Lancement du programme d’Emplois d’été Canada 2024:L’appel des candidatures est débuté

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, le 28 novembre 2023 – La députée Sylvie Bérubé souligne que la période de présentation des demandes d’employeurs pour Emplois d’été Canada (EÉC) 2024 est débutée et se terminera le 10 janvier 2024 à 23 h 59. Le programme EÉC permet de créer des possibilités d’emploi d’été procurant à de nombreux jeunes un premier contact avec un travail rémunéré ou une chance d’acquérir une véritable expérience professionnelle à temps plein dans leur domaine d’études qu’ils poursuivront l’année suivante.


« C’est une opportunité pour nos jeunes et pour nos employeurs. Une subvention pour nos organismes sans but lucratif et nos petites entreprises et l’acquisition d’expériences enrichissantes qui contribuent à la réussite de nos jeunes, » indique Mme Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.


Les organismes sans but lucratif, les employeurs du secteur public, et les employeurs du secteur privé ayant un effectif à temps complet d’au plus 50 personnes peuvent demander des fonds en vue d’embaucher des jeunes l’été prochain afin de créer des expériences de travail d’été de qualité pour les jeunes âgés de 15 à 30 ans.


Les employeurs qui souhaitent présenter une demande de financement dans le cadre du programme EEC 2024 sont invités à le faire par voie électronique sur le portail des Services en ligne des subventions et des contributions. La création d’un compte pour ces services est un processus ponctuel qui permet aux organismes de présenter une demande de financement auprès d’Emploi et Développement social Canada dans un environnement Web sécurisé.


« J’encourage les organismes sans but lucratif et les employeurs des secteurs public et privé à se prévaloir de cette aide financière pour combler leurs besoins en main-d’oeuvre. L’année dernière, la circonscription d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou a retiré des subventions à la hauteur de 987 816 $ d’Emplois d’été Canada, créant ainsi 344 emplois pour nos jeunes. » conclut Sylvie Bérubé, députée.


La députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou
Mme Bérubé a été élue dans la circonscription en 2019 et réélue en 2021. Depuis le début de son premier mandat, elle priorise la proximité et le soutien de ces concitoyens et concitoyennes sur tout le territoire. La bloquiste Sylvie Bérubé, fait des interventions actives dans les divers dossiers de la circonscription d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou auprès des ministères du Gouvernement fédéral à Ottawa.


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Mélanie Matte
Adjointe et agente aux communications
Bureau de Sylvie Bérubé
Députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou
melanie.matte.301@parl.gc.ca

Financement fédéral des communautés anglophones au Québec: Ottawa réserve des milliards à l’anglais au Québec

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, le 28 novembre 2023 – Alors que les Québécois s’inquiètent du déclin accéléré du français au Québec et que tous se démènent afin de multiplier les mesures et propositions visant à défendre et promouvoir notre langue, le Bloc Québécois a dévoilé son étude sur le financement fédéral des communautés anglophones au Québec. L’étude intitulée « Quand la politique linguistique fédérale conduit à financer l’anglicisation du Québec » révèle que les établissements et les groupes d’intérêts anglophones du Québec ont touché plus de deux milliards en financement fédéral depuis 1995.


« Ça dépasse l’entendement. Tous sont d’accord pour affirmer que la seule langue qui soit menacée au Québec est le français, mais qu’à cela ne tienne, le fédéral consacre des milliards non pas pour la promotion ou la protection du français, mais de l’anglais! Depuis 1995, c’est-à-dire depuis que nous détenons des informations détaillées sur ces fonds, c’est 2,08 milliards de nos taxes et impôts que le fédéral a distribués en appui aux communautés anglophones du Québec dans le cadre de la Loi sur les langues officielles. Ottawa opère dans une logique de symétrie entre les francophones hors Québec et les Anglo-Québécois alors que les deux situations sont aux antipodes », a dénoncé la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé.


« La langue française est menacée et le gouvernement fédéral continue de faire de l’abnégation et de favoriser la langue anglaise au Québec, c’est aberrant! » a rétorqué Mme Bérubé.


À partir des comptes publics du Canada, le porte-parole bloquiste détaille les fonds touchés par les communautés d’expression anglaise selon les différents programmes d’appui à l’anglais, en plus d’expliquer les fondements erronés de la Loi sur les langues officielles et ses effets sur la dynamique du français au Québec. Dans son nouveau plan d’action pour les langues officielles 2023-2028, le fédéral continue aussi à opérer dans une logique de symétrie entre les deux langues et envisage d’investir plus de 800 millions supplémentaires pour l’anglais au Québec, selon une fonctionnaire fédérale.


« Même si le Bloc a fait rajouter à la Loi sur les langues officielles qu’elle doit favoriser l’existence d’un foyer francophone majoritaire dans un Québec où l’avenir du français est assuré, Ottawa s’entête toujours à verser des centaines de millions vers l’anglais au Québec. Il faut que ces sommes soient plutôt investies dans la promotion du français, dans le français au travail, dans la francisation et dans la culture en français. Nous dénonçons également l’effet direct de ces sommes sur l’anglicisation au Québec et continuons à marteler que le Québec devrait être le seul maître d’œuvre de sa politique linguistique », a conclu Mme Bérubé.

Mélanie Matte
Adjointe et agente aux communications
Bureau de Sylvie Bérubé
Députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou
melanie.matte.301@parl.gc.ca

Financement pour soutenir les jeunes de la circonscription

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 20 novembre 2023 – Madame Sylvie Bérubé, députée et porte-parole de Famille, Enfants et Développement social du Bloc Québécois est heureuse d’informer la circonscription d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou mentionne que les organismes peuvent demander du financement dans un programme d’Emploi et Développement, en déposant une proposition dans le cadre de Service jeunesse Canada (SJC), social Canada (EDSC).


« Afin d’offrir un meilleur avenir à nos jeunes, le gouvernement doit créer des opportunités qui répondent à leurs passions. J’encourage tous les organismes au service de la jeunesse à présenter une demande de financement auprès de Service jeunesse Canada. D’autant plus que la création d’opportunités de bénévolat dans notre communauté préparera les jeunes à réussir, mais également à bâtir notre circonscription plus forte et plus inclusive, » souligne Mme Bérubé.


Emploi et Développement social Canada
Les organismes retenus au terme de l’appel recevront des fonds pour créer et promouvoir des possibilités de bénévolat intéressantes pour les jeunes de 12 à 30 ans et faciliter l’accès à ces possibilités. Ils pourraient par exemple créer des occasions de bénévolat flexibles ou à temps plein ou offrir des microsubventions qui permettent aux jeunes de concevoir, de mettre en oeuvre et de diriger leurs propres projets de bénévolat. Grâce à ce financement, SJC vise à créer environ 36 000 possibilités de bénévolat pour les jeunes.


Sont admissibles au financement les organismes sans but lucratif et les organismes à but lucratif (à condition que l’activité ne vise pas à générer des profits), les organismes et les instituts de recherche, les organisations autochtones (comme les conseils de bande, les conseils tribaux et les entités autonomes), et les entités municipales, provinciales ou territoriales, y compris les établissements, les organismes, les sociétés d’État et les établissements de santé publique ou d’enseignement.


Ce financement permettra aux organismes retenus d’offrir aux jeunes des possibilités de bénévolat qui, autrement, ne seraient peut-être pas offertes. Les fonds de SJC peuvent être utilisés pour couvrir les frais généraux admissibles, le coût du matériel et des fournitures, de la formation et du perfectionnement, ainsi que d’autres dépenses visant à soutenir la pleine participation des jeunes aux possibilités de bénévolat, comme le mentorat, l’encadrement, le soutien en santé mentale, la garde des personnes à charge, le transport et l’hébergement.


Grâce à des programmes comme SJC, le gouvernement s’efforce de joindre les jeunes de divers milieux. Ainsi, au moins la moitié des participants et participantes aux projets financés par SJC devront s’identifier comme de jeunes Autochtones ou comme des jeunes ayant un accès restreint aux services, ou les deux.


L’appel de propositions de 2023 de SJC se déroulera sur 10 semaines, soit du 12 octobre au 19 décembre 2023. Pour présenter une demande, Services en ligne des subventions et contributions (SELSC).


« En donnant aux jeunes la possibilité de diriger leurs propres projets de bénévolat et de servir leur communauté, le programme SJC les aide à développer leurs compétences en matière de travail d’équipe, de communication et de leadership, » conclut Mme Bérubé.


La députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou
Mme Bérubé a été élue dans la circonscription en 2019 et réélue en 2021. Depuis le début de son premier mandat, elle priorise la proximité et le soutien de ces concitoyens et concitoyennes sur tout le territoire. La bloquiste Sylvie Bérubé, fait des interventions actives dans les divers dossiers de la circonscription d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou auprès des ministères du Gouvernement fédéral à Ottawa.

Source : Mélanie Matte
Adjointe et agente aux communications
Bureau de Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou
melanie.matte.301@parl.gc.ca

Attentes du Bloc Québécois pour la mise à jour économique :Soyons responsables!

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 15 novembre 2023 – La députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, et le député d’Abitibi-Témiscamingue, Sébastien Lemire, ont partagé hier les attentes du Bloc Québécois en prévision de l’énoncé économique que le gouvernement Trudeau présentera dans les prochaines semaines.

Voici les sept demandes prioritaires identifiées par le Bloc Québécois qu’il souhaite être prises en compte par le gouvernement Trudeau :

  • Fonds d’urgence pour l’itinérance : instaurer un fonds d’urgence afin d’aider les villes et les municipalités à soutenir les personnes en situation d’itinérance sur leur territoire et à disposer des ressources pour ce faire;
  • Logement : créer un fonds d’acquisition pour les organismes sans but lucratif et mettre en place un programme de prêts sans intérêt ou à très faible taux, afin de stimuler la construction de logements locatifs sociaux abordables;
  • Aînés : hausser la pension de la sécurité de la vieillesse pour tous les aînés admissibles en éliminant la discrimination sur l’âge qui pénalise actuellement les 65 à 74 ans.
  • Entreprises : dans un contexte économique défavorable où des milliers de PME sont à risque de faillite, consentir un répit d’un an et davantage de flexibilité de remboursement aux entreprises qui ont fait appel au Compte d’urgence pour les entreprises canadiennes et procéder à la désignation d’un tiers attitré à ce programme afin de faciliter les communications pour ces entreprises.
  • Fonds d’urgence pour les médias : créer d’un fonds d’urgence de 50M$ pour aider les médias régionaux et nationaux à traverser la crise qui les menace. Ces 50M$ sont l’équivalent sur trois mois de la portion des revenus issus de la mise en place de C-18, estimés à environ 200M$; la période de trois mois correspondant au début du blocage de Meta des contenus provenant des médias québécois et canadiens;
  • Fin des subventions aux énergies fossiles : mettre fin à toute subvention directe ou indirecte à la richissime industrie pétrolière et rediriger plutôt une partie de ces sommes vers la lutte au réchauffement climatique et l’accélération du virage énergétique et écologique en appuyant davantage la recherche, l’expertise et le créneau vert du Québec.

« Nous sommes responsables et nous voulons l’assurance de la mise en oeuvre économique pour que nos entreprises ainsi que la population soient supportées pour défier l’inflation, » précise Sylvie Bérubé. « Ce que les Québécois veulent, c’est que les fonds publics auxquels ils ont contribué soient réinvestis de façon responsable et qu’on s’attaque aux problèmes fondamentaux qui les touchent, dont notamment : l’accès au logement, les aînés, la hausse du coût de la vie, la survie de nos médias ou l’accélération du virage vert. Ottawa doit agir sur ces enjeux en réinvestissant pour soutenir durablement l’économie. Le contexte inflationniste actuel est particulièrement difficile pour l’ensemble des Québécois, on s’attend d’Ottawa qu’il pose les gestes nécessaires, le Bloc s’en assurera. C’est ça, être responsables! », conclut Mme Bérubé et M. Lemire.

Source :

Mélanie Matte
Adjointe et conseillères aux communications
Bureau de Sylvie Bérubé
Députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou
Melanie.matte.301@parl.gc.ca

Jean-François Vachon
Adjoint aux communications
Bureau de Sébastien Lemire
Député d’Abitibi-Témiscamingue
Jean-Francois.Vachon.302@parl.gc.ca

Départ de la mairesse Isabelle Lessard: Un départ la tête haute

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 14 novembre 2023 – La députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Mme Sylvie Bérubé a contacté Mme Isabelle Lessard, qui tire sa révérence comme mairesse de la municipalité de Chapais le 17 novembre officiellement, pour la féliciter pour sa contribution à la vie politique municipale.


Dès le lendemain des élections municipales, en novembre 2021, Mme Lessard a notamment laissé sa trace dans la Jamésie, mais également dans la province puisqu’elle est devenue la plus jeune femme mairesse élue au Québec. Par ses ambitions prometteuses, elle a démontré que les jeunes peuvent s’impliquer dans les collectivités afin d’apporter un vent nouveau dans le développement des municipalités.


« Je tenais à remercier personnellement Mme Lessard pour son implication politique au sein de la ville de Chapais. Notons par ailleurs, parmi ses contributions, sa remarquable gestion de crise lors de la tragédie des feux de forêt dans la circonscription. À plusieurs reprises, j’ai rencontré, Mme Lessard dans la municipalité, lors des incendies, afin d’obtenir l’état de la situation. Son travail ardent et sans relâche afin de maintenir ses citoyennes et citoyens informés de la situation et d’assurer leur sécurité auront été efficace, » affirme Sylvie Bérubé.


« De plus, il m’appert évident qu’elle a un avenir prometteur et je lui souhaite tout le succès désiré dans son avenir personnel et professionnel, » conclut Mme Bérubé.


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Source : Mélanie Matte
Agente et conseillère aux communications
Bureau de Sylvie Bérubé, députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou
melanie.matte.301@parl.gc.ca

Projet de loi anti-briseurs de grève:Une grande avancée pour les droits des travailleuses et travailleurs

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 10 novembre 2023 – Après le dépôt de 11 projets de loi du Bloc Québécois et 33 ans de lutte acharnée, la députée, Sylvie Bérubé, s’est réjouie et a salué le dépôt d’un projet de loi gouvernemental visant à interdire les travailleurs de remplacement dans le Code canadien du travail, fruit d’un labeur sans relâche du milieu syndical et du Bloc Québécois. Le parti souhaite bonifier le projet de loi en comité et rapidement colmater la brèche, afin que le « non-sens » que constitue le recours aux briseurs de grève puisse à jamais être banni.


« C’était le but du tout premier projet de loi déposé par le Bloc Québécois, en 1990. Déjà à l’époque, le fédéral accusait un sérieux retard sur le Québec, qui a fait adopter une loi afin d’interdire le recours aux travailleurs de remplacement en 1977. En 2023, les libéraux sont littéralement 46 ans en retard pour le droit des travailleurs! C’est une avancée pour les droits des travailleurs, mais surtout un retard récupéré. Il faudra maintenant travailler rapidement, pour que le projet de loi soit en vigueur sans plus tarder. Dix-huit mois après la sanction royale c’est beaucoup trop long; il faut que justice soit faite pour les travailleuses et travailleurs », a fait valoir Mme Bérubé.


En 33 ans et 11 projets de loi, les libéraux et les conservateurs ont tour à tour bloqué les projets de loi du Bloc. Dans cette même législature, le Bloc Québécois avait d’ailleurs déposé le projet de loi C-276 en mai 2022.


« La lutte, ce sont les groupes syndicaux et le Bloc qui l’ont menée, à charges répétées, avec la force de nos convictions. Le projet de loi aura notamment une incidence au conflit au port de Québec, qui perdure depuis un an et où l’administration a recours à des travailleurs de remplacement, en toute légalité, en vertu de la législation fédérale actuelle », a précisé la députée bloquiste.


« Le recours aux travailleurs de remplacement vient directement affaiblir l’ultime moyen de pression que constitue la grève pour les travailleurs. Sous le code fédéral, les conflits de travail sont en moyenne deux fois plus longs que sous celui du Québec. Le recours aux travailleurs de remplacement lors d’un conflit de travail ne vient que rehausser la tension entre les parties plutôt que susciter le déblocage d’une négociation. Nous comptons bien talonner le gouvernement jusqu’au bout et travailler en comité le projet de loi déposé hier afin qu’il devienne rapidement loi », a conclu Sylvie Bérubé.


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Source : Mélanie Matte
Agente et conseillère aux communications
Bureau de Sylvie Bérubé, députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou
melanie.matte.301@parl.gc.ca

Avenir des médias :« Il faut agir pour sauver notre information locale » – Sébastien Lemire et Sylvie Bérubé

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 6 novembre 2023 – Le député d’Abitibi-Témiscamingue, Sébastien Lemire, et la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, s’inquiètent de l’avenir des médias de la région. Les coupures importantes chez TVA ainsi que la fin de la distribution du Publisac ajoutent à une situation déjà précaire. Si les deux nouvelles ne touchent pas nécessairement l’Abitibi-Témiscamingue et le Nord-du-Québec, la situation des médias locaux est toujours à risque en région.


En effet, depuis plusieurs années, les salles de nouvelle de plusieurs des journaux locaux ont été réduites tout comme celle de certains radiodiffuseurs. « La situation des médias locaux est grave. Pour notre région, les journalistes nous permettent de faire résonner les voix de nombreuses personnes, des élus jusqu’au citoyen. C’est grâce à une information locale, écrite par des gens d’ici pour les gens d’ici, que nous sommes en mesure d’avoir une vie politique, culturelle et sportive active », a fait savoir M. Lemire.


Pour aider les journaux locaux à obtenir une plus grande diffusion, les députés du Bloc Québécois appellent le gouvernement à faire pression sur Postes Canada afin qu’il prenne le relais en acceptant de les distribuer à un tarif préférentiel. « En posant ce geste, Ottawa permettrait à nos journaux locaux de retrouver la possibilité d’aller à toutes les portes de nos régions. L’information est une ressource essentielle et il faut la préserver. C’est une question de démocratie », a souligné Mme Bérubé.


Les deux députés du Bloc Québécois appellent aussi le gouvernement à s’engager dans une réflexion importante, notamment pour soutenir les salles de nouvelles radiophoniques et télévisuelles. Rappelons que le crédit d’impôt pour la main-d’œuvre journalistique exclu ces deux salles de nouvelles ainsi que les médias communautaires. « Actuellement, nos régions vivent certains déserts médiatiques. Des secteurs comme l’Abitibi-Ouest se retrouvent avec peu de visibilité parce qu’il manque de journalistes sur le territoire. C’est inacceptable. L’information est et demeura toujours la seule façon de prendre des décisions éclairées. Les questions difficiles des journalistes, leur enquête, leur présence nous poussent les débats plus loin. La variété des points de vue est aussi plus qu’importante. Nous en appelons au gouvernement à agir dès maintenant avant qu’il soit trop tard. Il faut agir pour sauver notre information locale », ont affirmé les députés.


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Cibles d’immigration :Les libéraux doivent retourner à la table à dessin

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 2 novembre 2023 – Au moment même où ils appuyaient la motion du Bloc Québécois en faveur d’une immigration réussie, les libéraux ont rendu publiques de nouvelles cibles d’immigration. Selon la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, et le député d’Abitibi-Témiscamingue, Sébastien Lemire, les chiffres révélés par le ministre de l’Immigration, Marc Miller, continuera d’avoir un impact sur le Québec, notamment quant à notre capacité d’accueil et à l’avenir de la langue française.


Rappelons que le seuil d’immigration actuel du Canada, soit 500 000 personnes, équivaut à construire chaque jour un village comme Palmarolle par jour, l’équivalent d’une ville comme Amos chaque semaine ou d’une ville comme Val-d’Or chaque semaine.


« Ottawa doit respecter notre capacité d’accueil. Le Québec est généreux et accueillant, et veut que les nouveaux arrivants trouvent ici une vie convenable : un logement, des services de santé, de garderie, d’éducation et, bien sûr, le soutien requis pour bien s’intégrer en français et ainsi participer à notre culture dans toutes les régions du Québec. Pour moi, il est important de tendre la main », souligne M. Lemire.


« L’enjeu est important et le gouvernement ne prend pas acte des besoins et des services pour mieux accueillir les nouveaux arrivants. Il cible sans constat et sans analyse potentielle donc il doit retourner au travail avec empressement et respecter les compétences du Québec », a énoncé Mme Bérubé.


Pour Mme Bérubé et M. Lemire, il n’y a pas trente-six manières pour le ministre et le gouvernement libéral de corriger cette bévue :
« Le ministre doit discuter avec Québec pour comprendre ce que sont les difficultés en termes de soins de santé, d’éducation, de services de garde, de logement, de transport collectif, mais surtout de francisation pour réaliser, justement, une immigration réussie. En annonçant ses propres cibles aujourd’hui, le Québec démontre une connaissance de combien il faudra de professeurs pour les nouveaux élèves, combien de logements pour les nouvelles familles, ce que sera le volume de soins à prodiguer, combien de places en services de garde pour les tout-petits, combien de transports collectifs… Nous avons donné un levier, un rapport de force pour que l’Assemblée nationale fasse valoir les intérêts du Québec », concluent les députés bloquistes.


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Source :
Mélanie Matte
Adjointe et agente aux communications
Bureau de Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou
melanie.matte.301@parl.gc.ca

Jean-François Vachon
Adjoint aux communications
Bureau de Sébastien Lemire
Jean-Francois.Vachon.302@parl.gc.ca

Motion unanime déposée par le Bloc Québécois :Face à l’insécurité alimentaire, il faut agir!

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 31 octobre 2023 – Face à la demande record à laquelle font face les banques alimentaires québécoises et canadiennes, le Bloc Québécois a déposé hier à la Chambre des communes, une motion pressant le gouvernement libéral d’en faire davantage afin de lutter contre l’insécurité alimentaire. Unanimement appuyée par tous les partis, cette motion a été présentée par la porte-parole du Bloc Québécois en matière de Famille, d’Enfants et de Développement social, Sylvie Bérubé.


« Tandis que les banques alimentaires croulent sous les demandes, le gouvernement fédéral n’a toujours pas livré sa promesse d’allouer un milliard de dollars sur cinq ans au Québec et aux provinces afin que les organismes de soutien alimentaire puissent répondre à la demande dans les écoles. Il est intolérable que l’on prive des enfants de nourriture et sur ce point, tous les partis sont d’accord avec nous : il faut agir et c’est urgent ! », avise la députée Bérubé.


Voici le texte de la motion du Bloc Québécois :
Que la Chambre prenne acte que 872 000 Québécois ont eu recours à de l’aide alimentaire en 2023 et que 2 000 000 de Canadiens, dont 640 000 enfants, ont aussi eu recours à une banque alimentaire pour le seul mois de mars 2023;
Qu’elle prenne acte que 71% des organismes œuvrant pour la sécurité alimentaire au Québec ont manqué de denrées en 2023;
Qu’elle demande au gouvernement d’en faire davantage afin de lutter contre l’insécurité alimentaire, dans le respect des champs de compétence du Québec et des provinces.


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Source : Mélanie Matte
Agente et conseillère aux communications
Bureau de Sylvie Bérubé, députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou
melanie.matte.301@parl.gc.ca

L’avenir de l’agriculture au cœur des préoccupations

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 24 octobre 2023 – Tenu le 20 octobre dernier à Saint-Rémi, en Montérégie, le colloque sur l’agriculture, organisé par le Bloc Québécois, a rassemblé plusieurs leaders et participants intéressés par l’avenir de ce secteur-clé de l’économie québécoise. Des enjeux tels que la transformation régionale, la consommation de proximité, l’avenir de la production maraîchère locale et le rôle de l’État dans un contexte de changements climatiques ont notamment été abordés.

Au colloque, le député d’Abitibi-Témiscamingue, Sébastien Lemire, a animé l’atelier qui a traité des enjeux de la régionalisation de la transformation alimentaire et des circuits courts afin que le fruit du travail de nos producteurs se retrouve dans les assiettes des consommateurs d’ici. Composé de Jean-Sébastien Gascon, coordonnateur du programme Partenaires Boeuf Québec; de Sylvie Cloutier, PDG du Conseil de la transformation alimentaire; de Robert Laplante, DG de l’Institut de recherche en économie contemporaine et d’Indira Moudi, présidente de Viandes Lafrance, le panel a discuté de la production locale de viande et de la consommation à proximité des lieux de transformation, pour réduire le coût environnemental qu’elle représente.


« J’ai pu en profiter pour amener les différentes études que mon bureau a réalisé au cours des dernières années et de l’importance pour la région d’avoir les éléments clés de la chaîne de production pour s’assurer de développer notre agriculture régionale pour que nos produits se retrouvent dans nos assiettes et permettre, grâce à l’apport économique de l’agriculture, de s’assurer d’une occupation dynamique du territoire. C’est aussi pourquoi les circuits courts sont aussi importants pour notre région. Les besoins en abattage de l’Abitibi-Témiscamingue et ailleurs au Québec ont aussi été au coeur des débats », a signalé Sébastien Lemire.


Un second panel a abordé l’avenir de la production maraîchère locale et la révision du rôle de l’État dans un contexte de changements climatiques. Enrichi de l’expérience commune de Catherine Lefebvre, présidente de l’Association des producteurs maraîchers du Québec; de Charles-Félix Ross, DG de la Fédération de l’Union des producteurs agricoles et de Léon Bibeau-Mercier, président de la Coopérative pour l’agriculture de proximité écologique, ce panel a énuméré les pistes pour que les producteurs puissent faire face aux changements climatiques en réévaluant le partage, avec le gouvernement fédéral, des risques que ces dérèglements impliquent.


« J’ai entendu nos panélistes et les participants au colloque. Les enjeux sont importants dans nos circonscriptions avec les changements climatiques et les programmes qui ne conviennent plus à ceux qui travaillent en agriculture et en production maraichère. Nous devons travailler ensemble pour livrer la marchandise localement et soutenir nos aliments ainsi que les produits de la ferme dans nos régions et dans tout le Québec », a fait savoir la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé.

« Nous sommes extrêmement satisfaits des pistes de solutions qui ont été émises par les panélistes. Non seulement ont-ils saisi l’occasion donnée par le colloque pour dresser un portrait franc de l’agriculture et de l’agroalimentaire, mais ils ont aussi proposé des avenues pour aborder les enjeux actuels et ceux auxquels ils feront face dans l’avenir. Une chose est claire : les entrepreneurs agricoles et agroalimentaires de l’Abitibi-Témiscamingue peuvent compter sur nous pour porter leur voix! », ont conclu les deux députés de la région du Bloc Québécois.

Source et information:
Mélanie Matte
Adjointe et agente aux communications
Bureau de Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou
melanie.matte.301@parl.gc.ca

Jean-François Vachon
Adjoint aux communications
Bureau de Sébastien Lemire
Jean-Francois.Vachon.302@parl.gc.ca