à réagir à la perte de pouvoir d’achat des aînés en exigeant une hausse de la pension de vieillesse pour tous les 65 ans et plus. Nous martelons à chaque occasion qu’il faut soutenir tous les aînés et que les séparer en deux classes, comme le proposent les libéraux de Justin Trudeau, est une profonde injustice. Nous soutenons sans réserve la FADOQ et comme sa présidente, nous exigeons qu’Ottawa rectifie le tir au plus vite en augmentant la pension dès 65 ans. Parce qu’il n’y a pas deux classes d’aînés et parce que nous le devons aux bâtisseurs et bâtisseuses du Québec » a déclaré Mme Sylvie Bérubé.


Le Bloc Québécois exige, depuis 2019, une augmentation de la pension de la Sécurité de la vieillesse pour toutes les personnes de 65 ans et plus. Le parti a réussi à convaincre une majorité d’élus à la Chambre des communes de voter en faveur de cette augmentation pour tous les aînés, le 8 mars dernier.


Face à la pression des groupes d’aînés, des organismes communautaires et du Bloc Québécois, le gouvernement Trudeau s’est rallié à une augmentation de la pension de vieillesse, mais seulement pour les 75 ans et plus.


Vendredi matin, la présidente de la FADOQ, Gisèle Tassé-Goodman, soulignait dans une lettre ouverte l’ampleur de la vague de colère témoignée par les aînés à son organisation à la suite de la création de deux classes d’aînés par le fédéral. Les aînés ne sont pas divisés. Ils subissent tous la perte de leur pouvoir d’achat. Ils sont tous touchés par les hausses de prix depuis le début de la pandémie. Ils sont tous touchés par les mesures de confinement rigoureuses. Ils ont tous fait des sacrifices.


« Il n’y a que les libéraux de Justin Trudeau pour tenter de diviser les aînés en deux classes et c’est inacceptable. Les personnes aînées d’aujourd’hui ont droit à un soutien raisonnable comme le Bloc Québécois demande. Le gouvernement Trudeau doit considérer que c’est à 65 ans qu’on a droit à cette augmentation et non qu’à 75 ans puisque nous risquons de ne pas pouvoir en profiter à sa juste valeur. Un jour, nous serons « aînés » et nous serons heureux de ne pas nous soucier de notre bas de laine. », a conclu Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.
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Source :
Julie Ouellet
Adjointe aux communications
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Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou
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Un traitement injuste envers les contribuables victimes des fraudeurs de la PCU

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 4 mai 2021 – Le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet, et la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, s’indignent du traitement que réserve l’Agence du revenu du Canada à l’égard des contribuables victimes des fraudeurs de la Prestation canadienne d’urgence (PCU) qui doivent injustement payer des impôts sur des montants qu’ils n’ont jamais demandés ou reçus. Le Bloc Québécois demande que l’ARC finalise d’abord ses enquêtes afin d’imputer aux fraudeurs et non aux victimes, le poids des frais et pénalités.


« Plutôt que de prendre le temps de compléter ses enquêtes pour retracer ceux qui ont véritablement reçu des chèques de la PCU, l’Agence du revenu du Canada fait délibérément porter le poids financier de la faute aux contribuables victimes de fraude. Jusqu’à preuve du contraire, ces victimes sont ainsi présumées d’avoir encaissé ces prestations et doivent payer les impôts sur ces sommes, tout comme si elles leur avaient été effectivement versées. Ces gens sont déjà accablés par le fait d’avoir été la cible de fraude sans qu’on les fasse en plus payer pour des revenus qu’ils n’ont pas touchés », a dénoncé Yves-François Blanchet.


« Le Bloc Québécois avait proposé que l’Agence du revenu du Canada reporte, comme l’a fait le Québec, d’un mois la date butoir pour transmettre les déclarations d’impôt. Ce délai aurait permis d’avancer les enquêtes sur la PCU. Le fédéral a refusé. Ce sont maintenant les victimes de fraude qui doivent assumer les conséquences du délai d’enquête et qui seront pénalisées si elles tardent à produire leur rapport d’impôt. C’est insensé. Le fédéral doit corriger cette situation et assumer les conséquences de ses propres délais d’enquête. Quand on regarde les retards et les ratés du système Phénix et l’inefficacité du gouvernement fédéral à récupérer les sommes détournées vers les paradis fiscaux, on peut présumer qu’il pourra s’écouler beaucoup de temps avant que les enquêtes soient complétées », a renchéri Sylvie Bérubé.


« Il est insensé que l’Agence du Revenu contraigne les victimes de fraude à produire immédiatement une déclaration d’impôt inexacte, gonflée par des revenus erronés, en brandissant la menace qu’un retard puisse suspendre les versements de toute autre prestation fédérale auxquels ces contribuables pourraient avoir droit. L’Agence du Revenu du Canada se doit d’agir avec diligence dans la conclusion de ses enquêtes et, jusqu’à leur dénouement, accorder la présomption d’innocence aux victimes, de sorte qu’elles n’aient pas à payer l’impôt sur la fraude. Ces victimes vivent déjà de l’incertitude avec cette fraude qui touche leur identité et leurs informations personnelles. Comment feront-elles pour prouver leur innocence en vertu d’une fraude d’identité? Il est temps que le gouvernement règle cette problématique de fraude et légifère pour éviter l’usurpation. », a conclu Mme Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.
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Un investissement majeur de 2 078 740 $ pour 469 emplois d’été

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 29 avril 2021 – Les jeunes et les employeurs de la circonscription ne seront pas laissés pour compte cet été, puisque le programme Emploi Été Canada a été bonifié cette année. Dans ces circonstances, la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, est très heureuse de pouvoir annoncer l’octroi de 2 078 740 $, qui créeront un total de 469 emplois dans la circonscription d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou. C’est 101 organisations qui auront l’opportunité d’embaucher des jeunes au cours de la prochaine saison estivale.


« C’est une année record de financement pour la circonscription par l’Emploi Été Canada. Je suis fière d’annoncer que nous avons obtenu un budget très généreux pour soutenir notre jeunesse et les employeurs dans notre grande circonscription. C’est une année exceptionnelle puisque nous avons reçu un financement supérieur aux années précédentes, ce qui a permis l’autorisation de toutes les demandes des organisations. Avec les répercussions de la Covid-19, les employeurs étaient heureux lorsque je les ai contactés pour leur annoncer la bonne nouvelle pour l’été 2021. Les emplois d’été sont souvent la première expérience de travail et permettent aux étudiants et aux étudiantes de les préparer pour le marché du travail, de parfaire leur autonomie et de contribuer au développement du travail d’équipe. Ils sont notre avenir et ce « coup de main » est essentiel pour nos employeurs en cette crise sanitaire qui perdure depuis plus d’un an. » a souligné Sylvie Bérubé, députée fédérale d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

Le programme Emploi Été Canada permet aux organismes à but non lucratif, aux employeurs du secteur public, ainsi qu’aux petites moyennes entreprises, d’embaucher des jeunes âgés de 15 à 30 ans pour l’été.
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Port de Montréal: une grève qui inquiète jusqu’en Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 27 avril 2021 – Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois, et Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik, Eeyou, ont exigé que le fédéral organise des négociations d’urgence au Port de Montréal avant de déposer une loi spéciale.


« Une loi spéciale n’est pas une solution au conflit qui oppose les travailleurs et les employeurs du Port de Montréal. C’est au contraire un aveu d’incompétence. Il n’y a pas de chef de gouvernement au Canada lorsque les conflits s’intensifient. Justin doit intervenir personnellement et directement auprès des parties pour que chacune fasse un compromis immédiat afin que les activités du port reprennent sans l’intervention d’une loi spéciale. Il est minuit moins une, mais il n’est pas trop tard pour que le premier ministre fasse preuve d’autorité morale après huit mois d’inaction de la part de son gouvernement. Il doit aussi lancer une médiation intensive entre les parties afin d’en arriver à une solution qui ne mette pas en péril ni l’économie québécoise, ni l’obligation de négocier aux employeurs avec une loi spéciale offerte sur un plateau d’argent », a déclaré M. Blanchet.


Madame Sylvie Bérubé reproche au gouvernement fédéral de ne pas être suffisamment intervenu dans le conflit de travail au Port de Montréal depuis son déclenchement en août dernier. « J’estime qu’il doit aujourd’hui convoquer une médiation de toute urgence afin de convaincre les parties patronales de remettre en place les conditions de travail qui étaient en vigueur au 9 avril et ainsi, les travailleurs, comme ils se sont engagés, mettront fin au débrayage ».


« Souvenons-nous de la crise ferroviaire, ce blocus a eu un impact majeur, et ce même dans la circonscription. Cette grève peut avoir des répercussions économiques jusqu’ici. Nous devons nous assurer que ce conflit ne dégénère pas et que la situation ne devienne critique. On ne doit pas imposer des conditions de travail à des travailleurs syndiqués qui ont droit à des négociations. La loi spéciale n’est pas la solution, il faut négocier activement entre les parties. Le gouvernement du Canada doit agir rapidement pour cesser la pression omniprésente. » conclu Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.


Le Bloc Québécois souligne que Justin Trudeau avait abdiqué ses responsabilités lors des manifestions en appui aux Wet’suwet’en, allant jusqu’à demander aux différents corps policiers d’intervenir contre les manifestants autochtones alors que la sortie de crise passait plutôt par une négociation entre le fédéral et les Premiers Peuples.
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Les libéraux de Justin Trudeau renoncent à l’appui du Bloc Québécois

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 22 avril 2021 – En s’opposant à l’amendement du Bloc Québécois exigeant une hausse des transferts en santé et de la pension de la vieillesse des 65 ans et plus, les libéraux de Justin Trudeau ont officiellement renoncé à l’appui du Bloc au budget 2021.


« Le Bloc Québécois avait posé deux conditions sans équivoque pour appuyer le budget : augmenter durablement et sans condition les transferts en santé comme l’exigent le Québec et les provinces ainsi que hausser la pension de vieillesse de tous les aînés dès 65 ans. Les libéraux savaient quoi faire pour obtenir notre soutien. Par deux fois, ils ont décliné. Justin Trudeau a donc perdu l’appui du Bloc Québécois à son budget », a annoncé le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet.


Le budget a également soulevé l’ire de l’Assemblée nationale du Québec, qui a unanimement dénoncé l’omission des transferts en santé et les nombreuses intrusions dans les champs de compétence du Québec.


« L’appui du Bloc Québécois à la santé et aux aînés ne vacille pas et n’est pas à négocier. Le Bloc ne peut pas soutenir un budget qui délaisse le réseau de la santé et les 65 ans et plus, les plus grandes victimes du sous-financement fédéral. Avec le dépôt de ce budget, on constate que ce gouvernement parle et n’agit pas puisqu’il s’est objecté à notre amendement. Il fait preuve d’abandon envers nos bâtisseurs et bâtisseuses puisqu’il est en désaccord avec notre proposition afin que les ainés aient leur part dès 65 ans et non pas juste à 75 ans. Il fait miroiter du soutien financier mais qu’en est-il du vide laissé d’août 2021 à juillet 2022? Pour le transfert en santé, c’est maintenant que nous en avons besoin et non pas après la pandémie, nous en sommes à la 3e vague … l’urgence est là », a conclu Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.
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La santé et les aînés oubliés, malgré un budget intéressant

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 20 avril 2021 – Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois, et Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, saluent le choix du gouvernement de miser sur sa capacité d’emprunt pour la relance économique, mais jugent inexplicable, dans un budget de cette ampleur, qu’il n’y ait aucune hausse des transferts en santé et l’abandon complet des aînés.


« Le gouvernement du Québec avait une demande formelle en vue de ce budget : la hausse durable et sans condition des transferts en santé, en soutien au personnel soignant aux prises avec cette nouvelle vague de COVID-19. Elle est complètement ignorée par le gouvernement Trudeau. Nous déplorons aussi le soutien inadéquat aux aînés, les plus touchés et les moins soutenus durant la pandémie, qui méritent une hausse significative de la pension de vieillesse dès 65 ans. Nous allons agir et proposer un amendement au budget afin de réaliser ces deux mesures incontournables si le Québec veut enfin sortir de cette crise sanitaire, qui après tout, est une crise de santé publique », a annoncé M. Blanchet.


Deux omissions inacceptables
Malgré un sommet historique de dépenses, le Bloc Québécois reproche au gouvernement fédéral de rester sourd aux deux principales revendications du Québec. Le parti constate que le déficit de 354 milliards $, pour l’exercice 2020-2021, est inférieur de 28 milliards $ à ce qui était prévu en novembre dernier, soit exactement la marge de manoeuvre nécessaire pour effectuer les transferts en santé exigés à l’unanimité par le Québec et les provinces, faisant de cette omission un choix politique. Le parti dénonce aussi qu’Ottawa limite son soutien aux aînés à un paiement unique de 500 $ l’été prochain pour les 75 ans et plus seulement, créant ainsi deux classes d’aînés et faisant de toute hausse de la pension de vieillesse pour les années subséquentes un enjeu électoral. Le Bloc s’oppose aussi vigoureusement aux multiples et coûteuses intrusions dans les champs de compétence du Québec, comme les normes pancanadiennes de centres de soins pour les aînés.


Des éléments comparables aux demandes du Bloc
En revanche, le Bloc Québécois souligne qu’un certain nombre de ses demandes ont été entendues. Le parti accueille favorablement, la taxation des géants du Web à 3 % de leurs revenus à condition que davantage de garanties soient offertes à la culture québécoise, mais suggère que la somme soit réservée aux arts et aux médias, le soutien au tourisme et à la culture à hauteur de 1 milliard $, le prolongement des mesures fédérales de soutien aux personnes et entreprises à travers la pandémie.


« Nous constatons que notre influence amène Ottawa à faire quelques pas vers l’avant. Nous allons proposer des améliorations à ce budget, qui n’est pas sans intérêt, mais qui souffre de graves lacunes en ce qui a trait aux transferts en santé et au soutien aux aînés. L’augmentation de la pension de vieillesse est maintenue à partir de 75 ans creusant un vide entre les 65 et 75 ans. Un seul paiement de 500 $ en août pour les 75 ans et plus, c’est si peu comparativement à ce que l’on demande pour aider les personnes aînées. Deux classes d’aînés : diviser pour mieux régner, que fait-on de leur dignité? En ce sens, nous allons revenir à la charge en proposant un sous-amendement au budget. », a conclu Mme Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou
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