Les libéraux improvisent et ratent la cible

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 24 août 2023 –Réagissant à l’intention du gouvernement fédéral de plafonner le nombre d’étudiants étrangers, la députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, a dénoncé ce qui s’apparente à de « l’improvisation » pour faire face aux problèmes criants liés à la crise du logement, tout en réaffirmant son soutien aux universités québécoises et aux étudiants internationaux.

« Les universités québécoises et le gouvernement du Québec ont été clairs : il est hors de question de limiter le nombre d’étudiants étrangers, dont le quart viennent s’installer en région et contribuent à leur vitalité économique et sociale. L’éducation est la compétence exclusive du Québec; ce n’est pas à Ottawa à venir imposer sa vision et de surcroît, s’attaquer à nos universités, nos cégeps et nos régions. Le Bloc Québécois est irréfutablement du côté des institutions postsecondaires et des étudiants internationaux. Le gouvernement improvise », a souligné la députée bloquiste.

« En 2022, le Québec a accueilli 122 045 étudiants étrangers, comparativement à 807 750 au Canada, une part en deçà du poids démographique du Québec au sein du Canada. Parallèlement, le taux de refus des permis d’études est demeuré plus important au Québec qu’en Ontario, et ce, quel que soit le continent de provenance des étudiants demandeurs. C’est sans équivoque, le gouvernement fédéral s’acharne sur le mauvais pion en éducation, il doit aider Québec, non pas en diminuant l’immigration des étudiants étrangers, mais plutôt laissant Québec décider », relate Sylvie Bérubé.

« Le réveil est tardif et la cible est mauvaise: du propre aveu de Justin Trudeau, il n’y a pas d’endroit où loger les 500 000 immigrants que les libéraux souhaitent accueillir. Les seuils d’immigration du fédéral ne tiennent pas compte de la capacité d’accueil du Québec et des provinces, que ce soit en matière de logement, mais aussi de soins de santé, de services de garde et de francisation. C’est plutôt cela qui doit être revu. Encore une fois, les libéraux ratent la cible », a conclu Mme Bérubé.

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Source :

Mélanie Matte

Adjointe aux communications et circonscription bureau Sylvie Bérubé

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou

Rapatriement huit travailleurs

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 14 août 2023 – La députée bloquiste, Sylvie Bérubé collabore avec la ministre des Affaires étrangères, Mélanie Joly, S.O.S international ainsi qu’un employeur de Val-d’Or, afin que soient rapatriés huit travailleurs de la circonscription coincée au Niger.

« Il convient de rappeler la fermeture de l’espace aérien, par les autorités nigériennes, en raison de l’instabilité politique à la suite du coup d’État militaire le 26 juillet dernier. De ce fait, une entreprise de Val-d’Or m’a interpellé afin d’obtenir mon soutien devant l’urgence de la situation, puisqu’Ottawa n’a aucun plan afin d’évacuer nos compatriotes, », affirme Mme Bérubé, porte-parole de Famille, Enfants et Développement social du Bloc Québécois à Ottawa.

« Nous sommes toujours dans l’attente des autorisations diplomatiques de survol et d’atterrissage des autorités nigériennes afin de rapatrier nos compatriotes. Heureusement, les travailleurs sont en sécurité durant cette période incertaine au Niger, » conclut Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi – Baie-James – Nunavik – Eeyou.

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Source :

Mélanie Matte                                          

Adjointe aux communications et circonscription de Sylvie Bérubé,                               

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou           

Ouverture programme Nouveaux Horizons

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 1er août 2023 – La députée bloquiste, Sylvie Bérubé est heureuse de vous informer l’ouverture de l’appel de proposition du programme Nouveaux Horizons pour les aînés (PNHA) du 1er août 2023 et se terminant le 14 septembre 2023 à midi.

« Il convient de rappeler le rôle essentiel du PNHA, puisqu’il permet de mettre sur pied des projets primordiaux et stimulants améliorant les besoins sociaux grandissants des aînés et qui ont un impact majeur dans notre collectivité », précise Mme Bérubé, porte-parole de Famille, Enfants et Développement social du Bloc Québécois à Ottawa.

Les projets doivent satisfaire à plusieurs critères tels que :

  • le projet ne doit pas durer plus de 52 semaines;
  • les sommes demandés ne peuvent excéder 25 000 $;
  • le projet doit répondre à au moins un objectif du programme;
    • promouvoir le bénévolat auprès des aînés et des autres générations;
    • faire participer les aînés à la collectivité;
    • accroître la sensibilisation aux mauvais traitements envers les aînés;
    • appuyer la participation sociale et l’inclusion des aînés;
    • fournir une aide à l’immobilisation pour des projets ou des programmes communautaires nouveaux ou existants destinés aux aînés;
  • les aînés dirigeront la planification ou la prestation de ces services ou y joueront un rôle essentiel;
  • le projet doit profiter aux aînés et aux communautés;
  • la rentabilité du projet doit être démontrée.

« J’invite les organismes et municipalités de la circonscription à déposer leur demande rapidement au Programme Nouveaux Horizons visant l’amélioration de la qualité de vie de nos aînés. Je souhaite maintenir mon soutien aux organismes de la circonscription d’Abitibi – Baie-James – Nunavik – Eeyou afin d’obtenir davantage de subventions cette année », conclut Sylvie Bérubé.

Présenter une demande de financement

 Nouveaux Horizons pour les aînés – Projets communautaires (jusqu’à concurrence de 25 000 $) – Canada.ca

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Source :

Mélanie Matte                                          

Adjointe de circonscription de Sylvie Bérubé,                                        

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou

Visite surprise

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 3 avril 2023 – La députée Sylvie Bérubé constate avec déception du manque de considération du premier ministre Justin Trudeau envers les membres du parlement d’Ottawa en omettant d’informer la députée de sa visite dans sa circonscription au IGA Pelletier de Val-d’Or pour parler du remboursement de l’épicerie.

« Il convient de rappeler le rôle essentiel que nous jouons dans l’accompagnement des

dossiers qui bénéficient à la qualité de vie de nos citoyennes et citoyens avec la complexité des programmes fédéraux déficients. Par conséquent, nous aviser de sa présence aurait été l’occasion pour M. Trudeau de démontrer de la considération aux personnes de l’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, » relate Sylvie Bérubé.

« Lors du discours du premier ministre, ce dernier affirmait que le Bloc Québécois était contre leur nouvelle mesure de remboursement de l’épicerie, mais la réalité est tout autre puisque nous sommes en faveur de la mesure, nous demandions un soutien pour les plus vulnérables face à la hausse du coût de la vie, » affirme Mme Bérubé.

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Source :

Mélanie Matte                                          

Adjointe de circonscription de Sylvie Bérubé                                        

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou           

Des polluants éternels dans l’eau potable

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 27 février 2023 – Devant la réalité des résultats de l’étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Montréal et dirigée par l’expert M. Sébastien Sauvé, Mme Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou demeure à l’affut dans le dossier de l’eau potable contaminée par des composés perfluorés (SPFA – substances poly- et perfluoroalkyliques) communément appeler polluant éternel en raison de leur résistance.

Rappelons que le 24 avril 2021, le ministère de l’Environnement et le ministère de la Santé publiaient un avis d’intention portant sur la grande classe des substances perfluoroalkyliques et polyfluoroalkyliques. Essentiellement, le gouvernement du Canada affirmait vouloir :

Le 7 février 2023, Santé Canada débutait une consultation publique pour une période de 60 jours visant à obtenir des commentaires afin d’élaborer et de mettre à jour les recommandations pour la qualité de l’eau potable au Canada. En prévision de diminuer l’exposition de la population aux composés perfluorés dans l’eau potable, un nouvel objectif fixé à 30 ng/L est suggéré.

« Malgré les démarches entreprises par le gouvernement fédéral depuis plusieurs années dans ce dossier, aucune réglementation n’est en vigueur », déplore Sylvie Bérubé.

« Même si l’on retrouve des traces de SPFA dans l’eau potable de la majorité des villes québécoises, les résultats n’en demeurent pas moins très inquiétants puisque la concentration retrouvée dans les échantillons de Val-d’Or varie de 35 à 171 ng/L. C’est l’une des concentrations les plus élevées de tout le Québec.  Ces contaminants éternels sont potentiellement cancérigènes et peuvent entraîner des répercussions sur la grossesse et le cholestérol. Cette situation m’interpelle davantage considérant que je demeure à Val-d’Or », souligne Mme Bérubé.

Sylvie Bérubé salue les efforts de la ville de Val-d’Or en prenant les devants à la suite des résultats obtenus par l’équipe de chercheurs de l’Université de Montréal.

« Puisque les taux de composés perfluorés étant plus élevés dans l’eau du puits d’appoints, la Ville a pris la décision de cesser son approvisionnement de ce dernier par mesure préventive. De plus, la ville procède à des analyses afin de déterminer la provenance de ces composés de SPFA avant même que la nouvelle norme soit en vigueur par Santé Canada », conclut Mme Bérubé.

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Source :

Mélanie Matte                                          

Adjointe de circonscription de Sylvie Bérubé,                                        

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou           

Références 1 : https://canadagazette.gc.ca/rp-pr/p1/2021/2021-04-24/html/notice-avis-fra.html

Protégeons nos aînés de la pauvreté

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 24 février 2023 – Mme Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou ainsi que Mme Jenny Fortier adjointe de circonscription du bureau de Lebel-sur-Quévillon ont participé au colloque portant sur les conditions financières difficiles auxquelles sont confrontés de plus en plus d’aînés. Le Bloc Québécois s’est fait l’instigateur du colloque qui a réuni plus de 120 participants et experts hier, au Centre des congrès de Granby.  

L’événement visait à dégager des pistes pour soulager de la précarité financière qui frappe un nombre grandissant d’aînés au Québec. Il est extrêmement préoccupant de constater que de nombreuses personnes aînées manquent de ressources financières et s’imposent des privations de toutes sortes. Cette situation-là est intolérable et il est de notre devoir de voir à leur quiétude et leur dignité de nos aînés. Considérant que de plus en plus d’aînés peinent à payer leurs factures face à la hausse du coût de la vie, ces pistes de solutions seront présentées au gouvernement libéral en prévision du budget 2023.

« C’est pourquoi nous avons pris part à ce colloque qui a réuni des experts en fiscalité et en politiques publiques pour les aînés, ainsi que des représentants d’associations et d’organismes nationaux représentant et défendant les droits des personnes âgées », explique Sylvie Bérubé.

On comptait notamment parmi les invités, Yves Carrière, Ph.D; Roberson Édouard, Ph.D; le Dr Réjean Hébert; Pierre Tircher, Ph.D; le représentant de l’Association québécoise de défense des droits des personnes retraitées et préretraitées, Pierre-Claude Poulin, ainsi que le représentant du Réseau de la Fédération de l’Âge d’Or du Québec, Philippe Poirier-Monette.

« Les experts ont partagé leurs réflexions et leurs connaissances sur la situation financière des aînés, un exercice qui s’est avéré fructueux et très éclairant. Les échanges avec les participants ont ouvert la porte à une plus large réflexion, notamment en ce qui a trait aux principales préoccupations et besoins des personnes aînées », souligne Sylvie Bérubé. 

« Nous avons atteint notre objectif. Cette journée nous a permis de dresser un portrait fidèle de la réalité financière des aînés et d’approfondir nos connaissances pour encore mieux porter la voix des aînés lors du prochain budget et de poursuivre notre travail afin d’améliorer leurs conditions de vie », conclut Mme Bérubé.

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Source :

Mélanie Matte                                          

Adjointe de circonscription                                            

Bureau de Sylvie Bérubé,                                     

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou

Victoire : le bas de laine des travailleurs enfin protégé !

Abitibi – Baie-James – Nunavik – Eeyou – 24 novembre 2022 – La députée d’Abitibi– Baie-James – Nunavik – Eeyou, Sylvie Bérubé, a salué, aujourd’hui, l’adoption unanime par la Chambre des communes, du projet de loi visant à protéger les bas de laine des travailleurs et travailleuses en cas de faillite d’entreprise. Après plusieurs années de lutte pour mettre à l’abri ces fonds de retraite durement gagnés, la députée bloquiste se réjouit de l’issue positive de ce dossier, et considérant que des milliers de travailleurs et travailleuses peuvent désormais envisager leur retraite l’esprit tranquille. 

« Que des entreprises en faillite pigent dans le bas de laine des travailleurs pour payer leurs créanciers, ça s’appelle du vol et il fallait que ça cesse au plus vite! Je suis heureuse que les parlementaires se soient ralliés à cette cause que le Bloc Québécois défend ardemment depuis longtemps en donnant leur appui au projet de loi d’aujourd’hui. Si une cause mérite que l’on s’élève au-delà des intérêts partisans, c’est bien celle-ci! Ce faisant, nous nous assurons de mettre fin à cette procédure odieuse dont nos travailleurs et travailleuses sont depuis trop longtemps les injustes victimes », a fait valoir Mme Bérubé.

Appuyé par le milieu syndical et des groupes de défense des droits des retraités représentant plus de 3,5 millions de personnes, le projet de loi adopté aujourd’hui permettra de modifier la législation actuelle pour mettre à l’abri les fonds de pension des travailleurs afin qu’ils puissent compter sur leurs revenus de retraite, même si leur employeur ou ex-employeur fait faillite.

Rappelons que, lors de la précédente législature, un projet de loi similaire du Bloc Québécois s’était rendu à l’étape de la troisième lecture. Pour la députée bloquiste, qui a cet enjeu à cœur, l’adoption d’un projet de loi similaire et bonifiable constituait une priorité.

« Grâce à ce projet de loi, nous empêchons la réédition des histoires d’horreur comme celle vécue par les travailleurs de la Cliff’s en 2015, qui ont perdu une bonne partie de leur fonds de pension et de leurs assurances collectives. Désormais, en cas de faillite d’entreprise, il ne sera plus possible de laisser des retraités sur la paille : les caisses de retraite de nos travailleurs et travailleuses seront à l’abri », se réjouit Sylvie Bérubé.

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Source :
Mélanie Matte

Adjointe de circonscription, bureau de Sylvie Bérubé

Députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou

melanie.matte.301@parl.gc.ca

Une mise à jour économique qui ne passera pas à l’histoire

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 4 novembre 2022La députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, déplore une mise à jour économique qui mentionne 115 fois le problème de l’inflation sans offrir de soutien supplémentaire aux personnes vulnérables ou de nouvelle piste de solution, alors qu’une récession est redoutée dès 2023.

« Un Québécois inquiet de la hausse du coût de la vie ne trouvera que très peu de réconfort à la lecture de cette mise à jour économique. Il devra s’y contenter essentiellement de la suite de la mise en œuvre du budget du printemps dernier. Le Bloc Québécois avait demandé au gouvernement de se recentrer sur ses responsabilités fondamentales envers les personnes vulnérables : hausser les transferts en santé, soutenir adéquatement les 65 ans et plus et réformer en toute urgence l’assurance-emploi, meilleur stabilisateur en période économique difficile. Il a rejeté ces propositions. Nous ne pouvons donc que dénoncer une occasion manquée d’aider les Québécois à faire face aux moments difficiles qu’ils vivent déjà ou qu’ils redoutent pour les mois à venir », a dénoncé

Santé : le bras de fer se poursuit

Le Bloc Québécois avait demandé au gouvernement d’accéder à la demande unanime du Québec et des provinces de hausser immédiatement, durablement et sans conditions les transferts en santé. « Alors que les urgentologues avertissent que nos hôpitaux ont atteint leur point de rupture, le fédéral n’agit pas. Il privilégie visiblement sa stratégie de prolonger la crise du financement de la santé dans l’espoir de briser le consensus des provinces pour les convaincre d’accepter de diluer leurs demandes financières », a expliqué Mme Bérubé.

Deux classes d’aînés

La députée bloquiste déplore que les personnes de 65 à 74 ans continuent d’être privées de la hausse de pension de vieillesse dont elles auraient, plus que jamais, besoin actuellement. « Le revenu fixe des aînés ne leur permet pas de faire face en temps réel à une hausse du coût de la vie aussi prononcée. Ils demeurent les personnes les plus susceptibles d’avoir à faire des choix difficiles à l’épicerie ou à la pharmacie. Et le gouvernement continue de pénaliser les moins nantis qui voudraient travailler davantage sans perdre leurs prestations. L’inflation, contrairement au gouvernement fédéral, ne discrimine pas les aînés selon leur âge », a-t-elle dénoncé.

Une assurance-emploi sans rassurance

Alors que de plus en plus d’analystes redoutent la possibilité d’une récession dès 2023, le gouvernement canadien semble reculer sur la réforme globale de l’assurance-emploi qu’il a promise pour l’été dernier. « Actuellement, six travailleurs sur 10 qui perdent leur emploi n’ont pas droit à l’assurance-emploi, même ceux qui y cotisent. L’assurance-emploi est pourtant le meilleur moyen de stabiliser l’économie en cas de récession. Or, les projections financières du gouvernement prouvent qu’il ne prévoit pas que plus de gens devraient y avoir accès, impliquant que si la réforme promise finit par aboutir, elle demeurera décevante et ne permettra pas de faire face à une hypothétique récession », a dénoncé Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

« Le gouvernement met le doigt sur le problème de la hausse du coût de la vie et s’arrête à le nommer. Il annonce des jours à venir difficiles cet hiver, sans prévoir comment les traverser. Il fait lui-même des constats sévères sur l’état de la situation économique sans pourtant tenir compte de la moindre proposition de l’opposition pour s’y préparer. Il répète les mesures qu’il a prises par le passé, concrétise ce qu’il a déjà annoncé dans le budget d’avril dernier, mais rien n’indique qu’il sache où il s’en va. Ce sera peut-être encore une fois le rôle du Bloc Québécois de le diriger dans le sens des intérêts des Québécois », a conclu Sylvie Bérubé.

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Source :
Lynda Perreault                                                  

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé,                                     

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                                                                             

lynda.perreault.301@parl.gc.ca

Les partis fédéraux s’accrochent à la monarchie

Abitibi – Baie-James – Nunavik – Eeyou – 26 octobre 2022 – La Chambre des communes du Canada a massivement rejeté la motion du Bloc Québécois qui proposait de mettre fin aux liens entre l’État canadien et la Couronne britannique. Les partis fédéraux, à l’exception de douze députés de différentes allégeances, qui ont voté en faveur de la motion du Bloc, ont ainsi raté une occasion de se libérer de la monarchie, institution vétuste allant littéralement à l’encontre des valeurs de démocratie portées par le Québec et le Canada.

« Il est navrant que les partis fédéralistes ne soient pas au diapason de leur population et qu’ils préfèrent rester attachés à de coûteux symboles, plutôt que de saisir l’opportunité de moderniser le système politique canadien. Le Bloc, pour sa part, partage l’avis de la majorité des Québécois qui veulent que cesse notre assujettissement à une monarchie à l’égard de laquelle, au mieux, ils éprouvent une totale indifférence. Les fédéralistes ont parlé de priorités : justement! Les millions de dollars que les contribuables québécois voient disparaître chaque année pour le maintien de cet encombrant lien monarchique devraient être injectés dans des priorités qui les servent davantage », déplore le chef du Bloc Québécois, Yves‑François Blanchet.

« Notre proposition était simple : elle consistait à s’affranchir de la Couronne britannique. Cela va dans le sens de la volonté d’une très forte proportion de Québécoises et de Québécois qui souhaite se libérer d’un système monarchique qui ne correspond pas du tout à leurs valeurs ni à leur conception d’une démocratie fondée sur le principe d’égalité de tous. Le vote d’aujourd’hui révèle une fois de plus à quel point les partis fédéraux sont éloignés de la volonté du Québec. Pire, confrontés au choix entre le peuple et la Couronne, ils ont donné préséance à la Couronne », signale la députée d’Abitibi – Baie-James – Nunavik – Eeyou, Sylvie Bérubé.

« En 2022, les Québécois croient qu’ils ont bien mieux à faire de leur argent que de payer des millions pour les symboles de la royauté britannique et nous sommes d’accord avec eux. Ces millions pourraient être utilisés plus intelligemment, par exemple pour aider nos aînés durement touchés par l’inflation, soutenir la francisation de l’immigration, fournir de l’eau potable aux communautés autochtones, soutenir les énergies vertes, etc. L’abandon de la monarchie est une nécessité voulue par les Québécois et nous reviendrons à la charge », promet Mme Bérubé.

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Source :
Mélanie Matte

Adjointe de circonscription, bureau de Sylvie Bérubé

Députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou

melanie.matte.301@parl.gc.ca

Réforme du programme de l’assurance-emploi et industrie saisonnière

Ottawa abandonne les travailleurs saisonniers  

Abitibi – Baie-James – Nunavik – Eeyou – 25 octobre 2022  – La députée d’Abitibi – Baie-James – Nunavik – Eeyou, Sylvie Bérubé, donne son appui aux travailleurs saisonniers de l’Est-du-Québec et des Maritimes, et joint sa voix à celle de l’Alliance interprovinciale, un regroupement de vingt syndicats et organismes de défense des chômeurs qui représentent les travailleurs de plusieurs secteurs de l’industrie saisonnière régionale, pour réclamer qu’Ottawa amorce de toute urgence une réforme de l’assurance-emploi. Sylvie Bérubé, la députée bloquiste réaffirme la nécessité d’une réforme globale et immédiate de ce programme, dans un contexte où l’industrie saisonnière en région est en péril.

Les règles actuelles du programme d’assurance-emploi et l’abandon des mesures d’allègements temporaires font en sorte que plusieurs travailleurs de l’industrie saisonnière sont simplement abandonnés par le programme.

« Les travailleurs de l’industrie saisonnière vivent le phénomène du « trou noir » depuis longtemps. Or, cette année, avec des taux de chômage historiquement bas, cette situation va s’amplifier puisqu’il faudra plus d’heures pour se qualifier, soit 700 heures dans 11 régions économiques sur 12. Est-ce que la ministre est consciente que de nombreux travailleurs saisonniers ne pourront se qualifier ou obtiendront un nombre insuffisant de semaines de prestation, et ce, malgré un projet-pilote ? », questionne Mme Bérubé.

Le Bloc dénonce avec véhémence l’abandon par Ottawa des régions, dont l’un des moteurs économiques est l’industrie saisonnière. « On parle du secteur touristique, mais aussi de l’agriculture, de la foresterie, de la pêche, de la chasse, de la construction ainsi que des arts et spectacles. Ces secteurs saisonniers sont essentiels à la vitalité économique des régions du Québec : ce sont des pans entiers de notre économie qui seront affectés. Nous demandons à la ministre de réaliser, une fois pour toutes, l’ampleur du drame qui se prépare », mentionne Sylvie Bérubé.

Pour le Bloc Québécois et l’Alliance interprovinciale, la solution passe par une réforme globale du programme d’assurance-emploi, qui viendra répondre aux besoins réels des travailleurs de l’industrie saisonnière. « Les solutions sont connues depuis des années; il ne reste qu’à les appliquer. La ministre devait présenter un plan de réforme au début de l’été que nous attendons toujours. Les collectivités qui vivent de l’industrie saisonnière peuvent toutefois compter sur nous pour talonner Ottawa afin que cette réforme aboutisse enfin », conclut la députée d’Abitibi – Baie-James – Nunavik – Eeyou, Sylvie Bérubé.

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Source :
Mélanie Matte

Adjointe de circonscription, bureau de Sylvie Bérubé

Députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou

melanie.matte.301@parl.gc.ca