Un ultime signal d’alarme pour le gouvernement Trudeau

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 18 août 2022 – Réagissant aux données de Statistique Canada confirmant le recul du poids du français au Québec au profit d’une anglicisation croissante, la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, appelle le gouvernement Trudeau à « se saisir de l’urgence de la situation ».

« Tous les indicateurs le démontrent : le déclin du français se poursuit, tant au Québec qu’au Canada. Ceci doit être l’ultime signal d’alarme pour le gouvernement libéral, qui refuse toujours de se saisir de l’urgence de la situation. Si les libéraux sont sérieux lorsqu’ils se disent préoccupés par l’état de la langue française, c’est le moment d’agir en reculant sur leur intention de soustraire l’application de la loi 101 aux entreprises sous juridiction fédérale et en mettant un frein au financement de l’anglicisation croissante au Québec. « Qu’on mette les choses au clair : Québec est le seul maître d’oeuvre de sa politique linguistique,  le déclin est arrivé pour notre belle langue de Molière et nous avons sonné l’alarme maintes fois et maintenant, il faut que le gouvernement Trudeau agisse! », tranche Sylvie Bérubé, députée bloquiste.

La proportion de francophones est maintenant sous la barre des 80% comme principale langue parlée à la maison. Le français langue maternelle se rapproche des 75%. Il y a aussi un déclin quant à la simple connaissance du français ou à ladite première langue officielle parlée. En parallèle, l’anglais progresse, selon l’ensemble de ces indicateurs.  

« Les libéraux fédéraux vivent sur une autre planète : huit députés québécois du Parti libéral du Canada ont participé en mai à une manifestation contre la loi réformant la Charte de la langue française, tandis que le ministre de la Justice ouvre tout grand la porte à une contestation judiciaire de cette loi. C’est inacceptable! Ces données doivent servir d’ultime éveil à l’urgence de la situation », soutient Mme Bérubé.

Au cours des derniers mois, le Bloc Québécois a déposé un projet de loi sur la langue française exigeant notamment une connaissance suffisante du français comme condition à l’obtention de la citoyenneté canadienne pour les résidents permanents du Québec. Le gouvernement du Québec a aussi exprimé son souhait de rapatrier les pouvoirs en immigration, demande sur-le-champ rejetée par Justin Trudeau.

« Outre la connaissance minimale du français comme un critère à la citoyenneté québécoise, nous pensons qu’il est crucial pour le Québec de contrôler de A à Z son immigration. Jusqu’ici, tout ce que le gouvernement Trudeau aura prouvé, tant par ses nominations unilingues que ses sorties contre les tentatives de protection et de promotion de la langue française du gouvernement du Québec, c’est qu’il s’oppose aux efforts de sauvegarde de notre langue. Ça suffit! Ottawa doit cesser sa croisade contre la loi 96, obtempérer aux demandes de Québec et transférer les pouvoirs en immigration », conclut Sylvie Bérubé.

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Mélanie Matte

Adjointe de circonscription

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Réaction à la suite de financement d’Ottawa pour les fouilles à Eeyou-Istchee

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, le 27 juillet 2022 – Pour donner suite à l’annonce, la semaine dernière, d’Ottawa de financer la recherche au sol du pensionnat à Fort George sur le territoire Eeyou-Istchee, la députée fédérale d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, a réagi.

« Depuis des lunes que les communautés vivent l’angoisse de savoir ce qui s’est passé pour leurs enfants disparus. La découverte des dépouilles, dans les pensionnats partout au Canada, ont surpris le monde entier et la révélation des actes inconcevables de la part du clergé et du gouvernement en place ont été de la stupéfaction par ses gestes odieux qu’on subit ces enfants par la souffrance à la mort dans les pires sévices. Aujourd’hui, ce geste du gouvernement n’est qu’un baume dans la perspective de la découverte d’enfants sur notre territoire Eeyou Istchee, » a mentionné Mme Bérubé.

Le mois dernier, la communauté de Chisasibi avait fait savoir publiquement qu’elle ferait la fouille de cinq sites d’anciens pensionnats sur leur territoire. Le financement qui vient d’être annoncé, par Ottawa, les aidera dans ces recherches. Un mémorial sera érigé en collaboration avec les survivants, leurs familles et leur communauté.

« Les chefs décideront du fonctionnement selon leurs valeurs et coutumes. Nous savons que le Pape François est arrivé au Canada, et arrivera sous peu au Québec. Est-ce que les excuses, présentées cette semaine, suffiront pour les gestes de ses pairs ? Cependant, les séquelles vont demeurer et les communautés touchées se souviendront. Courage, paix, sérénité et espoir pour l’avenir de nos enfants ! a conclu Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou. »

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Source :
Lynda Perreault                                                  

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé                                     

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Le chantage financier d’Ottawa en santé est inadmissible

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 12 juillet 2022 – Le Bloc Québécois appuie le Conseil de la fédération qui talonne le gouvernement fédéral afin qu’il s’attable aux négociations pour le rehaussement urgent des transferts en santé au Québec, aux provinces et aux territoires. Le financement des réseaux de soins est l’enjeu prioritaire du front commun des premiers ministres qui réclame une augmentation récurrente et sans condition de 28 G $ des transferts canadiens en santé. Qu’Ottawa cherche maintenant à se défiler de ses responsabilités en invoquant les dépenses encourues par la pandémie est totalement inadmissible, soutient Mme Sylvie Bérubé, députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.


Réunis en conseil à Victoria durant deux jours, les premiers ministres ont rappelé à Ottawa que le gros de la pandémie est maintenant passé et qu’il doit comme convenu, ouvrir les négociations pour une hausse récurrente et sans condition des transferts en santé.


« L’insuffisance chronique du financement fédéral en santé impacte durement le réseau de soins du Québec et ses travailleurs, qui sont à bout. Préexistante à la crise de la Covid, la pression sur notre réseau de santé s’amplifie à mesure que se prolonge l’attente pour qu’Ottawa ajuste à la hausse sa contribution financière. Que le gouvernement Trudeau ose prétexter les dépenses encourues par la pandémie pour se défiler de sa responsabilité de payer sa part des transferts en santé au Québec et aux provinces, poussant l’offense jusqu’à s’ingérer dans nos juridictions, est d’un culot sans nom ! », souligne Mario Simard, porte-parole du Bloc Québécois en matière d’Affaires intergouvernementales.


« Le fédéral n’a aucune compétence en santé et n’a rien à dire dans la façon dont les experts en soins du Québec gèrent leurs priorités médicales et disposent des fonds fédéraux. Ottawa use d’une odieuse stratégie d’essoufflement financier pour contraindre les réseaux de santé et imposer les conditions d’un financement fédéral « à la carte ». Que ce gouvernement centralisateur veuille s’arroger tous les pouvoirs et faire du chantage financier sur le dos du Québec avec la part des taxes et impôts payés par nos contribuables est indécent ! L’argent des Québécois doit leur revenir, sans condition, afin qu’ils puissent compter sur les excellents soins de santé auxquels ils ont droit. Pas question que le gouvernement fédéral nous fasse chanter avec notre propre argent ! », avise Madame Bérubé.


« Le gouvernement ne bouge pas, et ce même si nous proposons sans cesse l’augmentation en santé. C’est nécessaire pour que le Québec ait des budgets raisonnables dans des situations inacceptables comme ce qui s’est passé en pandémie et dans les centres d’hébergement! », souligne Sylvie Bérubé.


Le gouvernement fédéral assume actuellement 22% des dépenses en santé alors que le Québec, les provinces, ainsi qu’un front commun de syndicats et de fédérations de la santé estiment que cette part devrait s’élever à au moins 35%. Le Bloc Québécois maintient qu’un Sommet public sur la santé réunissant l’ensemble des premiers ministres et acteurs concernés doit être tenu dès que possible.

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Source
Mélanie Matte
Adjointe de circonscription
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Destination circonscription en période estivale

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 11 juillet 2022 La députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, a amorcé sa tournée estivale dans la circonscription.

Elle était présente à la fin de session parlementaire. Sa présence fut marquée dès son arrivée dans la circonscription le 23 juin dernier, d’Ottawa à Chapais pour l’ouverture du Festival du doré de la Baie-James en fin de journée et de Chapais à Lebel-sur-Quévillon pour célébrer la Fête nationale du Québec avec le discours patriotique qu’elle a eu l’honneur de faire devant la population en fête. Le 24 juin, elle était présente à la Fête nationale du Québec de Val-d’Or.

Tournée estivale chargée

Sa tournée lui permettra de faire des rencontres avec les OBNL, les jeunes citoyens dans le cadre de son mandat de porte-parole de Famille, Enfants et Développement social, ainsi que des entreprises, des employeurs et des gens dans la circonscription lors d’activités estivales. En trois étapes, elle prendra la route pour Chapais, Chibougamau, Ville-Bois, Val-Paradis, Beaucanton, Matagami et la Vallée-de-l’Or. À l’automne, c’est plutôt à la Baie-James et le nord du Québec qu’elle fera sa visite.

À l’écoute des citoyens

« Je rencontre déjà les acteurs importants de notre circonscription qui me parlent de pénurie de main-d’œuvre de plus en plus marquante, ainsi que d’avantages d’enjeux qui préoccupent nos entreprises. J’observe les impacts sur le terrain et je pourrai les défendre auprès des ministères concernés à mon retour à Ottawa », souligne Madame Bérubé.

De plus, elle mentionne l’importance d’aller à la rencontre de plusieurs citoyens lors de sa tournée estivale puisqu’obtenir l’opinion des gens est primordial afin de bien les représenter lors de son mandat.

Le programme Emplois d’été a permis de créer plusieurs emplois dans la circonscription.

Elle soutient les organismes, les activités et les événements culturels dans les municipalités.

Défendre notre circonscription

« Dès la fin des travaux à Ottawa le 23 juin, j’ai amorcé les rencontres et je continuerai jusqu’en septembre avant la rentrée parlementaire. Avec cette tournée estivale, j’aurai le pouls et je pourrai poursuivre la défense des intérêts de ma circonscription auprès des ministères. Aller à la rencontre des entreprises, des OBNL, des gens, c’est d’être connectée à son monde et d’être présente dans la plus grande circonscription du Québec », exprime la députée, Sylvie Bérubé.

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Source :
Mélanie Matte

Adjointe de circonscription

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Bilan de session : choc des valeurs Canada-Québec

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 28 juin 2022 – Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois, et Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou ont dressé le bilan d’une session marquée par un choc des valeurs entre le gouvernement fédéral et le Québec, ainsi que par l’ineptie d’un Parti libéral peinant à assurer le fonctionnement de base de l’État.

« Outre la guerre en Ukraine et le convoi anti-mesures sanitaires, c’est l’offensive en règle lancée par le gouvernement fédéral contre le Québec qui a marqué la session. Justin Trudeau a officialisé son intention de s’attaquer à la loi 21 du Québec sur la laïcité de l’État ainsi qu’à la loi 96 du Québec sur la protection du français. Il a déposé un projet de loi sur les langues officielles qui ne protège pas le français au Québec, mais bien le droit d’angliciser les milieux de travail fédéraux. Il a cautionné l’effritement du poids politique de la nation québécoise au Parlement canadien. Dans tous les dossiers, le gouvernement Trudeau incarne un choc des valeurs entre le Canada et le Québec. Le Bloc Québécois, quant à lui, poursuivra son travail plus que jamais essentiel de défendre et promouvoir les intérêts du Québec », a déclaré M. Blanchet.

Selon Mme Bérubé la session aura également été le théâtre d’une démonstration d’incompétence fédérale. « Si gouverner, c’est prévoir, la crise des passeports trace le portrait d’un caucus ministériel usé qui peine à assurer les services de base aux Québécois et Québécoises.

Bilan de la circonscription d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou

Plusieurs dossiers d’assurance-emploi, Immigrations et passeports ont été résolus ou reçoivent un suivi. Lors des différentes rencontres, une personne du bureau était présente en personne ou par le web. Participation aux multiples événements organisés dans la circonscription. Implication et démarches dans le dossier de l’aérodrome. Participation financière auprès de nombreuses activités et festivals. Discours patriotique à la fête nationale de Lebel-sur-Quévillon. Défense pour l’augmentation financière des personnes aînées (110 $/mois).

« L’été vient de s’installer et je vais poursuivre ma présence sur le terrain en débutant avec une tournée estivale dans la MRC de la Vallée-de-l’Or au début juillet, début août à Lebel-sur-Quévillon, Chapais et Chibougamau et au début septembre à Matagami, Villebois, Val-Paradis-Beaucanton et Val-d’Or », a conclu Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

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Source :
Lynda Perreault                                                  

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé                                     

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou           

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L’inertie d’Ottawa doit cesser

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 21 juin 2022– La députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, dénonce l’inertie d’Ottawa qui tarde à intervenir pour mettre fin aux interminables délais de traitement pour les demandes de passeports. Le Bloc Québécois presse à nouveau le gouvernement fédéral de mettre en place dans les plus brefs délais les mesures requises pour débloquer cette situation inacceptable que subissent quotidiennement des milliers de personnes.

« Ottawa a laissé dégénérer une situation au mépris des citoyens et citoyennes qui attendent en ligne durant des heures, avant de finir par être renvoyés chez eux. Services Canada prend des rendez-vous avec nos gens et il est arrivé de les retourner en leur disant de revenir le lendemain. Ils n’ont aucune conscience des frais reliés à tout cela et du stress vécu. Ça n’a aucun bon sens et les citoyens et citoyennes en ont ras-le-bol! On ne peut tolérer ça davantage, c’est inadmissible! Le gouvernement a la possibilité de régler ça et doit le faire immédiatement », affirme Sylvie Bérubé.

La députée bloquiste se désole que le gouvernement n’ait pas anticipé cette situation, ni planifié les moyens pour répondre à la reprise des déplacements transfrontaliers, pourtant très prévisible avec la fin des mesures sanitaires. Il accuse des retards lamentables dans le traitement des demandes de passeports.

« La stratégie de l’inaction dans laquelle se complaît Ottawa a assez duré : le gouvernement a laissé s’enfler ce fiasco et il est de sa responsabilité de le résorber. Le Bloc Québécois a proposé des solutions concrètes afin que les citoyens puissent obtenir leurs passeports dans des délais raisonnables. C’est simple : pour se remettre en selle, Ottawa doit élargir les plages horaires; ouvrir la fin de semaine ainsi que les jours fériés et traiter les demandes urgentes sans frais. Les citoyens ont droit à un service décent et n’ont pas à écoper pour le manque de prévisibilité et la gestion chaotique du gouvernement fédéral. », a conclu la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé.

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Source :
Lynda Perreault                                                  

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé                                     

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Protéger la gestion de l’offre une fois pour toute !

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 14 juin 2022, la députée fédérale d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé annonce que le Bloc Québécois dépose un nouveau projet de loi visant à protéger intégralement la gestion de l’offre dans les futurs accords commerciaux.

« Le projet de loi a été rendu nécessaire après qu’une série de brèches contenues dans trois accords commerciaux consécutifs avec l’Europe, dix pays de la zone Pacifique ainsi qu’avec les États-Unis et le Mexique, aient été consenties. L’agriculture est un secteur important pour la continuité de la sécurité alimentaire. Nous devons protéger ce noyau essentiel par sa production. La gestion de l’offre est une assurance. », rappelle Mme Bérubé.

« Plus de 6000 entreprises agricoles québécoises opèrent selon le modèle de la gestion de l’offre. L’agriculture est un secteur économique très important, mais c’est plus que cela : ça représente un modèle de gestion sain, équitable et qui favorise l’agriculture à échelle humaine. Il nous faut le protéger », signale la députée bloquiste.

La gestion de l’offre permet notamment de limiter les importations de certains produits agroalimentaires, tels produits laitiers, œufs, volailles et dindons, afin que le marché se suffise à lui-même en fonction de la consommation et des coûts de production. « Toutefois, le gouvernement a fini par mettre la gestion de l’offre sur la table, et ce, même s’il s’était engagé plusieurs fois en Chambre, à protéger intégralement ce système », avise Mme Bérubé.

« Les multiples motions unanimes votées au fil des années dans ce Parlement pour la protection intégrale du système de gestion de l’offre n’ont pas été respectées. Les parlementaires ne semblent pas se sentir liés par celles-ci, mais nous sommes ici pour leur rappeler qu’il y a moins de deux ans, 250 députés se sont levés pour voter en faveur de C‑216, le même projet de loi mort au feuilleton à cause des élections de 2021. J’espère que ceux et celles qui ont été réélus seront conséquents et réitéreront cet appui », conclut Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

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Source :
Lynda Perreault                                                  

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé                                     

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou           

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Le parti libéral et le parti conservateur unis pour affaiblir le Québec

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 10 juin 2022– Les députés du parti libéral et du parti conservateur se sont unis, ce mercredi, afin de voter pour affaiblir le poids politique du Québec au sein du Canada. Le projet de loi du Bloc, rejeté par 264 voix, réclamait qu’une clause nation soit instaurée afin d’assurer un seuil minimal de 25% de députés du Québec au sein du parlement canadien.

« Les conservateurs et les libéraux s’unissent aujourd’hui avec un seul but commun : celui d’affaiblir le poids du Québec dans la fédération canadienne. Le Québec sait maintenant que lorsque vient le temps de défendre bec et ongles la représentation des Québécois et Québécoises à Ottawa, il ne peut compter ni sur le parti conservateur et ni sur le parti libéral », a dénoncé Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

Le projet de loi du Bloc Québécois survenait après l’annonce du redécoupage de la carte électorale proposé par Élections Canada où le Québec se voyait retirer une circonscription fédérale. Le scénario proposé prévoyait alors que l’Alberta, la Colombie-Britannique et l’Ontario gagneraient cinq sièges. La décision avait été décriée par l’ensemble de la classe politique québécoise.

« Le poids du Québec est primordial pour une meilleure démocratie lors d’élections. Nous venons de subir un contrecoup par le Parti libéral et le Parti conservateur qui démontrent leur indifférence face à la nation québécoise. Ce rejet de démocratique est la réalité qui existe dans nos deux visions, celle de la défense de notre droit de votation au Québec et celle de la ligne droite de non-recevoir. », a déclaré Mme Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

En mars, le Bloc Québécois avait fait adopter par 261 voix une motion réclamant que tout scénario qui aurait pour effet de « diminuer le poids politique du Québec à la Chambre des communes », soit rejeté.

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Source :
Lynda Perreault                                                   

Directrice de bureau                                             

Bureau de Sylvie Bérubé,                                      

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou             

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Une tempête prévisible

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 8 juin 2022 –la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé et le député d’Abitibi-Témiscamingue, Sébastien Lemire dénoncent les délais de traitement inacceptables pour les demandes de passeports. Le Bloc Québécois réclame du gouvernement qu’il mette de l’avant des solutions concrètes afin de pallier la crise.

« Les délais pour obtenir un passeport sont inacceptables. On demande aux gens de l’Abitibi-Témiscamingue de se rendre à la dernière minute à Montréal ou Gatineau. Ils doivent faire la file, attendre des heures, tout ça sans avoir la certitude d’obtenir leur passeport. Des citoyens en sont même rendus à faire du camping. Le gouvernement a été pris de court et n’est pas en mesure de faire face aux besoins », a dénoncé Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue.

Avec la fin de certaines mesures sanitaires, le retour des voyages internationaux et l’achèvement des passeports 10 ans, il était prévisible que les citoyens allaient déposer leurs demandes de passeports. Pour une personne de l’Abitibi-Témiscamingue et le Nord-du-Québec dont le vol part de la région, c’est des déplacements inutiles, une nuitée à l’hôtel et, qui plus est, des frais supplémentaires pour obtenir le passeport en urgence. C’est totalement inacceptable. Ça ramène l’importance d’avoir accès à des services gouvernementaux en région

« C’est impensable, des citoyens et citoyennes attendent pour leur passeport et doivent faire plus de 500 kilomètres sans succès. Il faut que cela cesse et donner du service à la clientèle en région. Nous tenaillons le gouvernement à agir pour une meilleure gouverne. C’est vraiment inacceptable. Ce que les citoyens réclament, ce sont des solutions concrètes afin d’obtenir leurs passeports dans des délais raisonnables », a précisé la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé.

Afin de résoudre la crise, le Bloc Québécois a suggéré au gouvernement d’ouvrir temporairement et sans frais, les bureaux de passeports durant les fins de semaine afin de traiter rapidement les demandes les plus urgentes.

« En pleine crise, il n’y a pas un seul bureau de passeport ouvert la fin de semaine, même pour les personnes qui doivent quitter dans les 48 heures. Le gouvernement oblige les gens qui attendent depuis trois mois à manquer une ou deux journées de travail pour déposer une demande d’urgence et pire encore, ils facturent de 50 à 110 $ de frais supplémentaires : c’est inacceptable! Nous sommes catégoriques : les bureaux de passeport doivent ouvrir la fin de semaine et traiter les demandes urgentes sans frais », ont conclu les députés bloquistes, Sylvie Bérubé et Sébastien Lemire.

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Source :

Lynda Perreault                                              Jean-François Vachon

Directrice de bureau                                       Adjoint aux communications

Bureau de Sylvie Bérubé                                 Bureau de Sébastien Lemire,

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou        Député Abitibi-Témiscamingue

819 824-2942                                                819 279-1060

lynda.perreault.301@parl.gc.ca                         jean-francois.vachon.302@parl.gc.ca

Le Bloc Québécois ouvre le débat sur l’état de la liberté d’expression

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, le 7 juin 2022 – Le colloque sur la liberté d’expression tenue, en fin de semaine dernière, par le Bloc Québécois a connu un franc succès.

« Nous souhaitions, par ce colloque qui accueillait un panel de politologues, d’enseignants et d’experts, susciter la réflexion sur un enjeu crucial pour notre société et pour l’exercice de notre démocratie dans un contexte où malheureusement, les atteintes à cette liberté se multiplient sur plusieurs plans. Le sujet du colloque, c’est la liberté d’expression, mais également la liberté d’enseignement, la liberté artistique et la liberté de recherche qui, au cours des derniers mois en particulier, ont été mises à mal par des courants de pensée qui visent à déterminer le sens de la recherche ou le sens de l’enseignement. Il est essentiel de préserver cette indépendance de la science qui est à la base des savoirs de nos lieux d’enseignement, et qui non seulement rayonne sur toute la sphère publique, mais est fondamentale pour la démocratie québécoise », souligne le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet.

Le Bloc Québécois a réuni quelque 200 intéressés et experts au Marché Bonsecours. L’objectif, pleinement atteint, était d’amorcer une réflexion ouverte et publique sur la place de la liberté de dire et de penser au sein de la société québécoise, à un moment où l’on constate une multiplication des atteintes à ce droit démocratique fondamental.

« La liberté d’expression est l’état même d’une bonne démocratie. Nous vivons un changement de cap majeur par le balbutiement des lettres à omettre, des expressions haineuses, dire et ne pas dire. Ce colloque fut un moyen de se prononcer de l’état de notre société actuelle et de ce qu’elle deviendra dans le dogmatique sujet de la liberté d’expression, a conclu Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou. »

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Source :
Lynda Perreault                                                  

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé                                     

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou           

819 824-2942                                                                    

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