Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, le 9 février 2024 – Le Bloc Québécois a profité de sa journée d’opposition du 8
février pour déposer une motion sur l’immigration demandant au premier ministre Trudeau de consulter ses homologues
du Québec, des provinces et des territoires sur leur capacité d’accueil respective. La motion fixe également une échéance
de 100 jours au gouvernement pour qu’il dépose un plan de révision des cibles d’immigration respectant les capacités
d’accueil qui auront été ainsi déterminées.
La députée Sylvie Bérubé constate avec déception du manque de considération du premier ministre Justin Trudeau
envers les différentes réalités des territoires. « Il convient de rappeler que les circonscriptions éloignées n’ont pas les
mêmes besoins que les grandes villes des provinces puisqu’il faut davantage d’attraction pour recevoir les nouveaux
arrivants chez nous. Il est primordial que les immigrants aient une condition de vie de qualité et que les régions puissent
les accueillir dûment! », précise Mme Bérubé.
melaniematte
La religion ne peut légitimer la violence
Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, le 6 février 2024 – Le Bloc Québécois a de nouveau déposé
aujourd’hui à la Chambre des communes le projet de loi visant à éliminer l’exception religieuse de la loi qui
criminalise les propos haineux ou incitant à la violence. Le Bloc Québécois en appelle à la collaboration des
députés de tous les partis représentés au Parlement, afin que ce projet de loi non-partisan, initialement
déposé par Yves-François Blanchet en novembre dernier, puisse être débattu puis adopté rapidement.
Ottawa doit intervenir d’urgence pour les hebdos
Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, le 2 février 2024 – Alors que la distribution du Publisac
prendra fin partout au Québec au cours des prochaines semaines, la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, réitère au gouvernement fédéral l’urgence de prendre des mesures
immédiates afin d’assurer la continuité de la distribution des hebdos locaux et régionaux à la grandeur
du territoire québécois. Ils joignent leur voix à celle de l’Assemblée nationale du Québec pour sommer
Ottawa d’agir pour soutenir les hebdos, médias d’information essentiels en région.
Priorités du Bloc Québécois pour la rentrée parlementaire : Dignes de confiance !
Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, le 29 janvier 2024 – Le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet, la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, et ses collègues
députés du parti ont tenu, depuis mardi, leur caucus présessionnel ainsi qu’une tournée au SaguenayLac-Saint-Jean. C’est sur le thème « Dignes de confiance » que le parti orientera son travail pour la
prochaine session, reflétant la solidité et la fidélité de l’engagement bloquiste à l’égard des priorités des
Québécois.
AVIS AUX MÉDIAS: Visite du député de Berthier – Maskinongé et porte-parole en matière d’agriculture, d’agroalimentaires de gestion de l’offre du Bloc Québécois, Yves Perron
Les membres des médias sont priés de noter que les députés d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé et députés
d’Abitibi-Témiscamingue, Sébastien Lemire, recevront leur collègue, député de Berthier – Maskinongé et porte-parole en
matière d’agriculture, d’agroalimentaire et de gestion de l’offre, Yves Perron, le vendredi 26 janvier et le samedi 27 janvier.
Durant sa visite, M. Perron rencontrera différents acteurs du milieu agricole de la région afin de discuter notamment de
gestion de l’offre, la réforme des programmes d’assurance, l’abattage et la transformation en région, les enjeux de la relève
agricole ainsi que l’adaptation des programmes pour les régions plus nordiques comme celle de l’Abitibi-Témiscamingue et
du Nord-du-Québec.
La tournée s’amorcera à Chapais avec une visite des Serres Bleues. À son arrivée en Abitibi-Témiscamingue, M. Perron
rencontrera le président-directeur-général de la Ferme Avicole Paul Richard & Fils inc, Jean-Philippe Richard, vendredi. Puis,
samedi, M. Perron se rendra dans les fermes Complémenterre de Mont-Brun, la ferme Despic de Palmarolle ainsi qu’à la
Mieillerie de la Grande Ourse à Saint-Marc-de-Figuery. Cette tournée se terminera par un 5 à 7 à la buvette de la Mieillerie
de la Grande Ourse.
Tournée à Chicoutimi
Abitibi – Baie-James – Nunavik – Eeyou, 24 janvier 2024 – Sylvie Bérubé,
députée d’Abitibi – Baie-James – Nunavik – Eeyou est de passage à Chicoutimi du
23 au 25 janvier 2024 dans le cadre du caucus présessionnel.
En tant que porte-parole du dossier Famille, Enfants et Développement social,
Mme Bérubé profite de cette occasion afin de rencontrer des organismes investis
auprès de leur communauté.
Justin Trudeau doit entendre raison
Abitibi – Baie-James – Nunavik – Eeyou, 18 janvier 2024 – Le chef du Bloc Québécois, Yves-François
Blanchet et Sylvie Bérubé, ont réagi alors que la date limite du remboursement sans graves pénalités du
Compte d’urgence pour les entreprises du Canada (CUEC) est arrivée.
Communiqué complet ci-dessous
Tournée au Nunavik
Abitibi – Baie-James – Nunavik – Eeyou, 12 janvier 2024 – Sylvie Bérubé,
députée d’Abitibi – Baie-James – Nunavik – Eeyou était de passage au Nunavik du
9 au 11 janvier 2024.
Mme Bérubé a rencontré les différents acteurs régionaux durant son séjour à
Kuujjuaq, notamment avec le gouvernement régional Kativik, l’Office municipal
d’habitation Kativik, la mairesse, la société Makivvik ainsi que l’organisme Qarjuit
Youth Council.
Communiqué complet ci-dessous
Bilan de session :Responsables pour le Québec!
Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, le 18 décembre 2023 – Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois, et Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, ont dressé le bilan d’une session chaotique, mais productive puisqu’en agissant de manière responsable, les bloquistes ont réussi à porter les priorités des Québécois à l’avant-plan, notamment en matière d’immigration, coût de la vie et environnement. Ce bilan démontre qu’au-delà de toute partisanerie ou tout calcul électoral, les députés bloquistes sont demeurés fermement arrimés au mandat que leur ont confié les Québécois et Québécoises : porter les demandes et priorités du Québec de façon efficace et responsable.
Mise à jour économique : Un exercice futile !
Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, le 22 novembre 2023 – Les députés d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé et d’Abitibi-Témiscamingue, Sébastien Lemire, sont énormément déçus de la mise à jour économique du gouvernement qui n’a servi que du réchauffé et des demi-mesures pour faire face à la crise du logement.
Les attentes du Bloc Québécois n’ont aucunement été satisfaites par le gouvernement. « Aucun fonds pour l’acquisition de logements par les organismes à but non lucratif. Rien pour aider les organismes en itinérance. Rien pour nos ainés. Rien pour aider nos entreprises en refusant le report du paiement du Compte d’urgence. Bref, le gouvernement ne comprend pas le mot urgence », a fait savoir Sylvie Bérubé.
Selon la Fédération canadienne des entreprises indépendantes (FCEI), c’est une centaine d’entreprises de l’Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec qui ont déclaré risquer faire faillite sans prolongation du Compte d’urgence. « La pandémie a provoqué des fermetures et les feux de forêt, de l’été dernier, ont détruit une partie de leurs biens. Encore une fois, le gouvernement fédéral oublie les régions! » a réitéré Sylvie Bérubé.
Si le gouvernement débloque des sommes pour l’octroi de prêts à faible taux d’intérêt, ce programme s’amorcera aussi dès 2025-2026. « On est vraiment loin de l’urgence de la situation. Et même si l’on annonce certaines sommes en région, le diable est dans les détails. Trop souvent, depuis que je suis à Ottawa, j’ai vu les programmes qui n’étaient pas adaptés à nos réalités régionales. Construire un 200 logis à Montréal, c’est l’équivalent d’un 6, d’un 8 ou d’un 12 logis en région, mais les programmes ne sont pas adaptés », a signalé Sébastien Lemire.
Celui-ci ajoute aussi que si la réglementation entourant les locations à court terme sur des plateformes comme AirBNB est intéressante, cette mesure touche très peu l’Abitibi-Témiscamingue qui est aux prises avec une crise du logement depuis fort longtemps.
« D’ailleurs, le manque de logement existe depuis des années, mais la crise actuelle s’intensifie et les demandes croissent avec l’inflation. Présentement, la situation explose et quand verrons-nous la construction de ces logements? Conséquemment, une grande majorité des locataires sont touchés par la crise, mais les ainés sont davantages affectés par cette crise du logement et le gouvernement fédéral n’accepte pas de les aider dès l’âge de 65 ans ni de hausser leur pension de la vieillesse, » a stipulé la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé.
Ottawa a aussi servi d’autres mesures réchauffées sur le plan de l’inflation, misant sur un renforcement de la Loi sur la concurrence. « Ce sont des mesures déjà annoncées qu’on nous sert à nouveau. Les changements souhaités à la Loi sur la concurrence sont les bienvenues, mais ils arrivent bien trop tard. Le mal est déjà fait dans le secteur de l’épicerie. En ce qui a trait au droit à la réparation, c’est un projet de loi qu’on travaille depuis longtemps au Comité de l’industrie et de la technologie », a rappelé le député d’Abitibi-Témiscamingue. Si certaines mesures comme l’enquête sur les frais d’itinérance à l’international pour les services mobiles ou la réduction de frais bancaires sont un pas dans la bonne direction, les résultats ne seront pas encore connus. « Même la charte hypothécaire canadienne n’est pas une nouveauté. Plusieurs des points se retrouvent déjà dans les possibilités pour les banques », a signalé Mme Bérubé.
L’augmentation du crédit d’impôt pour les médias (de 25 à 35%) et la nouvelle prestation pour l’assurance-emploi pour les parents qui adoptent des enfants sont quelques points à souligner dans ce budget. « Une mise à jour économique, ça sert à faire le portrait de l’évolution de la situation économique depuis le budget et annoncer des solutions aux urgences connues. Cet énoncé n’aborde pas les nombreux changements et ne règle rien. Il s’agit donc d’un exercice raté, au point où l’on se demande pourquoi le gouvernement Trudeau a procédé à cet énoncé. Grâce aux libéraux, ça ira plus mal avant d’aller mieux », ont conclu les deux députés.