Le déséquilibre fiscal au détriment des intérêts du Québec

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 29 mars 2023 – Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois, et Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, accueillent froidement un budget dans lequel les libéraux concrétisent leurs engagements envers le NPD pour se maintenir au pouvoir ainsi que leur entente forcée en santé avec le Québec et les provinces, sans se protéger face à une détérioration de la situation économique.

« Le gouvernement de Justin Trudeau et Jagmeet Singh abuse du déséquilibre fiscal, des crédits périmés et d’un système de santé sous-financé pour remplir les engagements lui permettant de se maintenir au pouvoir. Il faudra aussi surveiller de près des crédits d’impôt substantiels destinés à la transition écologique, mais susceptibles de profiter à des entreprises qui sont tout sauf écologiques, comme les pétrolières. Sans filet en cas de récession, ce second chapitre du gouvernement libéral-NPD devrait assurer sa survie immédiate, sans s’intéresser aux intérêts spécifiques du Québec ni aux demandes formulées par les intervenants socio‑économiques québécois. Il semble se ménager de la marge de manœuvre pour un budget beaucoup plus électoraliste en 2024 », a constaté M. Blanchet.

L’argent du NPD et des provinces au rendez-vous

Les demandes budgétaires du NPD en matière d’assurance dentaire et de prolongement de la bonification du retour de TPS, rebaptisé pour l’occasion « remboursement pour l’épicerie », sont comblées. Les nouvelles sommes comprises dans la décevante entente entre Ottawa, Québec et les provinces sur le financement de la santé sont aussi budgétées jusqu’en 2028. « Sans être une grande nouvelle pour les ménages québécois, certains trouveront réconfort dans ce soutien prolongé face à la hausse du coût de la vie. On dirait que le gouvernement s’est contenté de cocher les cases les plus élémentaires pour traverser une année de plus. Il faudra regarder ailleurs que dans ce document pour trouver une quelconque vision d’avenir », a signalé Sylvie Bérubé.

21 G$ vers la transition écologique

L’autre élément-clé consiste en des investissements frôlant 21 G$, essentiellement en crédits d’impôt à l’électricité propre, l’économie verte, le transport et les technologies écologiques. « Le Bloc Québécois reproche qu’une partie significative de ces sommes pourra aider des entreprises comme les pétrolières à polluer moins plutôt qu’à réduire leur production et transiter vers le 21e siècle. L’impact de ces sommes non négligeables reste à déterminer. Sous forme de crédits d’impôt ou de fonds administrés par des sociétés d’État, il sera difficile de suivre au pas ces investissements et d’assurer l’imputabilité des bénéficiaires. Le Bloc sera vigilant afin d’éviter toute forme d’écoblanchiment », a assuré la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé.

Les demandes du Québec omises

L’exercice financier 2023 ne répond pas aux principales demandes prébudgétaires formulées par les différents groupes d’intérêts québécois. « Le budget ne répond que partiellement à deux demandes du Bloc Québécois. Nous soulignons le renfort dans le financement de l’éducation en français hors Québec, mais déplorons qu’il soit noyé dans un budget total incluant du soutien pour l’anglais au Québec. Des réinvestissements légers permettent d’espérer de meilleurs services à la population de la part de l’État. Autrement, sans surprise, les transferts en santé s’en tiennent au niveau insuffisant de l’entente forcée de cet hiver. Les aînés ne trouveront pas un sou de plus pour assurer leur qualité de vie. L’assurance-emploi est complètement négligée, malgré les difficultés du régime. Alors que le gouvernement aurait dû se recentrer sur les missions fondamentales de l’État fédéral en cas d’éventuelle récession, le gouvernement livre un budget faisant preuve de plus de vision pour son propre avenir immédiat que pour celui des Québécois », a conclu Sylvie Bérubé.

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Source :
Lynda Perreault                                               

Directrice de bureau                                        

Bureau de Sylvie Bérubé                                             

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                  

15 projets du Nord-du-Québec recevront plus de 1 M$ en financement

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 21 mars 2023 – Sylvie Bérubé, députée fédérale d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, se réjouit d’une très belle annonce de financement pour des projets des entreprises et des organismes à but sans lucratif dans sa circonscription.

« Une bonne nouvelle, pour le développement économique, qui s’est vu attribuer des sommes dans deux fonds : Essor des communautés et conservation de l’environnement ainsi qu’Initiatives de nature entrepreneuriale », mentionne Mme Bérubé.

Le Fonds d’initiatives nordiques, du gouvernement du Québec, a approuvé neuf projets dans Eeyou Istchee Baie-James et six au Nunavik. Les projets sont reliés aux domaines suivants : la conception, la construction et/ou la rénovation d’infrastructures de développement social et l’acquisition de connaissances sur la biodiversité nordique. La Société du plan Nord supervisera la réalisation de ces projets, étant responsable du programme PAN 20-23.

« Ces investissements seront bénéfiques aux communautés des Premiers Peuples du Nord ainsi que les municipalités dans Eeyou Istchee Baie-James. De beaux projets verront le jour ! Félicitations aux organisations d’avoir pris le temps pour développer ces idées afin de répondre aux besoins. », a conclu Mme Bérubé.

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Source :
Lynda Perreault                                           

Directrice de bureau                                    

Bureau de Sylvie Bérubé                             

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou        

SÉBASTIEN LEMIRE ET SYLVIE BÉRUBÉ DÉNONCENT LA RÉDUCTION DES BUDGETS D’EMPLOIS D’ÉTÉ CANADA

Abitibi-Témiscamingue et Nord du Québec, 14 mars 2023 – Les députés du Bloc Québécois Sébastien Lemire et Sylvie Bérubé, sont désolés de constater que le gouvernement n’ait pas indexé les montants pour le programme d’Emplois d’été Canada. Cela entraîne une réduction du nombre d’emplois financés pour les entreprises et les organismes de la circonscription. Cela arrive à un mauvais moment alors que certains secteurs de l’économie se remettent toujours de la pandémie.

Selon les informations obtenues auprès du bureau de la ministre des Femmes, de l’Égalité des genres et de la Jeunesse, responsable du programme, la réduction des budgets de 545 M $ dans le programme à 334 M $ est due à la fin des montants spéciaux accordés dans le cadre de la pandémie. Le financement est donc revenu au niveau prépandémique sans bénéficier d’une pleine indexation.

« Pour mon bureau, la réduction vis-à-vis l’an dernier est de 27%. C’est le quart du budget qui disparaît. C’est de nombreuses entreprises et organismes qui ne pourront pas bénéficier de ces sommes pour offrir des expériences de travail significatives aux jeunes de la région », a expliqué Sébastien Lemire.

Les députés sont surtout outrés de voir que l’indexation du programme entre les années 2020 et 2023 n’a pas été faite. Entre le budget de l’année 2020 et celui de 2023, c’est simplement 4% d’augmentation quand on enlève les montants spéciaux accordés dans le cadre de la pandémie. Cela ne tient pas compte de l’augmentation du salaire minimum au Québec qui est passé de 13,10$ à 15,25$ ni de la hausse de 12,5% en raison de l’inflation sur la même période

« Dans la circonscription d’Abitibi–Baie-James–Nunavik–Eeyou, c’est une diminution de 34% des sommes et 165 emplois en moins. Plusieurs organismes ou entreprises ont eu des difficultés à joindre les deux bouts depuis la pandémie et ce programme a permis de leur donner de l’air. 2023 sera une année de dur retour à la réalité pour plusieurs avec ces coupures non annoncées. Avant la pandémie, les hausses de programme ne couvraient jamais l’équivalent de la hausse du salaire minimum au Québec. Année après année, on peut financer de moins en moins d’emplois pour nos jeunes et leur offrir une expérience de travail stimulante », a soutenu Sylvie Bérubé.

« Ce programme répond à un besoin essentiel des entreprises de notre région, notamment celles agricoles et touristiques, mais aussi à de nombreux organismes à but non lucratif qui œuvrent dans des domaines névralgiques de notre société. Avoir une meilleure enveloppe nous permet de répondre à plus de demandes et, aussi, de permettre aux organismes et entreprises d’être plus compétitive en offrant un meilleur salaire à nos jeunes », a ajouté le député d’Abitibi-Témiscamingue, Sébastien Lemire.

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Source et information:

Jean-François Vachon                                                                                   Lynda Perreault

Adjoint aux communication                                                                        Gestionnaire de bureau

Bureau de Sébastien Lemire           Bureau de Sylvie Bérubé

VOYAGE D’ÉTUDE AU NUNAVUT ET AUX TERRITOIRES DU NORD-OUEST

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 13 mars 2023 – Sylvie Bérubé, députée fédérale d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou sera en déplacement durant la semaine du 12 au 18 mars 2023 dans le cadre d’un voyage d’étude au Nunavut et aux Territoires du Nord-Ouest pour le Comité des affaires autochtones et du Nord.

« J’ai le privilège de remplacer ma collègue pour ce déplacement afin de représenter le Bloc Québécois et aller sur le terrain pour constater les faits de cette étude. Ça sera enrichissant ! » mentionne Mme Bérubé.

Les membres du Comité permanent des affaires autochtones et du Nord de la Chambre des Communes se rendront à Cambridge Bay et à Kugluktuk, au Nunavut, et à Yellowknife, aux Territoires du Nord-Ouest, pour faire enquête dans le cadre de leur étude intitulée « Souveraineté, sécurité et préparation aux urgences des peuples autochtones dans l’Arctique ». Un cahier d’information est remis à chaque membres parlementaire incluant les renseignements généraux afin de les aider lors des réunions.

«Puisque la circonscription d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou est similaire en partie et que la sécurité alimentaire, les logements et les déplacements sont des enjeux importants, je prendrai note de ce voyage-études pour en discuter avec les communautés autochtones du Nord du Québec que je représente. », a conclu Mme Bérubé.

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Source :
Lynda Perreault                                           

Directrice de bureau                                    

Bureau de Sylvie Bérubé                             

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou             

Suivi dossier aéroport de Val-d’Or

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 10 mars 2023 – Sylvie Bérubé, députée fédérale d’Abitibi-Bai-James-Nunavik-Eeyou fait le point concernant le dossier de l’aéroport de Val-d’Or.

« Nous devons agir dans ce dossier suite à l’urgence d’effectuer le changement du système de balisage et de refaire le surfaçage de la piste d’atterrissage. J’ai des rencontres et des échanges régulièrement avec M. Omar Alghabra, ministre des Transports du Canada ainsi que M. Marc Miller, ministre des Relations Couronne-Autocthones pour l’obtention du financement. » mentionne Mme Bérubé.

L’aéroport de Val-d’Or est la troisième piste la plus longue au Canada. Plusieurs vols privés et commerciaux y font escale chaque jour et chaque semaine. Les citoyens et citoyennes du Nord-du-Québec doivent recevoir des services médicaux à Val-d’Or.   

« Est-ce que nous allons attendre qu’il arrive un incident catastrophique ou un accident majeur avec décès pour faire valoir l’importance de ces rénovations ? », a conclu Mme Bérubé.

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Source :
Lynda Perreault                                           

Directrice de bureau                                    

Bureau de Sylvie Bérubé,                             

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou        

Les moyens pour décider nous-mêmes

Abitibi-Baie-James-nunavik-Eeyou, 9 mars 2023 – Le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet, et la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, ont présenté les attentes du Bloc Québécois en vue du prochain budget fédéral, attendu dans les prochaines semaines. Les quelque 80 mesures proposées sont le fruit de consultations menées depuis l’automne dernier auprès de centaines d’intervenants du Québec de tous les domaines et auxquelles l’ensemble des députés bloquistes ont participé.

« Les crises à répétition qu’on vit depuis trois ans ont révélé bien des problèmes, a expliqué Yves-François Blanchet. D’abord, la COVID a démontré que notre système de santé avait été fragilisé par le sous-financement chronique du fédéral, tandis que les graves lacunes du régime d’assurance-emploi ont forcé l’adoption d’une série de programmes coûteux conçus sur un coin de table. On ne doit plus revivre ça! La réouverture soudaine de l’économie a exposé d’autres problèmes: pénurie de logements, pénurie de main-d’œuvre accentuée par le vieillissement de la population et grande fragilité de notre secteur manufacturier. Et voilà que l’agression russe contre l’Ukraine frappe nos agriculteurs qui doivent payer le fort prix pour leurs engrais, en plus de nous rappeler l’urgence de se sortir de notre dépendance au pétrole. Le gouvernement n’a réglé aucun de ces enjeux fondamentaux ».

« Avec sa récente annonce en santé, Justin Trudeau s’est contenté d’arrêter de couper. Dans dix ans, Ottawa couvrira 24% des coûts de santé, soit exactement ce qui prévalait lorsqu’il est arrivé au pouvoir et qui a mené à la crise qu’on connaît. Il est temps d’entreprendre une discussion sérieuse sur le déséquilibre fiscal au Canada. Ottawa doit contribuer à hauteur de 35% des coûts de santé si on veut rebâtir le système. C’est la même chose pour le pouvoir d’achat des aînés. Ça fait des années qu’on sait que la génération du baby-boom approche de l’âge de la retraite et qu’une forte baisse de son pouvoir d’achat risque de plomber l’économie. Mais Ottawa est incapable de voir venir », a avisé Mme Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

Voici les six demandes incontournables du Bloc Québécois:

  1. Hausser les transferts en santé au niveau de la demande initiale du Québec et des provinces. En lien avec cette demande, entreprendre le règlement du déséquilibre fiscal;
  2. Appliquer la hausse de la Sécurité de la vieillesse dès 65 ans;
  3. Mettre en place la réforme de l’assurance-emploi dès maintenant.
  4. Suspendre la taxe de luxe sur les aéronefs le temps nécessaire pour en corriger les effets pervers qui menacent 2 000 emplois dans l’aéronautique;
  5. Réformer les services fédéraux pour éviter les ratés et les délais actuels (IRCC, vétérans francophones, assurance-emploi, services frontaliers);
  6. Accroître l’appui financier du gouvernement fédéral en éducation en français à l’extérieur du Québec pour qu’il reflète la hausse des coûts.

Le document dévoilé aujourd’hui présente également une série de demandes dans tous les domaines afin de s’attaquer aux problèmes fondamentaux qui touchent le logement, le pouvoir d’achat des aînés, la pénurie de main-d’œuvre, l’inflation, les changements climatiques et l’accélération du virage vert, l’agriculture, l’économie québécoise et ses secteurs de pointe.

« Le Québec a une vision très claire des mesures à mettre en œuvre pour faire face efficacement aux défis actuels. La solution est simple et passe par davantage de moyens financiers pour le Québec. Le gouvernement Trudeau doit s’attaquer au déséquilibre fiscal en rehaussant les transferts fédéraux pour en assurer une redistribution plus équitable et plus juste. L’avenir se prépare en tablant sur les forces du Québec qui sont justement celles qui gagneront en importance dans l’économie de demain. On vit une période de bouleversements actuellement. Si on veut en sortir plus forts, il faut bâtir sur du solide et c’est ce que visent les propositions du Bloc Québécois », a conclu Mme Bérubé.

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Source :
Lynda Perreault                                                 

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé,                                     

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou            

Des polluants éternels dans l’eau potable

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 27 février 2023 – Devant la réalité des résultats de l’étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Montréal et dirigée par l’expert M. Sébastien Sauvé, Mme Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou demeure à l’affut dans le dossier de l’eau potable contaminée par des composés perfluorés (SPFA – substances poly- et perfluoroalkyliques) communément appeler polluant éternel en raison de leur résistance.

Rappelons que le 24 avril 2021, le ministère de l’Environnement et le ministère de la Santé publiaient un avis d’intention portant sur la grande classe des substances perfluoroalkyliques et polyfluoroalkyliques. Essentiellement, le gouvernement du Canada affirmait vouloir :

Le 7 février 2023, Santé Canada débutait une consultation publique pour une période de 60 jours visant à obtenir des commentaires afin d’élaborer et de mettre à jour les recommandations pour la qualité de l’eau potable au Canada. En prévision de diminuer l’exposition de la population aux composés perfluorés dans l’eau potable, un nouvel objectif fixé à 30 ng/L est suggéré.

« Malgré les démarches entreprises par le gouvernement fédéral depuis plusieurs années dans ce dossier, aucune réglementation n’est en vigueur », déplore Sylvie Bérubé.

« Même si l’on retrouve des traces de SPFA dans l’eau potable de la majorité des villes québécoises, les résultats n’en demeurent pas moins très inquiétants puisque la concentration retrouvée dans les échantillons de Val-d’Or varie de 35 à 171 ng/L. C’est l’une des concentrations les plus élevées de tout le Québec.  Ces contaminants éternels sont potentiellement cancérigènes et peuvent entraîner des répercussions sur la grossesse et le cholestérol. Cette situation m’interpelle davantage considérant que je demeure à Val-d’Or », souligne Mme Bérubé.

Sylvie Bérubé salue les efforts de la ville de Val-d’Or en prenant les devants à la suite des résultats obtenus par l’équipe de chercheurs de l’Université de Montréal.

« Puisque les taux de composés perfluorés étant plus élevés dans l’eau du puits d’appoints, la Ville a pris la décision de cesser son approvisionnement de ce dernier par mesure préventive. De plus, la ville procède à des analyses afin de déterminer la provenance de ces composés de SPFA avant même que la nouvelle norme soit en vigueur par Santé Canada », conclut Mme Bérubé.

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Source :

Mélanie Matte                                          

Adjointe de circonscription de Sylvie Bérubé,                                        

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou           

Références 1 : https://canadagazette.gc.ca/rp-pr/p1/2021/2021-04-24/html/notice-avis-fra.html

Protégeons nos aînés de la pauvreté

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 24 février 2023 – Mme Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou ainsi que Mme Jenny Fortier adjointe de circonscription du bureau de Lebel-sur-Quévillon ont participé au colloque portant sur les conditions financières difficiles auxquelles sont confrontés de plus en plus d’aînés. Le Bloc Québécois s’est fait l’instigateur du colloque qui a réuni plus de 120 participants et experts hier, au Centre des congrès de Granby.  

L’événement visait à dégager des pistes pour soulager de la précarité financière qui frappe un nombre grandissant d’aînés au Québec. Il est extrêmement préoccupant de constater que de nombreuses personnes aînées manquent de ressources financières et s’imposent des privations de toutes sortes. Cette situation-là est intolérable et il est de notre devoir de voir à leur quiétude et leur dignité de nos aînés. Considérant que de plus en plus d’aînés peinent à payer leurs factures face à la hausse du coût de la vie, ces pistes de solutions seront présentées au gouvernement libéral en prévision du budget 2023.

« C’est pourquoi nous avons pris part à ce colloque qui a réuni des experts en fiscalité et en politiques publiques pour les aînés, ainsi que des représentants d’associations et d’organismes nationaux représentant et défendant les droits des personnes âgées », explique Sylvie Bérubé.

On comptait notamment parmi les invités, Yves Carrière, Ph.D; Roberson Édouard, Ph.D; le Dr Réjean Hébert; Pierre Tircher, Ph.D; le représentant de l’Association québécoise de défense des droits des personnes retraitées et préretraitées, Pierre-Claude Poulin, ainsi que le représentant du Réseau de la Fédération de l’Âge d’Or du Québec, Philippe Poirier-Monette.

« Les experts ont partagé leurs réflexions et leurs connaissances sur la situation financière des aînés, un exercice qui s’est avéré fructueux et très éclairant. Les échanges avec les participants ont ouvert la porte à une plus large réflexion, notamment en ce qui a trait aux principales préoccupations et besoins des personnes aînées », souligne Sylvie Bérubé. 

« Nous avons atteint notre objectif. Cette journée nous a permis de dresser un portrait fidèle de la réalité financière des aînés et d’approfondir nos connaissances pour encore mieux porter la voix des aînés lors du prochain budget et de poursuivre notre travail afin d’améliorer leurs conditions de vie », conclut Mme Bérubé.

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Source :

Mélanie Matte                                          

Adjointe de circonscription                                            

Bureau de Sylvie Bérubé,                                     

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou

Dans l’action contre la loi d’interdiction d’achat d’immeubles résidentiels par des non-Canadiens et non-Canadiennes

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 15 février 2023 – Mme Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou a tenu à faire un suivi concernant la parution d’un article, qu’un couple de Val-d’Or, est visé par cette Loi sur l’interdiction d’achat d’immeubles résidentiels par des non-Canadiens. Elle les a rencontrés, la semaine dernière, à son bureau de Val-d’Or.

« Nous avons déjà demandé au gouvernement d’apporter les modifications nécessaires à cette loi.  J’ai aussi entrepris des démarches auprès de mon collègue, du Bloc Québécois, qui est porte-parole pour le logement afin de faire bouger ce dossier sur les critères d’admissibilité. Nous savons qu’il y a un manque pour loger nos citoyens et citoyennes dans la circonscription et que l’achat d’une maison devient une solution pour eux de demeurer ici. Cette loi rate sa cible visant les spéculateurs étrangers immobiliers et nous voyons plusieurs cas qui entrent dans les failles et qui sont pénalisés, malgré les exceptions dans la loi » mentionne Mme Bérubé.

Rappelons que cette loi interdit, depuis le 1er janvier 2023, aux non-Canadiens et non-Canadiennes d’effectuer l’achat d’un immeuble qui a moins de quatre logements.

« Comment pouvons-nous garder nos gens chez nous lorsque nous n’avons pas de logement pour eux ou qu’ils ne peuvent pas acheter une résidence ? Le gouvernement est au fait d’une telle pénurie de loyer, pourquoi il a mis cette loi en place ? Nous devons et nous avons l’obligation de faire changer cette décision et je vais travailler en ce sens avec mon collègue. Il y a plusieurs personnes dans notre circonscription et ailleurs qui vivent cette situation. Nous devons agir maintenant ! » a conclu Mme Bérubé.

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Source :

Lynda Perreault                                           

Directrice de bureau                                    

Bureau de Sylvie Bérubé,                             

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou             

Semaine de la persévérance scolaire

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 13 février 2023 – Mme Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou prend un moment pour tranmettre un message d’encouragement pour les étudiants et les étudiantes en cette semaine spéciale de la persévérance scolaire du 13 au 17 février.

« Nous avons un rôle important à jouer auprès d’eux. Nous pouvons, tous et toutes, encourager, accompagner ou féliciter un élève. La motivation et croire en soi de nos jeunes, de la petite enfance à l’âge adulte, sont l’essence de la persévérance. » mentionne Mme Bérubé.

C’est une invitation à participer aux différentes activités organisées par Action Réussite en Abitibi-Témiscamingue et le Groupe Neurones dans le Nord-du-Québec. Il est démontré que le soutien social et de la communauté, auprès d’un élève, sont bénéfiques. Un simple petit geste peut entraîner des répercussions sur leur parcours.

« Encourageons et soutenons notre relève de demain ! Je vous lance le défi de porter du vert, le jeudi 16 février 2023, dans le cadre de la journée « Jeudi PerséVERT ».

Voici mon message pour vous les élèves : « Vous avez le potentiel pour réaliser vos rêves, faites-vous confiance et vous réussirez. » a conclu Mme Bérubé.

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Source :

Lynda Perreault                                                   

Directrice de bureau                                             

Bureau de Sylvie Bérubé,                                      

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou