Pour un traitement juste et équitable de tous les aînés

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 15 mai 2023 Le député d’Abitibi-Témiscamingue, Sébastien Lemire, et la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, mènent avec détermination la bataille pour le traitement juste et équitable de tous les aînés admissibles à la pension de vieillesse.

Le projet de loi C-319 que le Bloc Québécois a déposé et qui prévoit rehausser de 10% la pleine pension de vieillesse pour tous les aînés de 65 ans à 74 ans, afin de mettre un terme à la discrimination sur l’âge. Les représentants de plusieurs associations d’aînés de la région et du Québec ont signifié leur appui à ce projet de loi qui prévoit également faire passer de 5000$ à 6500$ l’exemption à l’égard du revenu dans le calcul du montant du supplément de revenu garanti.

« Il est impensable qu’en 2023, autant de Québécoises et Québécois de 65 ans et plus peinent à payer leurs factures et doivent couper dans la nourriture ou le logement. On ne peut tolérer cela : il est de notre devoir de voir à la quiétude et la dignité de nos aînés et cela passe par la fin de la discrimination sur l’âge exercée par le fédéral pour les pensions de vieillesse », affirme Mme Bérubé.

« En ne réservant la hausse de la pension qu’aux personnes de 75 ans et plus, Ottawa a créé deux classes d’aînés. Que le gouvernement veuille faire des économies sur le dos de nos citoyens les plus vulnérables est d’un manque de compassion qui nous heurte profondément. Priver les aînés de 65 ans à 74 ans d’une augmentation qui leur est légitimement due est une injustice qui dure depuis trop longtemps. On doit corriger le tir et c’est ce que vise notre projet de loi », signale M.Lemire.

Des consultations en route

Le comité aviseur aînés du député Sébastien Lemire a aussi amorcé une tournée de consultation en région pour aller à la rencontre des citoyens de la région. Déjà, des consultations ont eu lieu à Ste-Germaine-Boulé et à Amos. « Les aînés nous ont parlé de plusieurs des problématiques qu’ils ont rencontré à tous les niveaux, que ce soit le transport ou les soins de santé. Cela me permet de cibler mes interventions auprès du gouvernement fédéral pour cerner les besoins des gens de notre région », a fait valoir Sébastien Lemire.

La tournée de consultation se poursuivra à Ville-Marie le 22 mai, à Beaudry le 23 mai et à Authier-Nord le 25 mai. D’autres dates pourraient s’ajouter, notamment dans la MRC de la Vallée-de-l’Or et dans la région du Nord-du-Québec sous l’égide du bureau de Sylvie Bérubé.

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Source et information: 

Jean-François Vachon                                                                              Lynda Perreault 

Adjoint aux communications                                                                 Gestionnaire de bureau 

Bureau de Sébastien Lemire          Bureau de Sylvie Bérubé 

Le Québec rejette le « Century Initiative »

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 12 mai 2023Le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet, le député d’Abitibi-Témiscamingue, Sébastien Lemire, et la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, ont invité les élus de tous les partis représentés à la Chambre des communes à voter en faveur de la motion rejetant les objectifs de la Century Initiative. Tout comme tous les partis à l’Assemblée nationale du Québec, le Bloc Québécois s’oppose sans équivoque au projet d’augmenter la population du Canada à 100 millions d’habitants d’ici 2100, ce qui aurait de lourds impacts pour le Québec, notamment quant à notre capacité d’accueil, notre poids politique et l’avenir de la langue française.

« Si on tolère la Century Initiative, on sera incapable d’assurer l’intégration en français, économique et dans les services publics de ces gens qui ont choisi le Québec. Il faut que quelqu’un ici tienne tête et dénonce ce projet d’Ottawa qui nuit au Québec et ça, c’est le travail du Bloc Québécois. Tout ceci nous rappelle que le Québec doit disposer de tous ses pouvoirs en immigration, ou mieux : de tous les attributs de la souveraineté. C’est une réflexion à nourrir », rappelle Yves‑François Blanchet.

Rappelons que le seuil d’immigration actuel du Canada, soit 500 000 personnes, équivaut à construire chaque jour un village comme Palmarolle par jour, l’équivalent d’une ville comme Amos chaque semaine ou d’une ville comme Val-d’Or chaque semaine.

« Ottawa doit respecter notre capacité d’accueil. Le Québec est généreux et accueillant, et veut que les nouveaux arrivants trouvent ici une vie convenable : un logement, des services de santé, de garderie, d’éducation et, bien sûr, le soutien requis pour bien s’intégrer en français et ainsi participer à notre culture dans toutes les régions du Québec. Pour moi, il est important de tendre la main », souligne M. Lemire.

« Seul le Québec connaît sa réelle capacité d’accueil et toute initiative en matière d’immigration devrait logiquement relever du gouvernement du Québec. Quoi qu’il en soit, la Century Initiative ne respecte pas le Québec. Elle est un autre exemple des politiques d’Ottawa pour faire reculer le français et réduire notre poids politique. Ottawa n’en a que faire de notre spécificité, nos valeurs et notre identité québécoise. Mais il n’est pas question qu’on laisse faire Ottawa: nous défendrons notre poids politique, notre langue et notre avenir », conclut Mme Bérubé.

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Source et information: 

Jean-François Vachon                                                                                     Lynda Perreault 

Adjoint aux communications                                                                        Gestionnaire de bureau 

Bureau de Sébastien Lemire                                                                         Bureau de Sylvie Bérubé 

Gain majeur sur le financement de la norme biologique, mais doutes raisonnables sur la transparence de l’édition génomique

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 10 mai 2023 – Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue, et Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, se réjouissent de voir le gouvernement s’engager à financer la révision quinquennale de la norme biologique que le Bloc Québécois demande depuis longtemps.

La norme biologique permet de déterminer les normes de production des produits biologiques. Jusqu’à tout récemment, le fédéral s’entêtait à refiler la facture aux producteurs qui aurait atteint. « Il indiquait que la norme était privée. Il a finalement fait volte-face pour soutenir un secteur dont les pratiques environnementales sont bénéfiques pour toute la société. L’industrie biologique est novatrice, très présente au Québec, et mérite d’être adéquatement soutenue et bien encadrée. Dans un contexte de changements climatiques, le biologique est un des modèles déjà bien ancré dans des pratiques durables », ont soutenu les deux députés.

Des interrogations touchant aussi l’édition génomique ont été soulevés par les députés notamment sur le plan de la transparence. L’édition génomique consiste à effectuer une modification génétique chez une plante ou un animal. Par exemple, une tomate contient des gènes non actifs lui permettant d’être épicée. Grâce à l’édition génomique, cela permet d’activer ces gènes afin de produire des tomates épicées. Un autre exemple consiste à prendre une gène qui empêche une patate de noircir lors d’un impact et de l’introduire dans un autre type de patate.

« Nous observons que des mesures sont mises en place pour assurer la déclaration de la présence de semences issues de l’édition génomique dans les produits alimentaires. C’est indispensable pour que les producteurs et les consommateurs puissent faire un choix éclairé. Il nous apparaît toutefois essentiel que cette transparence soit obligatoire et supervisée par l’État. Actuellement, nous sommes plutôt devant une mesure volontaire en vertu de laquelle un comité, composé des producteurs biologiques, l’industrie de l’édition génomique et l’État, assurera une surveillance, mais où on laisse l’industrie administrer la notion de transparence », a mentionné Sébastien Lemire.

« Afin de protéger notre chaîne de production et de consommation alimentaire, nous persistons à croire que l’État doit gérer le processus de transparence et que celui-ci doit être obligatoire. Nous surveillons de très près la mise en place de ce comité et le processus d’évaluation annuelle, considérant la proximité des groupes ne voulant pas d’une transparence gérée par l’État avec les acteurs gouvernementaux », rappelle M. Lemire.

Les consommateurs et consommatrices, l’Union des producteurs agricoles et le gouvernement du Québec demandent toujours que la transparence soit imposée dès aujourd’hui : « Les producteurs et productrices biologiques ont besoin de connaître les sources de leur approvisionnement et les citoyens et citoyennes sont en droit de savoir ce qui se trouve dans leur assiette, y compris en ce qui concerne les produits issus de l’édition génomique. Nous ne voulons pas interdire cette technologie, nous voulons l’encadrer et assurer l’information à la population et aux producteurs et productrices, et ainsi contribuer à un meilleur avenir pour chacun », conclut Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

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Source et information: 

Jean-François Vachon                                                                                     Lynda Perreault 

Adjoint aux communications                                                                        Gestionnaire de bureau 

Bureau de Sébastien Lemire                                                                         Bureau de Sylvie Bérubé 

Sylvie Bérubé annonce le financement dans le cadre d’Emploi Été Canada 2023 pour la circonscription

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 5 mai 2023 – Sylvie Bérubé, députée fédérale est mitigé dans le cadre de ce financement cette année. Elle est heureuse d’annoncer l’investissement, cependant elle est aussi déçue de la baisse considérable pour 2023.

« J’ai le plaisir d’annoncer un investissement de 1 052 414 $ pour 299 emplois offerts dans le cadre du programme Emploi Été Canada de Service Canada. C’est une belle aide financière pour les employeurs. Cela permettra à plusieurs étudiants et étudiantes de bénéficier d’une expérience de travail.», mentionne Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

Comparativement à l’an dernier, c’est une diminution de 34 % et 165 emplois en moins seulement pour la circonscription d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou. Une lettre a été envoyée à la ministre responsable du dossier de Service Canada afin de demander l’augmentation du montant comme octroyé dans les deux dernières années. Le montant alloué, cette année, ne tient pas compte de la pénurie de main-d’œuvre qui perdure depuis plusieurs années et des besoins réels du terrain.

« Cette aide financière est bénéfique afin d’aider les employeurs et les OBNL de notre circonscription à alléger leur budget. L’expérience dont les jeunes acquièrent durant cette période est enrichissante pour eux et leur permet de développer plusieurs habiletés. », exprime Madame Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

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Source :


Lynda Perreault                                                   

Directrice de bureau                                             

Bureau de Sylvie Bérubé                                      

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou             

Les conservateurs veulent dicter quoi faire au Québec et aux municipalités

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 3 mai 2023 Le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet, et la députée Sylvie Bérubé ont réagi, dans le cadre de la journée d’opposition conservatrice qui se tenait le 2 mai, à leur motion portant sur le logement et les infrastructures. La motion conservatrice propose notamment de lier les fonds fédéraux destinés à l’infrastructure des municipalités au nombre de nouveaux logements construits, pénalisant ainsi celles qui en « retarderaient » la construction.

« Le Bloc Québécois votera en défaveur de cette motion qui suggère de mettre les pouvoirs des municipalités, du Québec et des provinces en matière de logement, entre les mains d’Ottawa. Le Bloc Québécois l’affirme depuis longtemps : les plus aptes à connaître les besoins en logements sur leur territoire, ce sont les provinces et les municipalités », affirme Yves‑François Blanchet.

« Ce sont les municipalités qui connaissent leur territoire, ce sont les municipalités qui connaissent les besoins réels de leur population. Ce sont elles qui dispensent les services directement aux citoyens, qui organisent leur milieu de vie et leur quartier. Entendre les conservateurs les accuser de ralentir le processus, c’est complètement absurde », rappelle Mme Bérubé.

« Le Québec gère l’argent dédié au logement, puis le répartit aux municipalités et aux organismes selon les besoins et les réalités du terrain. Ce n’est pas au fédéral de s’y ingérer. Rappelons d’ailleurs que le logement est une compétence exclusive du Québec et des provinces. Ce n’est pas avec des ingérences et des menaces d’amputer le financement que la crise du logement sera résolue », souligne la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunanik-Eeyou, Sylvie Bérubé.

« Le parti conservateur souhaite qu’Ottawa dicte au gouvernement du Québec et à ses municipalités, quels sont leurs besoins et quelles sont leurs priorités en matière de logement. Pour ce qui est du respect des champs de compétence, on repassera! Doit-on vraiment rappeler l’importance de la politique municipale, l’importance de ce palier et de sa proximité avec la population? », conclut Sylvie Bérubé.

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Source :
Lynda Perreault                                               

Directrice de bureau                                        

Bureau de Sylvie Bérubé                                             

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                  

« C’est enfin l’heure de crier victoire pour nos travailleurs et travailleuses et nos personnes retraitées ! »

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 20 avril 2023 La députée Sylvie Bérubé se réjouit de l’adoption par le Sénat hier du projet de loi visant à protéger les fonds de retraite en cas de faillite ou d’insolvabilité de l’employeur. Le Sénat n’y ayant fait aucune modification depuis son adoption unanime à la Chambre des communes en novembre dernier, le projet de loi a obtenu directement le statut de loi. 

« Après trois projets de loi déposés et plusieurs années de travail, les régimes de retraite sont désormais protégés. C’est une grande réussite, dont je me réjouis en tant que députée, mais surtout et avant tout pour les travailleurs et les retraités. Ce dossier, que le Bloc Québécois a porté pour les gens de la Cliff Natural Ressources, mais aussi pour l’ensemble des travailleurs et travailleuses de chez nous et du Québec. Plus jamais les personnes retraitées n’auront à vivre l’injustice de perdre ce pour quoi elles ont travaillé toute leur vie », explique Mme Sylvie Bérubé.

« C’est grâce à l’inlassable travail du Bloc Québécois pendant les sept dernières années que ce projet de loi a obtenu l’assentiment de tous les parlementaires à la Chambre des communes, puis au Sénat. Le Bloc Québécois sera toujours présent pour porter la volonté des travailleurs et travailleuses et s’assurer que leurs droits soient entendus », souligne la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

« L’adoption hier de la loi protégeant nos travailleurs et travailleuses et nos personnes retraitées démontre que lorsque tous mettent de côté la partisanerie, nous sommes capables d’accomplir de grandes choses, comme éliminer des injustices qui perdurent depuis trop longtemps. Évidemment, ce n’est pas seulement un travail de politiciens : c’est également grâce à la mobilisation des employés et employées ainsi que du milieu syndical que nous pouvons aujourd’hui célébrer et crier victoire! », conclut Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

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Lynda Perreault                                               

Directrice de bureau                                        

Bureau de Sylvie Bérubé,                                             

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                  

Les libéraux et le NPD unis contre la volonté du Québec

Abitibi-Baie-james-nunavik-Eeyou, 20 avril 2023La députée Sylvie Bérubé déplore qu’une majorité de députés aient voté contre le projet de loi pour obtenir un rapport d’impôt unique administré par le Québec. La députée regrette cette occasion ratée de mettre fin à un dédoublement et de simplifier la vie des Québécois, des Québécoises et de leurs entreprises qui sont les seuls au Canada à remplir deux déclarations d’impôt.

Mme Bérubé s’explique mal que les libéraux et le NPD aient pu voter « contre le bon sens ». « Plus que jamais, dans toutes les organisations, on tente d’éviter les dédoublements et de maximiser les ressources. Au-delà de toute partisanerie, cette préoccupation seule devrait suffire à appuyer notre projet de loi. Manifestement, les libéraux et le NPD se sont contentés de voter contre les intérêts du Québec », signale la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

« Il n’y a rien qui justifie le fait que les Québécois et Québécoises s’astreignent à remplir deux déclarations d’impôt, alors qu’une seule gérée par le Québec permettrait de réaliser des économies en temps et en argent. Le gouvernement du Québec perçoit déjà la TPS pour le fédéral. Nous sommes amplement capables de percevoir l’entièreté des taxes et impôts », soutient Sylvie Bérubé. La déclaration de revenus unique générerait également, selon les experts de l’Institut de recherche sur l’autodétermination des peuples (IRAI), des économies annuelles de 425 M$.

« Les Québécois et Québécoises en ont assez d’être les seuls à remplir deux déclarations de revenus et veulent qu’il n’y en ait qu’une, administrée par Québec. L’Assemblée nationale du Québec a voté une motion unanime en ce sens et la demande faisait partie des revendications du gouvernement du Québec aux dernières élections fédérales. Le Syndicat de la fonction publique du Québec, les milieux d’affaires et chambres de commerce, les ordres de comptables, ainsi que 65 % des Québécois sondés par Léger en 2019 sont aussi en faveur. C’est un projet de loi qui est bon pour le Québec et nous allons revenir à la charge pour nous assurer que cette volonté des Québécoises et des Québécois soit respectée », avise Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

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Source :
Lynda Perreault                                               

Directrice de bureau                                        

Bureau de Sylvie Bérubé                                             

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                  

Sylvie Bérubé presse le gouvernement fédéral d’agir

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 18 avril 2023 – La députée Sylvie Bérubé appuie les demandes de la Fédération de l’Union des producteurs agricoles qui a sonné l’alarme en conférence de presse mercredi dernier sur la santé financière de nos entreprises agricoles, de même que sur la santé mentale des producteurs. La députée bloquiste exige des actions de la part d’Ottawa.

« L’agriculture, c’est la base d’une société. Dans un contexte où l’on parle de se construire une résilience alimentaire locale et où l’on aborde de grandes questions comme l’insécurité alimentaire mondiale, le gouvernement doit appuyer concrètement nos agriculteurs », explique Mme Bérubé.

Considérant que nos agriculteurs doivent s’endetter pour nourrir la population, la situation est loin d’être attirante pour la relève agricole. Alors qu’une ferme sur dix mettra la clé dans la porte d’ici 12 mois si rien n’est fait rapidement pour venir en aide au secteur, le gouvernement libéral ne peut plus ignorer la situation.

« Le gouvernement fédéral peut faire sa part en procédant au lancement d’un nouveau « compte d’urgence agricole » pour assurer la pérennité des entreprises, particulièrement celles de la relève qui ont un lourd endettement. Il doit aussi allonger le délai de remboursement du programme déjà existant et reporter de deux ans le remboursement prévu en 2023 », poursuit Sylvie Bérubé, députée d’Abitib-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

Depuis longtemps, le Bloc Québécois dénonce le manque de soutien au monde agricole, particulièrement lorsque l’on compare le niveau de support financier offert par le gouvernement canadien à celui des États-Unis ou de l’Europe, qui est bien plus élevé. Il ne faut pas oublier que nos producteurs et productrices sont en compétition directe avec ces pays et sont nettement désavantagés.

« Le contexte inflationniste actuel et les taux d’intérêt élevés créent un contexte extraordinaire qui rend nécessaire une intervention de l’État tout aussi extraordinaire. La pandémie nous a permis de constater l’importance de nos richesses québécoises et de les garder pour notre autonomie alimentaire. Il est impératif de soutenir nos agriculteurs et agricultrices dans cette étape de transfert de la relève. C’est une question de survie dans notre propre circonscription. », conclut Sylvie Bérubé.

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Lynda Perreault                                               

Directrice de bureau                                        

Bureau de Sylvie Bérubé

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou

Les conservateurs tentent de bloquer le projet de loi

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 4 avril 2023 – La députée Sylvie Bérubé a dénoncé les techniques d’obstruction des députés conservateurs qui retardent et bloquent l’adoption de ce projet de loi visant la protection de la gestion de l’offre lors de négociations commerciales internationales. À l’aube d’une visite du chef conservateur au Québec, Mme Bérubé interpelle ses collègues conservateurs et réclame un engagement clair en faveur du projet de loi et du milieu agricole québécois.

« L’adoption de ce projet de loi est non seulement nécessaire, mais urgente. Le système de la gestion de l’offre a été mis à mal dans trois accords commerciaux consécutifs avec l’Europe, les États-Unis, le Mexique et dix pays de la zone Pacifique, et doit être protégé rapidement. Mais que font les conservateurs? Ils bloquent l’adoption et ne démontrent aucun respect du processus démocratique. Ils prétendent appuyer le milieu agricole lorsqu’ils sont en sa présence, mais manœuvrent pour retarder l’adoption du projet de loi. Je leur demande de cesser ces méthodes et de respecter le processus normal de cheminement d’un projet de loi », a plaidé la députée bloquiste.

Le projet de loi est présentement étudié au Comité permanent du commerce international de la Chambre des communes. Jeudi dernier, le vice-président du comité, le conservateur ontarien Kyle Seeback, a parlé pendant les deux heures que durait la séance.

« C’est très pénible d’assister à un tel cirque quand un projet de loi nous tient à cœur. Ce n’est pas partisan, c’est carrément l’avenir de plusieurs régions et l’organisation d’une grande partie du secteur agricole et agroalimentaire du Québec qui est en jeu », a dénoncé Sylvie B.rubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

Une large majorité des députés conservateurs et leur chef, Pierre Poilievre, ont voté en faveur du projet de loi lors du vote en deuxième lecture, le 8 février dernier.

« En Chambre, tous les députés conservateurs du Québec se sont levés pour appuyer C-282, mais en comité, ils laissent leurs collègues conservateurs de l’Ouest faire la pluie et le beau temps. C’est de l’hypocrisie, d’autant plus qu’une bonne part des comtés conservateurs québécois sont très agricoles. Il est encore temps de mettre de côté la petite politique afin d’agir concrètement pour changer les choses et assurer la survie de notre modèle agricole. Notre main est tendue : c’est maintenant aux conservateurs de revenir à la raison et de se réengager en faveur du milieu agricole québécois », a conclu Sylvie Bérubé.

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Source :
Lynda Perreault                                               

Directrice de bureau                                        

Bureau de Sylvie Bérubé                                             

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                  

Visite surprise

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 3 avril 2023 – La députée Sylvie Bérubé constate avec déception du manque de considération du premier ministre Justin Trudeau envers les membres du parlement d’Ottawa en omettant d’informer la députée de sa visite dans sa circonscription au IGA Pelletier de Val-d’Or pour parler du remboursement de l’épicerie.

« Il convient de rappeler le rôle essentiel que nous jouons dans l’accompagnement des

dossiers qui bénéficient à la qualité de vie de nos citoyennes et citoyens avec la complexité des programmes fédéraux déficients. Par conséquent, nous aviser de sa présence aurait été l’occasion pour M. Trudeau de démontrer de la considération aux personnes de l’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, » relate Sylvie Bérubé.

« Lors du discours du premier ministre, ce dernier affirmait que le Bloc Québécois était contre leur nouvelle mesure de remboursement de l’épicerie, mais la réalité est tout autre puisque nous sommes en faveur de la mesure, nous demandions un soutien pour les plus vulnérables face à la hausse du coût de la vie, » affirme Mme Bérubé.

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Source :

Mélanie Matte                                          

Adjointe de circonscription de Sylvie Bérubé                                        

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou