Nomination vice-présidente Comité permanent des affaires autochtones et du Nord

Val-d’Or, le 13 mars 2020 Madame Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou a été nommée, vice-présidente au Comité permanent des affaires autochtones et du Nord, aujourd’hui jeudi 12 mars 2020, lors de la rencontre.  

« Je suis très heureuse d’avoir eu la nomination de vice-présidente au sein du comité permanent des affaires autochtones et du Nord (INAN) » a mentionné Mme Bérubé  

Ce comité interparlementaire réunit des députés de tous les partis. Ce comité permet de proposer des sujets relatifs aux affaires autochtones et inviter les responsables de dossier ainsi que des témoins.  

Nous pouvons entreprendre des études, des motions et avoir des réponses à nos questions. J’ai déposé une motion sur la crise autochtone au Québec et au Canada et les ministres Bennett et Miller ont été convoqués au comité. Les enjeux sont majeurs et ce comité est un atout pour les demandes aux affaires autochtones a déclaré Mme Bérubé, députée bloquiste Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

Consultation auprès des municipalités sur le Fond de la Taxe sur l’essence et la contribution du Québec

Val-d’Or, le 12 mars 2020 La députée fédérale d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Mme Sylvie Bérubé, annonce qu’elle mène une consultation auprès des municipalités de la circonscription sur les modifications que le gouvernement du Canada a apporté aux critères du Fonds de la Taxe sur l’essence et la contribution du Québec (TECQ).  

En effet, les nouveaux critères adoptés pour le fédéral ont pour effet de retirer des infrastructures telles que les hôtels de ville, les casernes de pompiers, les garages municipaux et les entrepôts des projets admissibles.  

« La TECQ est un des seuls programmes avec de l’argent du fédéral qui est géré en collaboration entre Québec et les municipalités. Il fonctionnait très bien, mais comme tout ce qui fonctionne au Canada, il a fallu que le gouvernement du Canada s’en mêle et change une recette qui marche. » soutient Mme Bérubé.  

Il est à noter que dans les plus petites municipalités, les infrastructures proscrites constituent souvent la majorité des bâtiments de la municipalité et qu’il n’est donc pas vraiment possible comme dans les plus grosses villes de réallouer des sommes entre différent projet pour profiter des sommes de la TECQ. La députée fédérale d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Mme Sylvie Bérubé, a donc décidé de recueillir les témoignages des différentes municipalités des projets qui ont été mis en difficulté à cause des modifications afin de faire pression sur la ministre de l’Infrastructure et des Collectivités.  

« Je m’affaire maintenant avec mon collègue porte-parole en matière de Transport, d’Infrastructure et de Collectivité, M. Xavier Barsalou-Duval, à recueillir les témoignages des municipalités sur la façon dont elles ont été affectées par les nouveaux critères fédéraux imposées aux Fonds de la taxe sur l’essence. Les témoignages et résolutions de conseil nous permettrons de bien documenter la situation et de mettre de la pression sur Mme Catherine McKenna, la ministre de l’Infrastructure, afin de revoir les critères. » conclut Mme Bérubé.

Crise autochtone : motion de Sylvie Bérubé en comité

Val-d’Or, le 09 mars 2020 Le 27 février dernier, la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé a présenté et fait adopter la motion suivante au comité permanent des affaires autochtones et du Nord de la Chambre des communes :

Que, conformément à l’article 108 (2) du Règlement, le Comité entreprenne une étude sur la crise autochtone actuelle qui sévit au Québec et au Canada; qu’il invite les ministres concernés, des spécialistes en affaires autochtones et qu’il en fasse rapport à la Chambre.

« Même si les barricades ont toutes été levées, il est important d’entendre et de questionner les ministres Carolyn Bennett et Marc Miller au sujet de leurs démarches durant cette crise et surtout sur les erreurs qu’ils ont commises dans ce dossier. Il sera aussi important d’entendre des spécialistes en affaires autochtones qui pourront sûrement nous fournir des pistes de solution afin de s’assurer qu’une telle crise ne se reproduise plus jamais. » a déclaré Mme Bérubé.

« Je comprends très bien l’objectif du gouvernement d’avoir voulu régler cette crise de façon pacifique, mais en même temps il faut être conscient qu’il a créé un précédent en laissant cette crise perdurer sans avoir de plan concret pour y mettre fin rapidement. » a-t-elle ajouté.

« C’est l’économie du Québec et du Canada qui a souffert du laxisme et du manque de leadership du gouvernement fédéral dans ce dossier. Des entreprises de chez nous ainsi que des travailleurs et travailleuses en auront pour des semaines voire des mois à se relever des impacts négatifs qu’a eu cette crise sur eux. » conclut Sylvie Bérubé

À noter que c’est ce mardi 10 mars qu’aura lieu la réunion du comité permanent des affaires autochtones et du Nord sur ce sujet.  

Soutien à Uniboard de Val-d’Or pour leur demande financière

Val-d’Or, le 04 mars 2020

À la suite d’une rencontre et d’une visite, ce lundi 02 mars chez Uniboard de Val-d’Or, Madame Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou s’est engagée à soutenir et plaider l’entreprise dans sa demande financière auprès du gouvernement fédéral.
 
Mme Bérubé a rencontré M. James N. Hogg, président et chef de la direction, M. Jean-Sébastien Couillard, vice-président exécutif et chef des opérations financières et M. Sylvain Côté, directeur régional et a eu le privilège de visiter l’usine afin de constater l’importance de cet investissement qui permettra à l’entreprise de demeurer compétitif sur le marché et d’élargir leur offre de produits.
 
Mme Bérubé mentionne qu’elle sera perspicace dans la défense de ce dossier, considérant que l’agrandissement d’Uniboard aura de très belle retombée économique pour notre circonscription et permettra la mise en valeur de cette entreprise établie depuis plus de 40 ans à Val-d’Or. L’entreprise a fait des investissements majeurs qui a
démontrée leur viabilité et leur intérêt de demeurer dans la région.
 

Loi C-217 – Bonification des prestations spéciales de maladie de l’assurance-emploi

Abitibi-Témiscamingue, 26 février 2020 – Suite à la motion adoptée par la Chambre des communes le 18 février dernier, le Bloc québécois a déposé cette semaine le projet de loi C-217 – Projet modifiant la Loi sur l’assurance-emploi (maladie, blessure ou mise en quarantaine). Ce projet vise à bonifier considérablement de 15 à 50 semaines le nombre de semaines de prestations spéciales pour les personnes atteintes de maladies graves tel que le cancer.

C’est dans ce contexte que Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi–Baie-James–Nunavik–Eeyou et Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue, saluent le leadership du Bloc québécois, qui, à titre de deuxième opposition, a réussi à rassembler une majoritaire de parlementaires sur une décision qui se doit d’être empreinte de compassion et d’humanité.

Les députés souhaitent maintenant que le gouvernement se montre à la hauteur dans les prochaines étapes qui mèneront vers l’abrogation de la loi qui se doit d’être adaptée à la réalité actuelle des travailleurs. Rappelons que cette dernière n’a pas été modifiée depuis son entrée en vigueur en 1971 et qu’il existe actuellement de gros surplus dans cette caisse actuellement.

Pour le député d’Abitibi-Témiscamingue, « le Bloc québécois s’est toujours battu pour obtenir les meilleures conditions de vie pour les travailleurs et travailleuses québécois qui contribuent activement au développement de notre société. » « Le projet de loi qui a été déposé donne la chance aux personnes gravement malades de se battre et de se soigner dans la dignité. C’est une manière d’être compatissant et de corriger une situation qui traine depuis trop longtemps. » a ajouté M. Lemire.

« Nous voulons que Justin Trudeau fasse preuve d’un peu de compassion envers tous ces gens qui, combattant la maladie, doivent en plus faire face à la pauvreté à cause d’un programme inadapté. La Chambre a parlé. Nous verrons maintenant si ce gouvernement aura le courage et le cœur de l’écouter », a conclu Mme Bérubé, députée fédérale Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

Une crise autochtone et économique, le gouvernement doit gérer la situation immédiatement !!

Val-d’Or, le 24 février 2020

À maintes reprises la semaine dernière, la députée Sylvie Bérubé a pris la parole à la Chambre des communes pour demander au gouvernement d’agir, de trouver une solution à la crise autochtone.  Il faut que le gouvernement fédéral négocie avec les chefs héréditaires du territoire Wet’suwet’en et des Premières Nations. On voit de plus en plus de personnes manifester en appui aux chefs héréditaires.
 
« Il est important de préserver la paix sociale. Je voudrais dire aux manifestants d’éviter que leurs gestes entretiennent la méfiance de part et d’autre et ne favorise pas une réconciliation. » a mentionné Mme Sylvie Bérubé, députée fédérale Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.
 
« Le processus de léthargie aggrave la situation et démontre un manque de leadership du gouvernement fédéral » ajoute-t-elle.
 
Vendredi dernier, le premier ministre a déclaré que c’est aux provinces d’agir. Elles doivent donc porter le fardeau de l’inaction du gouvernement Trudeau? « Ça suffit, nous ne sommes pas au baseball, pour se lancer la balle ainsi! » a lancé la députée fédérale d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Mme Sylvie Bérubé.
 
La mauvaise gestion de cette crise par le gouvernement libéral occasionne des blocus qui se multiplient, des pertes financières pour les industries, des pertes d’emplois, sans oublier l’insatisfaction de la population.
 
« Cela fait plus de 2 semaines que ça dure. Il est tant que le gouvernement agisse et trouve une solution et mette fin à cette crise! Il ne faudrait surtout pas attendre la perte de vie pertes d’hommes ou de femmes pour agir », a déclaré Mme Bérubé, députée bloquiste.

Solidarité envers les entreprise affectées par le blocus de notre circonscription

Madame Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou tient à informer qu’elle travaille ardemment sur ce dossier. Ce blocus amènera des répercussions jusque dans notre circonscription, s’il n’est pas réglé dans les prochaines heures.  

À la suite de son intervention en Chambre des communes hier, Mme Bérubé mentionne que seul le Bloc québécois semble être le seul parti qui a mis la partisannerie de côté afin de trouver plusieurs pistes de solution à ce conflit qui perdure. Depuis le début de cette crise, il semble que seul le Bloc québécois a réfléchi à des solutions concrètes pour apaiser la situation et trouver des dénouements favorables. Nous ne sommes pas restés les bras croisés.  

Mme Bérubé a invoqué que le blocus cause de grandes difficultés aux compagnies forestières, qui ont déjà de la difficulté avec le présent conflit du bois d’œuvres, puisqu’elles dépendent du transport par train pour acheminer leur bois. Les producteurs forestiers ne sont payés que sur réception de la marchandise par le client. Si la situation dure trop longtemps, cela risque d’entrainer des problèmes de liquidités.  

Mme Bérubé, comme son chef M. Yves-François Blanchet, demande la levée des barricades immédiatement et réclame au gouvernement de rétablir la communication avec les représentants de la nation Wet’suwet’en sans attendre.

Ouverture de deux bureaux dans la circonscription

À la suite de l’ouverture du bureau de Val-d’Or en novembre 2019, Madame Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou est heureuse d’annoncer l’ouverture prochain d’un bureau à Chibougamau et un autre à Lebel-sur-Quévillon.  

Mme Bérubé s’est déplacée afin de faire l’annonce en personne auprès de la mairesse de Chibougamau, Mme Manon Cyr ainsi que le maire de Lebel-sur-Quévillon, M. Alain Poirier vendredi dernier le 14 février 2020. L’enchantement et l’enthousiasme se lisaient sur leur visage. Ils ont partagé leur satisfaction d’avoir un bureau ainsi qu’une ressource dans leur municipalité.  

Mme Bérubé mentionne que la circonscription d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou est grande à couvrir et afin de bien répondre aux différents besoins, elle se devait d’ouvrir un bureau dans ces deux municipalités.  

D’autres annoncent suivront d’ici avril 2020.  

Pénurie de logements : L’Abitibi-Témiscamingue vit une crise et doit recevoir sa juste part

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, le 13 février 2020 – Devant l’important enjeu de la crise du logement, Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue et Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi–Baie-James–Nunavik–Eeyou, unissent
leurs voix à celle de leur collègue Denis Trudel, député de Longueuil–St-Hubert et porte-parole du Bloc
Québécois en matière de solidarité sociale, et demandent à Ottawa de transférer, sans condition, les
sommes dues au gouvernement du Québec. Avec un taux d’inoccupation qui s’établit à l’heure actuelle à
1 % à Rouyn-Noranda, 1,4 % à Val-d’Or et 2.3 % à Amos, pour ne nommer que ces villes, il est nécessaire
d’aller de l’avant sans plus attendre.

Pour les députés du Bloc Québécois, il est clair que le manque de logement à coût raisonnable fait partie
des principaux freins en ce qui concerne l’attraction et la rétention des travailleurs dans les régions du
Québec. Il est nécessaire, pour le développement autant économique que social de l’Abitibi-Témiscamingue
et du Grand-Nord, que tous participent à l’établissement de solutions dans ce dossier. « Régulièrement, des
acteurs du développement économique et des organismes de différents milieux nous font part de
l’importance de cet enjeu qui représente notamment un frein à l’établissement durable des travailleurs chez
nous, particulièrement dans un contexte où certaines de nos entreprises doivent refuser des contrats faute
de main-d’œuvre », a mentionné M. Lemire.

La pénurie de logements est aussi critique dans nos villes que sur les communautés autochtones de notre
circonscription. « La situation du logement est particulièrement préoccupante dans les communautés
autochtones de la région et du Nord-du-Québec. Le logement est un droit à la base des besoins
fondamentaux. La crise du logement a non seulement un impact sur la qualité de vie de ces individus, mais
aussi sur leur dignité. Beaucoup de problèmes sociaux découlent du manque d’espace et de la
suroccupation », a ajouté Sylvie Bérubé.

« Ottawa doit admettre que le Québec est mieux placé pour connaître ses besoins et priorités en matière de
logement social, et reconnaître sa compétence exclusive concernant le logement et l’habitation. Ce n’est pas
moi qui le dis, mais l’Assemblée nationale au grand complet. Ottawa doit donc payer sa juste part en
réinvestissant trois milliards, et transférer l’argent que le Québec attend depuis 2017 sans condition », a
demandé Denis Trudel.

Rappelons que ces sommes sont attendues depuis 2017 et que la Fédération des Chambres de Commerce
du Québec (FCCQ) recommande, dans son livre blanc pour des régions économiquement dynamiques qu’il
est nécessaire de développer un programme de support visant l’augmentation de l’offre de logements locatifs
et en copropriété spécifiquement en région afin de mieux tenir compte des cycles de vie et de l’adaptation
nécessaires des nouveaux arrivants.
-30 –
Source et information:
Marie-France Beaudry
Conseillère aux communications et développement communautaire
Bureau de Sébastien Lemire
819 763-1915
Marie-France.Beaudry.302@parl.gc.ca

Lynda Perreault
Directrice de bureau
Bureau de Sylvie Bérubé
Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou
819-824-2749
Lynda.Perreault.301@parl.gc.ca

Pénurie de logements : L’Abitibi-Témiscamingue vit une crise et doit recevoir sa juste part

Rouyn-Noranda, le 13 février 2020 – Devant l’important enjeu de la crise du logement, Sébastien Lemire,
député d’Abitibi-Témiscamingue et Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi–Baie-James–Nunavik–Eeyou, unissent
leurs voix à celle de leur collègue Denis Trudel, député de Longueuil–St-Hubert et porte-parole du Bloc
Québécois en matière de solidarité sociale, et demandent à Ottawa de transférer, sans condition, les
sommes dues au gouvernement du Québec. Avec un taux d’inoccupation qui s’établit à l’heure actuelle à
1 % à Rouyn-Noranda, 1,4 % à Val-d’Or et 2.3 % à Amos, pour ne nommer que ces villes, il est nécessaire
d’aller de l’avant sans plus attendre.


Pour les députés du Bloc Québécois, il est clair que le manque de logement à coût raisonnable fait partie
des principaux freins en ce qui concerne l’attraction et la rétention des travailleurs dans les régions du
Québec. Il est nécessaire, pour le développement autant économique que social de l’Abitibi-Témiscamingue
et du Grand-Nord, que tous participent à l’établissement de solutions dans ce dossier. « Régulièrement, des
acteurs du développement économique et des organismes de différents milieux nous font part de
l’importance de cet enjeu qui représente notamment un frein à l’établissement durable des travailleurs chez
nous, particulièrement dans un contexte où certaines de nos entreprises doivent refuser des contrats faute
de main-d’œuvre », a mentionné M. Lemire.

La pénurie de logements est aussi critique dans nos villes que sur les communautés autochtones de notre
circonscription. « La situation du logement est particulièrement préoccupante dans les communautés
autochtones de la région et du Nord-du-Québec. Le logement est un droit à la base des besoins
fondamentaux. La crise du logement a non seulement un impact sur la qualité de vie de ces individus, mais
aussi sur leur dignité. Beaucoup de problèmes sociaux découlent du manque d’espace et de la
suroccupation », a ajouté Sylvie Bérubé.


« Ottawa doit admettre que le Québec est mieux placé pour connaître ses besoins et priorités en matière de
logement social, et reconnaître sa compétence exclusive concernant le logement et l’habitation. Ce n’est pas
moi qui le dis, mais l’Assemblée nationale au grand complet. Ottawa doit donc payer sa juste part en
réinvestissant trois milliards, et transférer l’argent que le Québec attend depuis 2017 sans condition », a
demandé Denis Trudel.


Rappelons que ces sommes sont attendues depuis 2017 et que la Fédération des Chambres de Commerce
du Québec (FCCQ) recommande, dans son livre blanc pour des régions économiquement dynamiques qu’il
est nécessaire de développer un programme de support visant l’augmentation de l’offre de logements locatifs
et en copropriété spécifiquement en région afin de mieux tenir compte des cycles de vie et de l’adaptation nécessaires des nouveaux arrivants.