« Protégeons le bas de laine des travailleurs une fois pour toutes ! »

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 29 mars 2022 – Marilène Gill, députée de Manicouagan et marraine du projet de loi, ainsi que Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou et Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue reviennent à la charge en déposant hier le projet de loi C-264 visant à protéger les fonds de retraite des travailleurs en cas de faillite d’entreprise. Le Bloc Québécois appelle les parlementaires à adopter rapidement son projet de loi.

« Puisque le présent projet de loi se base sur la version amendée et consensuelle de C-253, qui avait franchi l’étape du rapport lors de la dernière législature, je suis confiante qu’il sera adopté rapidement. La sécurité financière qu’il garantit, nous la devons à nos fiers travailleurs et retraités du Québec, nos parents et nos grands-parents, qui ont travaillé fort toute leur vie et méritent une retraite paisible, à l’abri du vol des entreprises en faillite. Qu’est-ce qu’un fonds de retraite, sinon du salaire différé issu d’une entente entre des travailleurs et une entreprise? Quand une entreprise en faillite décide de rompre ce contrat et d’éponger ses dettes en touchant cet argent, il s’agit d’un vol et c’est intolérable », a fait valoir Marilène Gill.

Le Bloc Québécois a rappelé l’injustice subie en 2015 par quelque 700 travailleurs de la Cliffs qui ont perdu 25% de leur fonds de pension et de leur assurance collective aux mains de leur employeur en faillite. Le cas de Sears est tout aussi désolant : tandis que les retraités tentaient depuis 2012 de récupérer leur dû, le conseil d’administration continuait de verser d’énormes paiements aux actionnaires.

Demandé par le milieu syndical et des groupes de défense des droits des retraités représentant plus de 3,5 millions de personnes, C-264 compte modifier la législation actuelle dictant la manière dont les entreprises peuvent s’entendre avec leurs créanciers, de sorte que les retraités recevront leur pension même si leur employeur ou ex-employeur fait faillite. Depuis 2017, et précédé de deux versions similaires, le projet de loi actuel rassemble de plus en plus de parlementaires et d’acteurs de la société civile.

« L’an dernier, C-253 a été sacrifié par l’ambition électorale de Justin Trudeau, alors en quête d’une majorité. Maintenant qu’aucune élection n’est à l’horizon, assurons-nous que cette fois‑ci sera la bonne. Nous demandons aux collègues de tous les partis d’appuyer C-264 sans perdre une seconde : protégeons le bas de laine des travailleurs une fois pour toutes », ont conclu les deux députés bloquistes, Sylvie Bérubé et Sébastien Lemire.

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Source :
Lynda Perreault                                              Antoni Gilbert

Directrice de bureau                                       Adjoint aux communications

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Les libéraux affaiblissent le poids politique du Québec

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 25 mars 2022 Les députés, Sylvie Bérubé, d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou et Sébastien Lemire d’Abitibi-Témiscamingue, ont dénoncé le projet de loi libéral sur la représentativité électorale déposé aujourd’hui. S’il s’abstient de retirer un siège au Québec, ce projet de loi ne tient nul compte de l’engagement ferme à préserver le poids politique du Québec stipulé dans la motion bloquiste appuyée par la Chambre des communes et les libéraux, le 2 mars dernier. Il s’avère, constatent les deux députés bloquistes que seul le projet de loi du Bloc Québécois est à la hauteur de ces engagements pour le Québec.

« Le projet de loi des libéraux s’abstient de retirer un siège au Québec, mais rehausse la représentativité de plusieurs provinces! C’est une infime partie des précautions requises pour préserver l’intégrité de la nation québécoise et le caractère unique de sa culture francophone. Les libéraux renient ainsi l’appui qu’ils ont fait semblant d’offrir à notre motion et au Québec, il y a quelques semaines à peine. Ça prouve encore une fois qu’il ne faut surtout pas se fier au gouvernement libéral pour protéger nos intérêts ! », clame Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue.

Le projet de loi du Bloc Québécois, déposé il y a quelques semaines, propose de protéger durablement notre poids politique en établissant que le nombre total des députés du Québec ne soit pas inférieur à 25 % du nombre total de députés à la Chambre des communes. Ainsi, toute répartition à la hausse supposerait un ajustement équivalent pour le Québec, ce que ne fait évidemment pas la proposition libérale.

« Les dernières manœuvres libérales rappellent toute la pertinence d’une présence forte du Bloc Québécois à la Chambre des communes. À moins qu’ils ne fassent le choix d’un unique parlement québécois, il est essentiel que les Québécoises et des Québécois puissent compter sur le seul parti qui soit entièrement dédié à la défense de leurs intérêts à Ottawa, le Bloc Québécois », conclut Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

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Le Bloc Québécois obtient le consensus pour protéger le poids politique du Québec

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, le 3 mars 2022 – Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue, et Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, se réjouissent de l’adoption en Chambre aujourd’hui de la motion du Bloc Québécois visant à préserver le poids politique du Québec et la représentativité de la nation québécoise à la Chambre des communes. Que le Parlement reconnaisse la nécessité de rejeter la proposition de redécoupage d’Élections Canada, qui prévoit la perte d’un siège pour le Québec aux Communes, constitue une étape majeure.

Déposée hier dans le cadre de la « journée de l’opposition » du Bloc Québécois à la Chambre des communes, cette motion engage les élus à rejeter tout scénario de redécoupage de la carte électorale fédérale qui aurait pour effet de faire perdre une ou des circonscriptions électorales ou de diminuer le poids politique du Québec au sein de la fédération. Elle propose également la mise en place d’une nouvelle formule de répartition des sièges et demande au gouvernement d’agir en conséquence.

« L’appui à notre motion est un important premier pas. Ce qu’il faut maintenant, c’est établir un processus permanent de préservation de la nation québécoise et de son poids au sein de la fédération, de sorte que ses représentants élus puissent y faire valoir les positions et les intérêts propres au Québec, et ce, jusqu’à ce qu’éventuellement, la nation québécoise fasse le choix souverain d’un unique parlement », a souligné Sébastien Lemire.

« Le retrait d’un siège au Québec était un geste historique et intolérable. La Chambre ayant reconnu que le Québec est une nation et de surcroît, une nation francophone, le Québec doit pouvoir être en mesure d’affirmer et protéger ses valeurs, et ça, ça passe par la préservation de son poids politique! », a conclu Sylvie Bérubé.

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Le Bloc Québécois propose des solutions pour appuyer les Ukrainiens

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 28 février 2022 — Le Bloc Québécois propose au gouvernement fédéral des pistes de solutions pour faciliter le processus d’attribution ou de prolongation de visas aux Ukrainiens fuyant le conflit armé déclenché par la Russie.

Dans un esprit de collaboration et de solidarité, le parti suggère au gouvernement deux actions qui peuvent être entreprises immédiatement par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC), pour faciliter le séjour ou la venue au pays de milliers d’Ukrainiens.

« Il s’agit premièrement de prolonger tous les permis et visas temporaires, et deuxièmement, de lever l’obligation d’obtenir un visa de touriste. Les Ukrainiens fuyant le conflit ont besoin d’appui immédiatement. Il est de notre devoir d’agir au plus vite, le gouvernement peut compter sur notre appui en ce sens. Nous avons plusieurs familles d’origine ukrainienne et nous sommes présents pour les soutenir et les accompagner », souligne la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé.

Le Bloc Québécois propose donc formellement au gouvernement fédéral d’accorder d’une part, une prolongation de six mois à tous les permis et visas temporaires déjà émis à des citoyens ukrainiens et d’autre part, de lever, pour la durée du conflit, l’obligation d’obtenir un visa de touriste pour les personnes de citoyenneté ukrainienne.

Le Bloc Québécois réaffirme également son appui à toute mesure visant à accorder la priorité de traitement aux résidents de l’Ukraine ; à ajouter de nouveaux canaux de communication avec l’IRCC et à traiter en urgence les demandes de passeports et de documents de voyage pour les ressortissants canadiens.

« Il est de notre devoir de nous assurer que les Ukrainiens puissent jouir, chez eux, de la liberté et de la paix auxquelles ils aspirent, tant que cela puisse être possible. Dans l’intervalle, nous devons faciliter la venue de ceux et celles qui voudront rejoindre des membres de leur famille établis ici au Québec ou qui sont contraints de fuir leur pays et qui pourrait certainement trouver refuge ici en Abitibi-Témiscamingue. En ces temps difficiles, mes meilleurs pensées et voeux d’espoir accompagnent la communauté ukrainienne d’Abitibi-Témiscamingue, fière et digne. », de conclure le député d’Abitibi-Témiscamingue, Sébastien Lemire.

Les personnes touchées par la crise en Ukraine qui auraient besoin de soutien ou d’accompagnement pour elles-mêmes ou leur famille sont invitées à communiquer avec notre bureau de circonscription.

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L’application des mesures d’urgence au Québec, c’est non !

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, le 17 février 2022 – Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue, ainsi que Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, expriment fermement leur désaccord quant à la décision du gouvernement de Justin Trudeau d’appliquer la Loi sur les mesures d’urgence à l’ensemble du territoire, se donnant ainsi les pouvoirs d’intervenir au Québec et faisant fi du refus explicite de l’État québécois à cet égard. Estimant que la Loi sur les mesures d’urgence n’est en fait qu’une réédition modernisée de la Loi sur les mesures de guerre, l’entièrereté du caucus du Bloc Québécois s’est déclarée « farouchement hostile à l’application de cette loi au Québec » et entend voter contre.

« L’Assemblée nationale, le gouvernement du Québec et le Bloc Québécois ont interpelé le gouvernement à plusieurs reprises déjà pour lui signifier que le Québec, qui gère très bien la situation, n’a ni le désir, ni le besoin que la loi fédérale sur les mesures d’urgence s’applique sur son territoire. Le premier ministre avait pris un engagement à circonscrire géographiquement l’application de sa loi. Malgré ça, le décret et le règlement qu’il a déposé appliquerait les mesures sur l’ensemble du territoire, affectant des infrastructures de l’État québécois comme les hôpitaux ou les barrages », dénonce Sébastien Lemire.

« En proposant une loi dont la portée et l’effet vont bien au-delà d’une intervention circonscrite au périmètre de la crise, Ottawa nie la volonté du Québec et ne tient aucunement compte du fait que l’État québécois parvient actuellement, sans intervention du fédéral, à contrôler la situation. Pire encore, Ottawa se donne avec cette loi un laisser-passer pour empiéter dans les juridictions du Québec. Dans ces circonstances, le Bloc Québécois votera contre la motion qui sera déposée pour appliquer la Loi sur les mesures d’urgence », de conclure Sylvie Bérubé.

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Le Bloc Québécois presse Ottawa de verser les sommes dues aux ainés

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 16 février 2022 – Le Bloc Québécois et Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou et Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue exigent du gouvernement fédéral qu’il cesse de couper le Supplément de revenu garanti (SRG) de milliers d’aînés québécois, en plus d’accélérer le versement des sommes dues à ces aînés qui, s’étant légitimement prévalus de la Prestation canadienne d’urgence, ont vu leurs prestations drastiquement réduites. Maintenant que le gouvernement a reconnu son erreur, il se doit de remédier prestement à cette situation qui depuis plus de huit mois, afflige de nombreux aînés et accentue la précarité de leurs conditions de vie.

Bien que le gouvernement fédéral ait finalement consenti à dédommager les aînés à faible revenu qui se sont fait injustement couper leur Supplément de revenu garanti après avoir touché de la PCU, ce n’est pas avant avril qu’Ottawa, invoquant des problèmes informatiques, entend verser les dédommagements.

« Comment le gouvernement peut-il ignorer à ce point la réalité des aînés à faible revenu? Les personnes éligibles au SRG sont parmi les plus vulnérables financièrement. Se voir couper plusieurs centaines de dollars par mois quand le budget est très limité, ça signifie faire unchoix entre payer l’épicerie ou les médicaments. Il est inacceptable qu’Ottawa prolonge davantage une situation qu’il a lui-même rendue intenable pour ces aînés », déplore Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

Estimant qu’Ottawa a fait la démonstration qu’il peut s’exécuter très rapidement lors de l’émission des chèques de la Prestation canadienne d’urgence, les deux députés bloquistes, Sylvie Bérubé et Sébastien Lemire, incitent le gouvernement à prendre les moyens qui s’imposent pour verser les compensations dues aux aînés.

« Ça fait plus de huit mois qu’on talonne le gouvernement pour qu’il rende aux aînés l’argent pris sur leur SRG. Maintenant qu’il a admis son erreur, il doit procéder rapidement : les aînés n’ont pas le luxe d’attendre jusqu’en avril pour faire l’épicerie. C’est inadmissible! Nos aînés ont droit à la dignité et au respect ! Nous ne le lâcherons pas sur point ! », de conclure Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue.

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Sylvie Bérubé et Sébastien Lemire soutiennent une hausse de la pension de vieillesse pour tous les aînés

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 11 février 2022 – Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nuanvik-Eeyou et Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue, soutiennent leur collègueAndréanne Larouche, porte-parole du Bloc Québécois pour les Aînés, qui marraine actuellement une pétition visant une hausse de la pension de la Sécurité de la vieillesse pour toutes les personnes de 65 ans et plus

Rappelons que le gouvernement libéral a choisi de créer deux classes d’aînés en réservant l’augmentation la pension de la Sécurité de la vieillesse uniquement aux 75 ans et plus. En décembre dernier, un projet de loi a d’ailleurs été adopté en ce sens à la Chambre des communes.

« La situation actuelle est inacceptable. Le gouvernement libéral a décidé de mettre de côté les 65 à 74 ans et, de ce fait, laisse tomber des millions de personnes âgées. Contrairement à ce qu’il semble croire, la précarité financière n’attend pas le 75e anniversaire de nos citoyens les plus vulnérables pour frapper. La pandémie et l’inflation galopante, qui a atteint un sommet en 30 ans à la fin de 2021, font très mal au portefeuille de tous les aînés », affirme Andréanne Larouche.

« Pour le moment, le gouvernement n’a offert que des aides ponctuelles qui sont bien insuffisantes. Nous demandons une augmentation de 110 $ par mois de la pension de la Sécurité de la vieillesse pour tous les aînés de 65 ans et plus afin d’améliorer de manière permanente leur pouvoir d’achat », fait valoir les deux députés, Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou et Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue.

« Le Bloc Québécois ne laissera pas tomber les aînés de 65 à 74 ans. C’est pourquoi nous encourageons les citoyennes et les citoyens de la circonscription d’Abitibi-Témiscamingue et d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou à joindre leur voix à la nôtre. Cette pétition est l’opportunité de montrer notre soutien envers les personnes âgées et notre volonté d’améliorer la qualité de vie de tous les 65 ans et plus », concluent les deux députés bloquistes, Sébastien Lemire et Sylvie Bérubé.

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Une « clause nation » comme rempart au poids politique du Québec

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, le 8 février 2022 – Le Bloc Québécois a déposé un projet de loi ajoutant au texte de la Loi constitutionnelle de 1867, une « clause nation » fixant au seuil minimal de 25% la proportion de députés du Québec au sein du parlement canadien. Alors qu’une nouvelle diminution de la représentativité du Québec est prévue au prochain redécoupage électoral, cette « clause nation » se pose en rempart au poids politique du Québec, seule juridiction francophone au sein de la fédération.

Le Bloc Québécois s’oppose à la répartition proposée à l’automne par Élections Canada en vertu de laquelle le Québec serait seul à perdre un siège à la Chambre des communes, alors que l’Ontario, l’Alberta et la Colombie-Britannique y feraient des gains. Le Québec passerait de 78 à 77 sièges, tandis que la Chambre des communes s’accroîtrait de 338 à 342 élus.

« Il est d’emblée exclu que le poids politique du Québec soit réduit et c’est d’autant plus inadmissible que l’État québécois, tant qu’il en fait encore partie, représente le seul État de la fédération dont la seule langue commune et officielle est le français. Quand le Québec recule, le français recule; le poids relatif du français dans le parlement fédéral recule. Dans un parlement en croissance, la protection du poids de la nation québécoise implique non seulement que le Québec ne perde pas de siège, mais bien que si quatre sièges s’ajoutent, l’un d’entre eux aille au Québec », a affirmé Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois.

« Cette mesure ne suffit pas toutefois: il faut établir un processus permanent de préservation de la nation québécoise et de son poids au sein de la fédération, jusqu’au moment où les Québécois et les Québécoises pourraient choisir un autre avenir, leur souveraineté. On constate en effet un glissement rapide et inquiétant du pouvoir politique du Québec au sein de cette fédération. Tranquillement, progressivement, mais de façon inexorable, le poids, l’importance, l’influence, l’autorité du Québec à l’intérieur du Canada, se réduisent. Il faut intervenir », a fait valoir Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

« Le Québec constitue une nation à part entière et se doit d’être traitée comme telle par le Canada. À défaut de devenir un pays indépendant dans l’immédiat, nous ne tolèrerons certainement pas que notre poids politique diminue dans cette fédération qui tente de nous minoriser depuis toujours. Le 16 juin 2021, la Chambre des communes a massivement reconnu le statut de nation française au Québec. La « clause nation » est le test de cette reconnaissance au sein de la fédération canadienne. Les Québécois et Québécoises en tireront leurs propres conclusions », a conclu Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue.

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Source :

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Sylvie Bérubé appuie les producteurs et productrices de lait

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 4 février 2022 – Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou a rencontré M. Gabriel Rancourt, président des Producteurs de lait de l’Abitibi-Témiscamingue, afin de discuter de l’augmentation du prix du lait sur nos tablettes. Une rencontre qui a eu comme but de mieux comprendre leurs inquiétudes et leurs demandes.

« La situation des producteurs et des productrices laitiers n’est pas forcément reluisante avec les coûts de base comme l’engrais. Tout devient tributaire du prix final pour la vente de leur produit qui est la matière première, le lait, et peux occassionner des répercussions sur plusieurs produits dérivés comme le fromage et le yogourt », précise Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

À plusieurs moments, lors d’une augmentation du coût des produits laitiers, ce ne sont pas les producteurs et les productrices qui reçoivent cet argent. Cette fois-ci, c’est eux qui ont fait la demande devant l’élévation du coût de la vie, dont ils ne font pas exception.

« Je trouve cruciale de poursuivre l’achat du lait et des produits laitiers pour la survie de nos producteurs et productrices laitiers de la circonscription. Nous avons constaté, avec cette pandémie, l’importance de nos produits régionaux. Leurs fraîcheurs, leurs accessibilités et la proximité sont à privilégier », mentionne Mme Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

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Le Bloc Québécois propose des solutions pour dénouer l’impasse

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 2 février 2022 – Estimant inadéquate, voire provocatrice, l’attitude du premier ministre Trudeau en regard de la manifestation de camionneurs qui perdure à Ottawa, le chef Yves-François Blanchet et la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé invitent ce dernier à adopter une attitude à la hauteur de celle attendue d’un chef d’État en avançant des solutions posées et concrètes à la crise et en invitant les manifestants à quitter paisiblement les lieux.

« Que ferait un chef d’État? D’abord il ferait preuve de retenue et se garderait de tout mépris. Il éviterait d’attiser la crise par des généralisations et des amalgames douteux entre les citoyens manifestants et des factions extrémistes qui tentent de s’infiltrer et que tous condamnent. Il reconnaîtrait le droit démocratique de manifester, tout en faisant appel à la civilité et à la nécessité que toute manifestation de ce type ne se produise que de façon paisible et respectueuse de l’ordre public », rappelle Yves-François Blanchet.

« Un chef d’État reconnaîtrait ici le besoin de mieux informer. Il utiliserait les moyens réels de lutter contre la pandémie, c’est-à-dire, tel que clairement demandé par le Québec et par les provinces, la hausse sans conditions des transferts en santé. Plus les gens seront vaccinés, plus ils seront en santé, plus vite on passera à travers la pandémie, moins on aura besoin de restrictions. S’il y avait un impact économique à la vaccination obligatoire mutuelle entre les États-Unis et le Canada, un premier ministre pourrait suggérer des mesures d’atténuation pour y pallier. Bref, le Bloc Québécois invite le premier ministre à se hisser à la hauteur de ce que nous sommes en droit de nous attendre d’un chef d’État. À cet effet, nous l’assurons de notre entière collaboration », affirme Sylvie Bérubé.

« Le premier ministre doit assumer les responsabilités de sa charge et dissoudre la manifestation qui vire à l’occupation. Les résidents, usagers et commerçants ont été patients : il est temps que les activités reprennent leur cours sur la colline parlementaire et à Ottawa », conclut Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

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