La gestion de l’offre enfin protégée

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 23 juin 2023 – La députée Sylvie Bérubé se réjouit de l’adoption du projet de loi C-282 visant à protéger intégralement le système de la gestion de l’offre, qui a reçu l’appui du NPD et de plusieurs élus libéraux et conservateurs.

« C’est une belle journée pour nos producteurs sous gestion de l’offre. Le message est clair : la Chambre vient de signifier que la gestion de l’offre ne doit plus être une monnaie d’échange. Nous avons été rassembleurs, nous avons préconisé une approche transpartisane et ça a donné ce merveilleux résultat. Je me réjouis de voir le projet de loi renvoyé au Sénat et j’en partage le résultat avec tous les parlementaires de cette Chambre qui sont passés de la parole au geste », a souligné Mme Bérubé.

« Nous nous réjouissons de voir que le projet de loi a été supporté par une vaste majorité d’élus de tous les partis politiques. Il aura fallu de la persévérance, deux dépôts et de solides appuis, mais nous y sommes arrivés. En adoptant ce projet de loi, nous envoyons le message à nos producteurs et productrices que leur modèle est pérennisé, qu’ils peuvent continuer d’investir dans leurs installations et que leur croissance dans notre marché intérieur est garantie! », s’est réjoui Sylvie Bérubé.

Maintenant que la Chambre s’est prononcée, le projet de loi doit avoir l’aval du Sénat à l’automne prochain pour être finalement appliqué.

« De nombreuses négociations commerciales sont présentement en cours, et plusieurs des partenaires potentiels poussent pour mettre davantage à mal notre modèle de la gestion de l’offre. Il est important que le Sénat adopte C-282 dans les plus brefs délais, car le temps presse et les engagements verbaux ont montré leurs limites. L’autonomie alimentaire n’est pas qu’un beau projet, elle est une nécessité », a conclu Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

– 30 –

Source :

Lynda Perreault                                               

Directrice de bureau                                        

Bureau de Sylvie Bérubé,                                             

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                  

Session printanière 2023 : le Bloc Québécois responsable et connecté

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 22 juin 2023 – Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois, et Sylvie Bérubé ont conclu une session productive pour un caucus bloquiste responsable et connecté aux Québécois, mais plus pénible pour un gouvernement libéral usé.

« Il reste l’éléphant dans la pièce : une commission d’enquête publique et indépendante sur l’ingérence chinoise dans les institutions canadiennes et québécoises. Le Bloc Québécois a fait avancer ce dossier en adoptant la même attitude constructive qu’il a démontrée, entre autres, dans la lutte aux changements climatiques et aux feux de forêt ainsi que dans l’adoption des projets de loi C-11 et C-18 tant attendus par le milieu culturel québécois. Nous sommes restés connectés sur les préoccupations du Québec, par exemple les cibles d’immigration fédérales faisant fi de la réalité québécoise et la nécessité de fermer le chemin Roxham. Au fil d’arrivée, le Bloc Québécois signe des avancées majeures pour le Québec pendant que le gouvernement Trudeau semble à bout de souffle et loin des Québécois », déclare M. Blanchet.

Responsable et connecté

Le Bloc Québécois est resté concentré sur la nécessité de tenir une commission d’enquête sur l’ingérence chinoise, notamment en proposant les noms de possibles commissaires.

« Le Bloc a incité David Johnston à quitter et a forcé le gouvernement à enfin considérer une vraie commission d’enquête. Nous avons coalisé les partis derrière nos projets de loi C-282 protégeant la gestion de l’offre et C-290 protégeant les lanceurs d’alerte. Nous avons collaboré à un gain majeur avec C-228 sur la protection des caisses de retraite. Nous nous sommes démarqués dans l’adoption des projets de loi C-21 sur l’interdiction des armes d’assaut sans affecter la chasse sportive et C-13 sur l’avenir du français. Nous avons aussi dégagé un consensus derrière une enquête publique sur les abus dans les sports », explique Mme Bérubé.

« Sans le Bloc Québécois, personne n’aurait critiqué les cibles d’immigration calquées sur la Century Initiative ni défendu la clause dérogatoire comme nous l’avons fait durant nos journées de l’opposition. Personne ne se serait battu pour le poids politique des régions du Québec dans le redécoupage électoral. Personne n’aurait contesté la nomination par le premier ministre d’une conseillère contre l’islamophobie qui creuse des fossés au lieu de bâtir des ponts. Personne n’aurait remis en question les liens avec la monarchie. Ce sont tous des enjeux consensuels chez nous que seul le Bloc Québécois a portés », poursuit Sylvie Bérubé, députée fédérale.

Un gouvernement usé et arrogant

Sylvie Bérubé a dénoncé un gouvernement qui a manqué d’imputabilité tout en manquant de respect aux oppositions. « On croirait qu’un gouvernement constamment contredit dans les médias sur l’ingérence chinoise et dont les ministres ignorent tout de leurs dossiers serait humble. Or, avec le NPD, les libéraux ont fait adopter 10 nouveaux bâillons, pour un total de 30. Ils ont imposé le parlement virtuel permanent sans discussion, première fois de l’histoire que les règles parlementaires étaient ainsi changées sans consensus », déplore Sylvie Bérubé.

« À l’heure du bilan, le Bloc Québécois est déjà tourné vers la suite. Nous nous battrons pour les travailleurs abandonnés à un régime d’assurance-emploi désuet, nous défendrons notre projet de loi pour mettre fin à la discrimination entre deux classes d’aînés et mieux les soutenir financièrement. Nous continuerons de combattre les conséquences de politiques d’immigration conçues sans égard pour la capacité institutionnelle, économique et linguistique d’accueil du Québec notamment en matière de logement, d’éducation et de santé. Le Bloc Québécois sera partout au Québec cet été avant d’entamer un automne costaud à Ottawa. En 2019 et en 2021, les Québécois ont choisi d’élire 32 députés du Bloc Québécois. Nous avons prouvé que non seulement pertinents ou utiles, nous sommes devenus indispensables. Les Québécois ont fait un bon choix, je crois! Actuellement, l’impact économique et social est désastreux pour la circonscription avec les feux de forêt. Le bilan est en cours et à venir. Nous soutenons nos gens et nous travaillons pour l’aide prévue. C’est une période difficile et le courage de la population est remarquable », conclut Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

– 30 –

Source :

Lynda Perreault                                               

Directrice de bureau                                        

Bureau de Sylvie Bérubé,                                             

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                  

Le temps presse pour aider l’industrie forestière

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 21 juin 2023 Le Bloc Québécois presse le gouvernement fédéral d’instaurer un programme d’urgence pour venir en aide aux PME forestières québécoises et à leurs travailleurs en raison des feux qui font toujours rage. Non seulement l’industrie et les propriétaires de machinerie subissent de lourdes pertes, mais ils devront être en mesure de passer à l’action afin de récolter dans l’année les arbres qui peuvent l’être avant qu’ils ne soient gaspillés par les moisissures et les insectes.

« La priorité sera de récolter le bois et pour le faire, les entreprises forestières devront racheter de la machinerie. Ça signifie les aider à payer les déductibles d’assurance et les soutenir pour faire face aux frais fixes. Comme pour la COVID, nous suggérons un programme de subventions salariales pour aider les PME à garder leur personnel ainsi que des mesures d’assouplissement à l’assurance-emploi pour les travailleurs et travailleuses que la crise aura contraints à l’assurance emploi. Ottawa peut s’appuyer sur l’expérience de la pandémie afin de gagner le temps dont nous avons besoin pour limiter les dégâts considérables de cette catastrophe. C’est une partie importante de l’économie du Québec et d’ailleurs au Canada qui est en jeu », mentionne la députée fédérale, Sylvie Bérubé.

Le Bloc Québécois propose les solutions suivantes afin de venir en aide à l’industrie forestière :

  • Pour la perte de machinerie :
    • Paiement du déductible de 50 000$ par machine remplacée;
    • Remboursement d’une partie de la maintenance ayant été faite avant la reprise des activités forestières;
    • Garanties de prêts de 25% de la valeur de la machine remplacée.
  • Pour la perte de revenus lors de la période où les activités ont été compromises :
    • Programme temporaire de remboursement des frais fixes mensuels, tel que mis en place pendant la pandémie.
  • Pour les travailleurs et travailleuses du secteur forestier :
    • Souplesse de l’assurance-emploi pour les personnes qui perdront leur emploi en raison des feux de forêt.
    • Mise en place d’un programme de subvention salariale pour les entreprises qui en ont besoin pour garder leur personnel et éviter l’exode vers d’autres secteurs.

« Les grands feux auraient à ce jour affecté environ 10 400 km2 de forêt au Québec. C’est du jamais vu et les conséquences de cette catastrophe écologique sont aussi lourdes que multiples. La forêt, c’est une très grande part de l’économie québécoise et la crise actuelle a d’énormes impacts pour nos régions, l’industrie forestière, ses travailleurs et travailleuses et pour les entreprises forestières dont les équipements seront restés en forêt », avise la députée bloquiste.

Les machines sont toujours sur le terrain et il est impossible, à l’heure actuelle, d’évaluer les dommages – tant en termes de ressources que de machineries. « Ces machines sont dispendieuses et souvent, ce gagne-pain est l’investissement d’une vie pour un entrepreneur forestier. Ainsi, avant même de débuter la saison, la facture d’entretien peut avoisiner 200 000$, des investissements qui n’ont pu être rentabilisés cette année. Les entrepreneurs forestiers font donc face à un immense défi et ont besoin d’une aide urgente, tandis que les travailleurs et travailleuses de l’industrie doivent aussi pouvoir compter sur des mesures d’assouplissement de l’assurance‑emploi », conclut Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

– 30 –

Source :

Lynda Perreault                                               

Directrice de bureau                                        

Bureau de Sylvie Bérubé,                                             

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou      

Présence dans la circonscription

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 13 juin 2023 Considérant la situation préoccupante des feux de forêt, Sylvie Bérubé, députée fédérale, est demeurée dans la circonscription afin de soutenir les élues et élus ainsi que la population.

« Depuis 12 jours que je suis en circonscription. Je trouve pertinent d’être auprès de la population au lieu d’être à Ottawa.  Je peux accomplir certaines tâches parlementaires comme effectuer les votes à distance et me permettre de poursuivre mon travail sur le terrain. Mon équipe est active pour aider les citoyennes et citoyens évacués », souligne la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunanik-Eeyou, Sylvie Bérubé.

Mme Bérubé assiste à une rencontre hebdomadaire avec la sécurité civile, la SOPFEU et autres personnes. Elle est en constante communication avec les mairesses et maires concernés. Elle suit les points de presse des différentes municipalités et elle participe à certaines activités comme celle prévue hier à Senneterre pour la population de Lebel-sur-Quévillon et les bénévoles de Senneterre. Elle est allée à Ottawa qu’une journée pour un discours sur l’état de situation de notre région nordique.

Des liens ont été créés rapidement auprès de Service Canada et Service Québec afin d’assurer une prise en charge des personnes évacuées pour de l’aide financière. Un procédurier a été mis en place pour expliquer clairement la façon de procéder pour avoir accès à l’aide financière. 

« C’est extraordinaire de voir le soutien de la population envers les autres personnes évacuées ainsi que la mobilisation d’un milieu pour aider un autre milieu. Beaucoup de gens ont mis la main à la pâte pour offrir du réconfort auprès des personnes qui vivent une situation irréaliste. » conclut Sylvie Bérubé.

– 30 –

Source :
Lynda Perreault                                               

Directrice de bureau                                        

Bureau de Sylvie Bérubé,                                             

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                  

Le Bloc Québécois appelle à la solidarité contre les changements climatiques

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 9 juin 2023 – Le Bloc Québécois a invité les élus de tous les partis à la Chambre des communes à se rallier à la motion bloquiste réclamant une intensification marquée de la lutte aux changements climatiques, dans la prévention de leurs impacts et dans le soutien aux communautés éprouvées par les catastrophes.

« Nous sommes devant une catastrophe environnementale dont nous ne mesurons pas encore l’entière portée, mais qui, selon toute vraisemblance, est la manifestation concrète du réchauffement climatique, tout comme le sont les inondations printanières. Si on choisit l’inaction et le déni, ce genre de tragédies se multipliera à l’avenir. Devant de tels défis, on doit se serrer les coudes, car il faut agir ensemble et vite. D’abord par un retrait de ce qui va à l’encontre de l’intensification de la lutte aux changements climatiques, puis dans la prévention de leurs impacts par le soutien financier au Québec et aux provinces au niveau des interventions en cours, des infrastructures de prévention et de la recherche pour atténuer les effets des changements climatiques dans l’immédiat et dans la durée. Nous invitons donc tous les partis à être solidaires et à appuyer notre motion », signale le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet.

La motion bloquiste se lit comme suit :  Que la Chambre :

  1. Exprime sa solidarité et son soutien avec toutes les populations aux prises avec les feux de forêt qui sévissent actuellement;
  2. Constate que les changements climatiques ont des effets directs sur la qualité de vie de la population et qu’ils exacerbent la fréquence et l’ampleur des phénomènes météorologiques et climatiques extrêmes (inondations, tornades, feux de forêt, canicules, etc.);
  3. Reconnaisse que le gouvernement fédéral doit en faire davantage dans la lutte aux changements climatiques, dans la prévention de ses impacts et dans le soutien des communautés éprouvées par les catastrophes naturelles;
  4. Demande au gouvernement fédéral d’investir davantage dans la lutte contre les changements climatiques qui risquent de devenir de plus en plus coûteux tant pour la population que pour l’environnement;
  5. Exige que le gouvernement fédéral cesse d’investir dans les énergies fossiles et développe des incitatifs, dans le respect des champs de compétence du Québec et des provinces, pour stimuler l’utilisation des énergies renouvelables et du transport collectif.

« L’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou est l’une des régions les plus touchées au Québec par des feux de forêt qui est d’une ampleur sans précédent, dont les conséquences sont immenses, tant sur le plan humain qu’environnemental et social. Des milliers de personnes doivent évacuer en catastrophe leur village et leur communauté menacés, sans savoir s’ils reverront leur maison. La portée de ces brasiers est énorme, puisque le smog affecte sévèrement la qualité de l’air de tout le Québec et au-delà. Des centaines de milliers d’hectares de forêt seront perdus, sans parler de la faune… On doit prendre ce qui se passe avec sérieux et poser les gestes qui s’imposent », avise la députée d’Abitibi-Baie-James-nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé.

« Je tiens à souligner le travail exceptionnel fait sur le terrain avec d’aider les gens évacués. La mobilisation exemplaire, dans cette situation invraisemblable, de tous et toutes est inestimable. Un élan de générosité et d’entraide est en place depuis plus d’une semaine selon le secteur dans la circonscription. Hier, jeudi 8 juin 2023, j’ai fait une intervention à la Chambre des communes afin de partager la réalité sur le terrain et démontrer au gouvernement fédéral les besoins et les services qui doivent être mis en place, en situation d’urgence comme la pandémie fût, pour soutenir financièrement les gens touchés et les personnes évacuées. J’étais de retour en soirée dans la circonscription. », conclut Mme Bérubé. 

– 30 –

Source :

Lynda Perreault                                               

Directrice de bureau                                        

Bureau de Sylvie Bérubé,                                             

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou

Présence sur le terrain à Chapais

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 2 juin 2023 La députée fédérale, Sylvie Bérubé, est présente à Chapais afin de soutenir la mairesse Isabelle Lessard ainsi que la population.
 
« C’est important pour moi d’être présente sur le terrain surtout dans ces moments d’incertitudes et bouleversants.  Je suis partie d’Ottawa hier pour soutenir mes gens », souligne la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunanik-Eeyou, Sylvie Bérubé.
 
La mairesse fait des points de presse deux fois par jour avec Jean Raphaël Drolet de la SQ ainsi que deux représentants de la SOPFEU. Les gens peuvent aussi suivre leur page Fabebook « Ville de Chapais » afin d’avoir les informations à jour de la situation. Les personnes évacuées ont été prises en charge et sont en lieu sûr. Aujourd’hui sera une journée déterminante pour la maîtrise du feu. D’autres feux sont en cours en circonscription, soyons aux aguets.
 
« Je demande aux gens de respecter les consignes de la SOPFEU soit l’interdiction de feu à ciel ouvert et éviter de se promener près de la zone pour permettre aux travailleurs et travailleuses sur le terrain d’effectuer leur travail adéquatement. Je tiens à souligner le travail exceptionnel des gens sur le terrain ainsi que les municipalités environnantes pour leur mobilisation et soutien auprès de la population de Chapais. », conclut Sylvie Bérubé.
-30-
Source:
Lynda Perreault                                               
Directrice de bureau                                        
Bureau de Sylvie Bérubé,                                             
Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                  

Congrès du Bloc Québécois

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 23 mai 2023 La députée fédérale, Sylvie Bérubé, a participé au congrès national, de trois jours du Bloc Québécois, qui s’est tenu à Drummondville cette fin de semaine. Près de trois cents personnes dont la jeune relève était présente. Le chef, Yves-François Blanchet, a obtenu un vote de confiance significatif de 97,25 %.

120 résolutions qui ont été adoptées, à l’unanimité, après de belles discussions et des débats respectueux. Plusieurs sujets ont été abordés dont la laïcité, l’immigration et le retour des jeunes dans les régions. Une belle relève était présente cette fin de semaine et c’est avec un grand plaisir que nous travaillerons avec eux pour l’avenir.  

« C’est avec enthousiasme qui j’ai pris part à ces trois jours dynamiques et énergisants. Notre devoir sera que le Québec devienne enfin un pays en rassemblant les indépendantistes de toute allégeance. », souligne la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunanik-Eeyou, Sylvie Bérubé.

Les bloquistes ont reçu Gilles Duceppe, ancien chef bloquiste, Pauline Marois, ex-première ministre québécoise et Paul St-Pierre Plamondon qui a prononcé un discours vibrant vendredi soir.

« Mes collègues et moi étions heureux de participer à ce congrès qui avait pour slogan À la grandeur du Québec. Des représentants et représentantes des exécutifs de toutes les circonscriptions du Québec étaient présents ainsi que le Forum jeunesse du Bloc Québécois. Je suis fière et confiante envers notre belle relève ! », conclut Sylvie Bérubé.

– 30 –

Source :
Lynda Perreault                                               

Directrice de bureau                                        

Bureau de Sylvie Bérubé                                             

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                  

Pour un traitement juste et équitable de tous les aînés

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 15 mai 2023 Le député d’Abitibi-Témiscamingue, Sébastien Lemire, et la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, mènent avec détermination la bataille pour le traitement juste et équitable de tous les aînés admissibles à la pension de vieillesse.

Le projet de loi C-319 que le Bloc Québécois a déposé et qui prévoit rehausser de 10% la pleine pension de vieillesse pour tous les aînés de 65 ans à 74 ans, afin de mettre un terme à la discrimination sur l’âge. Les représentants de plusieurs associations d’aînés de la région et du Québec ont signifié leur appui à ce projet de loi qui prévoit également faire passer de 5000$ à 6500$ l’exemption à l’égard du revenu dans le calcul du montant du supplément de revenu garanti.

« Il est impensable qu’en 2023, autant de Québécoises et Québécois de 65 ans et plus peinent à payer leurs factures et doivent couper dans la nourriture ou le logement. On ne peut tolérer cela : il est de notre devoir de voir à la quiétude et la dignité de nos aînés et cela passe par la fin de la discrimination sur l’âge exercée par le fédéral pour les pensions de vieillesse », affirme Mme Bérubé.

« En ne réservant la hausse de la pension qu’aux personnes de 75 ans et plus, Ottawa a créé deux classes d’aînés. Que le gouvernement veuille faire des économies sur le dos de nos citoyens les plus vulnérables est d’un manque de compassion qui nous heurte profondément. Priver les aînés de 65 ans à 74 ans d’une augmentation qui leur est légitimement due est une injustice qui dure depuis trop longtemps. On doit corriger le tir et c’est ce que vise notre projet de loi », signale M.Lemire.

Des consultations en route

Le comité aviseur aînés du député Sébastien Lemire a aussi amorcé une tournée de consultation en région pour aller à la rencontre des citoyens de la région. Déjà, des consultations ont eu lieu à Ste-Germaine-Boulé et à Amos. « Les aînés nous ont parlé de plusieurs des problématiques qu’ils ont rencontré à tous les niveaux, que ce soit le transport ou les soins de santé. Cela me permet de cibler mes interventions auprès du gouvernement fédéral pour cerner les besoins des gens de notre région », a fait valoir Sébastien Lemire.

La tournée de consultation se poursuivra à Ville-Marie le 22 mai, à Beaudry le 23 mai et à Authier-Nord le 25 mai. D’autres dates pourraient s’ajouter, notamment dans la MRC de la Vallée-de-l’Or et dans la région du Nord-du-Québec sous l’égide du bureau de Sylvie Bérubé.

– 30 –

Source et information: 

Jean-François Vachon                                                                              Lynda Perreault 

Adjoint aux communications                                                                 Gestionnaire de bureau 

Bureau de Sébastien Lemire          Bureau de Sylvie Bérubé 

Le Québec rejette le « Century Initiative »

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 12 mai 2023Le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet, le député d’Abitibi-Témiscamingue, Sébastien Lemire, et la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, ont invité les élus de tous les partis représentés à la Chambre des communes à voter en faveur de la motion rejetant les objectifs de la Century Initiative. Tout comme tous les partis à l’Assemblée nationale du Québec, le Bloc Québécois s’oppose sans équivoque au projet d’augmenter la population du Canada à 100 millions d’habitants d’ici 2100, ce qui aurait de lourds impacts pour le Québec, notamment quant à notre capacité d’accueil, notre poids politique et l’avenir de la langue française.

« Si on tolère la Century Initiative, on sera incapable d’assurer l’intégration en français, économique et dans les services publics de ces gens qui ont choisi le Québec. Il faut que quelqu’un ici tienne tête et dénonce ce projet d’Ottawa qui nuit au Québec et ça, c’est le travail du Bloc Québécois. Tout ceci nous rappelle que le Québec doit disposer de tous ses pouvoirs en immigration, ou mieux : de tous les attributs de la souveraineté. C’est une réflexion à nourrir », rappelle Yves‑François Blanchet.

Rappelons que le seuil d’immigration actuel du Canada, soit 500 000 personnes, équivaut à construire chaque jour un village comme Palmarolle par jour, l’équivalent d’une ville comme Amos chaque semaine ou d’une ville comme Val-d’Or chaque semaine.

« Ottawa doit respecter notre capacité d’accueil. Le Québec est généreux et accueillant, et veut que les nouveaux arrivants trouvent ici une vie convenable : un logement, des services de santé, de garderie, d’éducation et, bien sûr, le soutien requis pour bien s’intégrer en français et ainsi participer à notre culture dans toutes les régions du Québec. Pour moi, il est important de tendre la main », souligne M. Lemire.

« Seul le Québec connaît sa réelle capacité d’accueil et toute initiative en matière d’immigration devrait logiquement relever du gouvernement du Québec. Quoi qu’il en soit, la Century Initiative ne respecte pas le Québec. Elle est un autre exemple des politiques d’Ottawa pour faire reculer le français et réduire notre poids politique. Ottawa n’en a que faire de notre spécificité, nos valeurs et notre identité québécoise. Mais il n’est pas question qu’on laisse faire Ottawa: nous défendrons notre poids politique, notre langue et notre avenir », conclut Mme Bérubé.

– 30 –

Source et information: 

Jean-François Vachon                                                                                     Lynda Perreault 

Adjoint aux communications                                                                        Gestionnaire de bureau 

Bureau de Sébastien Lemire                                                                         Bureau de Sylvie Bérubé 

Gain majeur sur le financement de la norme biologique, mais doutes raisonnables sur la transparence de l’édition génomique

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 10 mai 2023 – Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue, et Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, se réjouissent de voir le gouvernement s’engager à financer la révision quinquennale de la norme biologique que le Bloc Québécois demande depuis longtemps.

La norme biologique permet de déterminer les normes de production des produits biologiques. Jusqu’à tout récemment, le fédéral s’entêtait à refiler la facture aux producteurs qui aurait atteint. « Il indiquait que la norme était privée. Il a finalement fait volte-face pour soutenir un secteur dont les pratiques environnementales sont bénéfiques pour toute la société. L’industrie biologique est novatrice, très présente au Québec, et mérite d’être adéquatement soutenue et bien encadrée. Dans un contexte de changements climatiques, le biologique est un des modèles déjà bien ancré dans des pratiques durables », ont soutenu les deux députés.

Des interrogations touchant aussi l’édition génomique ont été soulevés par les députés notamment sur le plan de la transparence. L’édition génomique consiste à effectuer une modification génétique chez une plante ou un animal. Par exemple, une tomate contient des gènes non actifs lui permettant d’être épicée. Grâce à l’édition génomique, cela permet d’activer ces gènes afin de produire des tomates épicées. Un autre exemple consiste à prendre une gène qui empêche une patate de noircir lors d’un impact et de l’introduire dans un autre type de patate.

« Nous observons que des mesures sont mises en place pour assurer la déclaration de la présence de semences issues de l’édition génomique dans les produits alimentaires. C’est indispensable pour que les producteurs et les consommateurs puissent faire un choix éclairé. Il nous apparaît toutefois essentiel que cette transparence soit obligatoire et supervisée par l’État. Actuellement, nous sommes plutôt devant une mesure volontaire en vertu de laquelle un comité, composé des producteurs biologiques, l’industrie de l’édition génomique et l’État, assurera une surveillance, mais où on laisse l’industrie administrer la notion de transparence », a mentionné Sébastien Lemire.

« Afin de protéger notre chaîne de production et de consommation alimentaire, nous persistons à croire que l’État doit gérer le processus de transparence et que celui-ci doit être obligatoire. Nous surveillons de très près la mise en place de ce comité et le processus d’évaluation annuelle, considérant la proximité des groupes ne voulant pas d’une transparence gérée par l’État avec les acteurs gouvernementaux », rappelle M. Lemire.

Les consommateurs et consommatrices, l’Union des producteurs agricoles et le gouvernement du Québec demandent toujours que la transparence soit imposée dès aujourd’hui : « Les producteurs et productrices biologiques ont besoin de connaître les sources de leur approvisionnement et les citoyens et citoyennes sont en droit de savoir ce qui se trouve dans leur assiette, y compris en ce qui concerne les produits issus de l’édition génomique. Nous ne voulons pas interdire cette technologie, nous voulons l’encadrer et assurer l’information à la population et aux producteurs et productrices, et ainsi contribuer à un meilleur avenir pour chacun », conclut Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

– 30 –

Source et information: 

Jean-François Vachon                                                                                     Lynda Perreault 

Adjoint aux communications                                                                        Gestionnaire de bureau 

Bureau de Sébastien Lemire                                                                         Bureau de Sylvie Bérubé