Retards et chaos en vue à l’assurance-emploi

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 24 janvier 2023 – La députée de circonscription d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, dénonce vivement la décision du gouvernement Trudeau de réduire d’un jour la semaine de travail de quelque 750 agents de l’assurance-emploi au Québec affectés au service à la clientèle. Ces coupures de service, estime la députée, sont d’autant plus navrantes que l’on se trouve actuellement en pleine période de pointe hivernale, alors que les demandes affluent et que les prestataires font déjà face à des délais d’attente.

«Les citoyens et citoyennes de la circonscription écopent déjà de délais d’attente qui pèsent sur leur budget. Ce gouvernement vient rajouter un stress qui pourrait être évitable et s’assurant d’offrir la qualité du service à quoi s’attende la population, soit le délai de vingt-huit jours ouvrables pour le traitement de leur demande. Plusieurs personnes débarquent dans nos bureaux pour de l’aide alors que c’est auprès de Service Canada qui devrait effectuer ce travail. Nos gens sont pris en otage par ce manque de conscience du gouvernement qui fait des économies de bout de chandelle.», s’indigne la députée bloquiste.

Cette crise annoncée à Service Canada n’est pas sans rappeler le cafouillage dans le dossier des passeports du printemps dernier, alors que la hausse des demandes était prévisible à l’approche de l’été. Sous prétexte de l’atteinte de l’équilibre budgétaire, ces coupures auront indéniablement un impact sur les délais de traitement des demandeurs et sur le temps d’attente moyen de la ligne téléphonique destinée aux citoyens.

« Nous sommes encore une fois face à une déplorable démonstration d’incompétence de la part de ce gouvernement qui échoue lamentablement à assurer les services de base de l’État. Moins d’heures de travail pour les agents, ça signifie inévitablement une réduction de la qualité et de la quantité des services à la population. Cette décision du gouvernement Trudeau est lamentable sur toute la ligne et nous la dénonçons sans réserve », conclut la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé.

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Source :

Lynda Perreault                                                 

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé,                                     

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                                                                                                                 

lynda.perreault.301@parl.gc.ca

Bilan session automne : les libéraux sous haute surveillance

Abitibi-Baie-James- Nunavik-Eeyou, 14 décembre 2022 – Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois, et Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, ont dressé le bilan de session d’un gouvernement fédéral plus motivé par ses ingérences dans les compétences du Québec et des provinces que par ses propres responsabilités et ses propres échecs.

« Le Bloc Québécois devra tenir le gouvernement Trudeau sous haute surveillance cet hiver. D’un côté, les libéraux agissent avec une arrogance renouvelée envers le Québec et les provinces. Les troupes de Justin Trudeau ne se cachent plus pour affirmer qu’Ottawa est meilleur et doit accaparer les juridictions du Québec et des provinces. Son moyen, c’est de les affamer là où ça fait le plus mal : la santé. On le voit aussi dans leurs tentatives de rompre le consensus sur le financement de la santé en proposant des ententes individuelles, à rabais et assorties de conditions avec quelques provinces. On le voit dans l’annonce de seuils d’immigration irresponsables, sans consultation, ou pire, malgré les objections évidentes. On le voit dans C-13 qui se substitue à la Charte de la langue française ou dans la pérennisation du chemin Roxham, un accès inhumain pour des gens vulnérables et bien au-delà de la capacité du Québec de les franciser et d’en prendre soin », a fait valoir M. Blanchet.

Bilan circonscription

Mme Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, a été à la rencontre de la population d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou afin de prendre le pouls entre le mois de septembre et décembre. Elle et son équipe furent présentes lors d’activités et des événements diverses. Des rencontres avec différents acteurs du milieux ont eu lieu. Un automne bien occupé et combien fructueux.

Je me suis rendue à Aupaluk en octobre dernier. Un voyage enrichissant et c’est agréable d’aller dans leur milieu, d’échanger avec ces gens et connaître leur réalité. La présence, sur le terrain, est une de mes priorités. C’est une bonne façon de participer à la vie de la communauté, d’entendre les besoins et les priorités ainsi que de s’impliquer dans les dossiers fédéraux, exprime Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

« L’hiver sera rude, mais les Québécois et Québécoises pourront de nouveau compter sur les 32 députés (es) du Bloc, qui sont tous et toutes pour le Québec, tous les jours et sans compromis », a conclu Sylvie Bérubé.

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Source :

Lynda Perreault                                               

Directrice de bureau                                        

Bureau de Sylvie Bérubé,                                             

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                                                                                              

lynda.perreault.301@parl.gc.ca

Cette semaine avait lieu le lancement de la période des demandes

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 1er décembre 2022 – La députée Sylvie Bérubé invite les employeurs à procéder à leur demande dès maintenant et est ouverte jusqu’au 12 janvier 2023. Après cette date, il ne sera plus possible d’y faire de demande.

« C’est une opportunité pour nos jeunes et pour nos employeurs. Chacun y trouve son avantage. Une aide financière pour nos organismes à but sans lucratif et nos petites entreprises et une expérience de travail pour nos jeunes », mentionne Mme Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

Le programme Emplois été Canada (EÉC) crée des possibilités d’emploi d’été procurant une expérience de travail des plus précieuses aux étudiants et étudiantes à temps plein qui sont âgés entre 15 à 30 ans et qui comptent poursuivre leurs études l’année suivante.  Cette expérience de travail aide les jeunes à acquérir les compétences dont ils ont besoin pour bien entreprendre leur carrière. 

Les employeurs qui souhaitent présenter une demande de financement auprès d’EÉC 2023 peuvent le faire par voie électronique au moyen du formulaire à remplir en ligne. C’est la façon la plus simple pour les employeurs de présenter leur demande par voie électronique.

« C’est une invitation aux employeurs de se prévaloir de cette aide financière pour combler leurs besoins en main-d’œuvre et d’offrir l’occasion aux jeunes d’acquérir une expérience dans le monde du travail. », conclut Sylvie Bérubé, députée.

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Source :
Lynda Perreault                                                 

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé,                                     

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                                                                                                            

lynda.perreault.301@parl.gc.ca

Victoire : le bas de laine des travailleurs enfin protégé !

Abitibi – Baie-James – Nunavik – Eeyou – 24 novembre 2022 – La députée d’Abitibi– Baie-James – Nunavik – Eeyou, Sylvie Bérubé, a salué, aujourd’hui, l’adoption unanime par la Chambre des communes, du projet de loi visant à protéger les bas de laine des travailleurs et travailleuses en cas de faillite d’entreprise. Après plusieurs années de lutte pour mettre à l’abri ces fonds de retraite durement gagnés, la députée bloquiste se réjouit de l’issue positive de ce dossier, et considérant que des milliers de travailleurs et travailleuses peuvent désormais envisager leur retraite l’esprit tranquille. 

« Que des entreprises en faillite pigent dans le bas de laine des travailleurs pour payer leurs créanciers, ça s’appelle du vol et il fallait que ça cesse au plus vite! Je suis heureuse que les parlementaires se soient ralliés à cette cause que le Bloc Québécois défend ardemment depuis longtemps en donnant leur appui au projet de loi d’aujourd’hui. Si une cause mérite que l’on s’élève au-delà des intérêts partisans, c’est bien celle-ci! Ce faisant, nous nous assurons de mettre fin à cette procédure odieuse dont nos travailleurs et travailleuses sont depuis trop longtemps les injustes victimes », a fait valoir Mme Bérubé.

Appuyé par le milieu syndical et des groupes de défense des droits des retraités représentant plus de 3,5 millions de personnes, le projet de loi adopté aujourd’hui permettra de modifier la législation actuelle pour mettre à l’abri les fonds de pension des travailleurs afin qu’ils puissent compter sur leurs revenus de retraite, même si leur employeur ou ex-employeur fait faillite.

Rappelons que, lors de la précédente législature, un projet de loi similaire du Bloc Québécois s’était rendu à l’étape de la troisième lecture. Pour la députée bloquiste, qui a cet enjeu à cœur, l’adoption d’un projet de loi similaire et bonifiable constituait une priorité.

« Grâce à ce projet de loi, nous empêchons la réédition des histoires d’horreur comme celle vécue par les travailleurs de la Cliff’s en 2015, qui ont perdu une bonne partie de leur fonds de pension et de leurs assurances collectives. Désormais, en cas de faillite d’entreprise, il ne sera plus possible de laisser des retraités sur la paille : les caisses de retraite de nos travailleurs et travailleuses seront à l’abri », se réjouit Sylvie Bérubé.

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Source :
Mélanie Matte

Adjointe de circonscription, bureau de Sylvie Bérubé

Députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou

melanie.matte.301@parl.gc.ca

Ottawa prive des milliers de nouveaux retraités de leur pension

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 15 novembre 2022 – La députée Sylvie Bérubé dénonce de nouveaux ratés de la machine gouvernementale fédérale dont ont écopé quelque 70 000 personnes retraitées qui n’ont pu compter au moment prévu, sur les revenus légitimes de leur pension de vieillesse. La députée bloquiste s’indigne de ce manquement inadmissible du gouvernement Trudeau dont le devoir le plus élémentaire est de verser aux personnes retraitées les sommes qui leur sont dues.

Le Bloc dénonce ce scandale, qui encore une fois, ne trouve aucune justification ni explication, si ce n’est l’incompétence manifeste du gouvernement fédéral à gérer efficacement les programmes qui sont sous sa responsabilité.

« Les gens ne sont pas dupes : ils voient bien que ça cloche au gouvernement fédéral et qu’Ottawa peine à assurer convenablement les services de l’État. Ça se perçoit aussi dans la gestion des passeports, des frontières et de l’immigration, entre autres. Voilà encore une fois un exemple flagrant de l’incompétence de ce gouvernement et ce sont les citoyens et citoyennes qui sont en droit de toucher leur retraite qui en font malheureusement les frais », déplore Mme Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

Cette prestation devrait normalement être disponible à partir du premier mois suivant le 65e anniversaire. De nombreux aînés, dont des milliers de Québécoises et de Québécois, attendent avec impatience ces versements pouvant dépasser 600 $ par mois.

« Ce devrait être naturel, lorsque les gens arrivent à l’âge de la retraite, de pouvoir compter sur la pension de la Sécurité de vieillesse à laquelle ils ont cotisé toute leur vie. Le gouvernement fédéral prive nos citoyens et citoyennes les plus vulnérables d’un revenu sur lequel ils devaient normalement pouvoir se fier, et c’est d’autant plus désolant que cette faute survient à un moment où l’inflation frappe de plein fouet. Au lieu de s’acharner à s’immiscer dans les compétences du Québec, Ottawa devrait plutôt voir à ses propres affaires et régler rapidement cette situation qui plonge des milliers de Québécoises et Québécois dans la précarité », avise Sylvie Bérubé, députée.

« Tous cotisent et ont droit à leur pension. Le gouvernement fédéral manque à ses devoirs les plus élémentaires. Qu’il répare sa faute et vite », conclut Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

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Source :
Lynda Perreault                                                 

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé,                                     

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                                                                                                               

lynda.perreault.301@parl.gc.ca

Ottawa pille au Québec des sommes en infrastructures

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 8 novembre 2022, La députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, dénonce le vol par Ottawa de sommes dédiées au Québec pour des projets d’infrastructure, tel que confirmé dans l’énoncé économique. À cet effet, le porte-parole en matière d’Infrastructure, Xavier Barsalou-Duval, a adressé une lettre au ministre des Affaires intergouvernementales, de l’Infrastructure et des Collectivités, Dominic LeBlanc, lui réclamant de modifier son échéance pour permettre aux municipalités de déposer leurs projets dans le cadre du programme.

« Afin d’accélérer la réalisation de projets d’infrastructure essentiels, le gouvernement a annoncé son intention, dans le budget de 2022, de devancer au 31 mars 2023 l’échéance pour que les provinces consacrent tout leur financement restant à des projets prioritaires. L’énoncé économique de l’automne de 2022 réaffirme cette intention, de même que l’engagement pris dans le budget de 2022 de réaffecter les fonds inutilisés à d’autres priorités », peut-on lire dans la mise à jour économique.

« En réaffirmant cette décision, le gouvernement fédéral ne laisse que 5 mois, plutôt que les plus de 2 ans prévus initialement, au gouvernement du Québec pour présenter pour près de 3,5 milliards $ en financement fédéral des projets d’infrastructure. Faute de respecter cette date, Québec et les municipalités perdront toutes les sommes non engagées alors qu’Ottawa avait promis dans l’Entente bilatérale intégrée Canada-Québec relative au programme investir dans le Canada 2018 de laisser à Québec jusqu’en 2025 pour les dépenser. Ce geste unilatéral du gouvernement fédéral risque de coûter très cher au Québec et aux villes », soutient Mme Bérubé.

Rappelons qu’autant le gouvernement du Québec que l’Union des municipalités du Québec ont signifié au gouvernement fédéral qu’ils s’attendent à ce qu’il respecte sa parole telle que contenue dans l’entente négociée entre Québec et Ottawa. « Les sommes prévues proviennent directement des taxes et impôts des Québécois et Québécoises. Ils ont le droit de recevoir leur juste part du financement fédéral en matière d’infrastructure, surtout lorsque ce dernier s’est formellement engagé à rendre ces sommes disponibles pour le Québec par le biais de l’entente Canada-Québec. Le gouvernement fédéral doit revenir sur sa décision et respecter sa parole. C’est tout bonnement inadmissible de voler le Québec ainsi », dénonce Sylvie Bérubé, la députée bloquiste.

Finalement, rappelons que le gouvernement du Québec et les municipalités possèdent 90% des infrastructures publiques présentes sur le territoire québécois. « L’entêtement du gouvernement fédéral à ne pas respecter ses engagements n’est qu’une nouvelle démonstration que le Québec n’a rien à attendre du gouvernement fédéral qui n’hésite pas à faire chanter les Québécois et Québécoises avec l’argent qui sort de leurs poches, et ce, même s’il s’est engagé à leur redonner en contribuant au financement de leurs infrastructures. Le Québec mérite mieux », conclut Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

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Source :
Lynda Perreault                                                  

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé,                                     

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                                                                              

lynda.perreault.301@parl.gc.ca

Une mise à jour économique qui ne passera pas à l’histoire

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 4 novembre 2022La députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, déplore une mise à jour économique qui mentionne 115 fois le problème de l’inflation sans offrir de soutien supplémentaire aux personnes vulnérables ou de nouvelle piste de solution, alors qu’une récession est redoutée dès 2023.

« Un Québécois inquiet de la hausse du coût de la vie ne trouvera que très peu de réconfort à la lecture de cette mise à jour économique. Il devra s’y contenter essentiellement de la suite de la mise en œuvre du budget du printemps dernier. Le Bloc Québécois avait demandé au gouvernement de se recentrer sur ses responsabilités fondamentales envers les personnes vulnérables : hausser les transferts en santé, soutenir adéquatement les 65 ans et plus et réformer en toute urgence l’assurance-emploi, meilleur stabilisateur en période économique difficile. Il a rejeté ces propositions. Nous ne pouvons donc que dénoncer une occasion manquée d’aider les Québécois à faire face aux moments difficiles qu’ils vivent déjà ou qu’ils redoutent pour les mois à venir », a dénoncé

Santé : le bras de fer se poursuit

Le Bloc Québécois avait demandé au gouvernement d’accéder à la demande unanime du Québec et des provinces de hausser immédiatement, durablement et sans conditions les transferts en santé. « Alors que les urgentologues avertissent que nos hôpitaux ont atteint leur point de rupture, le fédéral n’agit pas. Il privilégie visiblement sa stratégie de prolonger la crise du financement de la santé dans l’espoir de briser le consensus des provinces pour les convaincre d’accepter de diluer leurs demandes financières », a expliqué Mme Bérubé.

Deux classes d’aînés

La députée bloquiste déplore que les personnes de 65 à 74 ans continuent d’être privées de la hausse de pension de vieillesse dont elles auraient, plus que jamais, besoin actuellement. « Le revenu fixe des aînés ne leur permet pas de faire face en temps réel à une hausse du coût de la vie aussi prononcée. Ils demeurent les personnes les plus susceptibles d’avoir à faire des choix difficiles à l’épicerie ou à la pharmacie. Et le gouvernement continue de pénaliser les moins nantis qui voudraient travailler davantage sans perdre leurs prestations. L’inflation, contrairement au gouvernement fédéral, ne discrimine pas les aînés selon leur âge », a-t-elle dénoncé.

Une assurance-emploi sans rassurance

Alors que de plus en plus d’analystes redoutent la possibilité d’une récession dès 2023, le gouvernement canadien semble reculer sur la réforme globale de l’assurance-emploi qu’il a promise pour l’été dernier. « Actuellement, six travailleurs sur 10 qui perdent leur emploi n’ont pas droit à l’assurance-emploi, même ceux qui y cotisent. L’assurance-emploi est pourtant le meilleur moyen de stabiliser l’économie en cas de récession. Or, les projections financières du gouvernement prouvent qu’il ne prévoit pas que plus de gens devraient y avoir accès, impliquant que si la réforme promise finit par aboutir, elle demeurera décevante et ne permettra pas de faire face à une hypothétique récession », a dénoncé Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

« Le gouvernement met le doigt sur le problème de la hausse du coût de la vie et s’arrête à le nommer. Il annonce des jours à venir difficiles cet hiver, sans prévoir comment les traverser. Il fait lui-même des constats sévères sur l’état de la situation économique sans pourtant tenir compte de la moindre proposition de l’opposition pour s’y préparer. Il répète les mesures qu’il a prises par le passé, concrétise ce qu’il a déjà annoncé dans le budget d’avril dernier, mais rien n’indique qu’il sache où il s’en va. Ce sera peut-être encore une fois le rôle du Bloc Québécois de le diriger dans le sens des intérêts des Québécois », a conclu Sylvie Bérubé.

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Source :
Lynda Perreault                                                  

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé,                                     

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                                                                             

lynda.perreault.301@parl.gc.ca

Les partis fédéraux s’accrochent à la monarchie

Abitibi – Baie-James – Nunavik – Eeyou – 26 octobre 2022 – La Chambre des communes du Canada a massivement rejeté la motion du Bloc Québécois qui proposait de mettre fin aux liens entre l’État canadien et la Couronne britannique. Les partis fédéraux, à l’exception de douze députés de différentes allégeances, qui ont voté en faveur de la motion du Bloc, ont ainsi raté une occasion de se libérer de la monarchie, institution vétuste allant littéralement à l’encontre des valeurs de démocratie portées par le Québec et le Canada.

« Il est navrant que les partis fédéralistes ne soient pas au diapason de leur population et qu’ils préfèrent rester attachés à de coûteux symboles, plutôt que de saisir l’opportunité de moderniser le système politique canadien. Le Bloc, pour sa part, partage l’avis de la majorité des Québécois qui veulent que cesse notre assujettissement à une monarchie à l’égard de laquelle, au mieux, ils éprouvent une totale indifférence. Les fédéralistes ont parlé de priorités : justement! Les millions de dollars que les contribuables québécois voient disparaître chaque année pour le maintien de cet encombrant lien monarchique devraient être injectés dans des priorités qui les servent davantage », déplore le chef du Bloc Québécois, Yves‑François Blanchet.

« Notre proposition était simple : elle consistait à s’affranchir de la Couronne britannique. Cela va dans le sens de la volonté d’une très forte proportion de Québécoises et de Québécois qui souhaite se libérer d’un système monarchique qui ne correspond pas du tout à leurs valeurs ni à leur conception d’une démocratie fondée sur le principe d’égalité de tous. Le vote d’aujourd’hui révèle une fois de plus à quel point les partis fédéraux sont éloignés de la volonté du Québec. Pire, confrontés au choix entre le peuple et la Couronne, ils ont donné préséance à la Couronne », signale la députée d’Abitibi – Baie-James – Nunavik – Eeyou, Sylvie Bérubé.

« En 2022, les Québécois croient qu’ils ont bien mieux à faire de leur argent que de payer des millions pour les symboles de la royauté britannique et nous sommes d’accord avec eux. Ces millions pourraient être utilisés plus intelligemment, par exemple pour aider nos aînés durement touchés par l’inflation, soutenir la francisation de l’immigration, fournir de l’eau potable aux communautés autochtones, soutenir les énergies vertes, etc. L’abandon de la monarchie est une nécessité voulue par les Québécois et nous reviendrons à la charge », promet Mme Bérubé.

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Source :
Mélanie Matte

Adjointe de circonscription, bureau de Sylvie Bérubé

Députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou

melanie.matte.301@parl.gc.ca

Réforme du programme de l’assurance-emploi et industrie saisonnière

Ottawa abandonne les travailleurs saisonniers  

Abitibi – Baie-James – Nunavik – Eeyou – 25 octobre 2022  – La députée d’Abitibi – Baie-James – Nunavik – Eeyou, Sylvie Bérubé, donne son appui aux travailleurs saisonniers de l’Est-du-Québec et des Maritimes, et joint sa voix à celle de l’Alliance interprovinciale, un regroupement de vingt syndicats et organismes de défense des chômeurs qui représentent les travailleurs de plusieurs secteurs de l’industrie saisonnière régionale, pour réclamer qu’Ottawa amorce de toute urgence une réforme de l’assurance-emploi. Sylvie Bérubé, la députée bloquiste réaffirme la nécessité d’une réforme globale et immédiate de ce programme, dans un contexte où l’industrie saisonnière en région est en péril.

Les règles actuelles du programme d’assurance-emploi et l’abandon des mesures d’allègements temporaires font en sorte que plusieurs travailleurs de l’industrie saisonnière sont simplement abandonnés par le programme.

« Les travailleurs de l’industrie saisonnière vivent le phénomène du « trou noir » depuis longtemps. Or, cette année, avec des taux de chômage historiquement bas, cette situation va s’amplifier puisqu’il faudra plus d’heures pour se qualifier, soit 700 heures dans 11 régions économiques sur 12. Est-ce que la ministre est consciente que de nombreux travailleurs saisonniers ne pourront se qualifier ou obtiendront un nombre insuffisant de semaines de prestation, et ce, malgré un projet-pilote ? », questionne Mme Bérubé.

Le Bloc dénonce avec véhémence l’abandon par Ottawa des régions, dont l’un des moteurs économiques est l’industrie saisonnière. « On parle du secteur touristique, mais aussi de l’agriculture, de la foresterie, de la pêche, de la chasse, de la construction ainsi que des arts et spectacles. Ces secteurs saisonniers sont essentiels à la vitalité économique des régions du Québec : ce sont des pans entiers de notre économie qui seront affectés. Nous demandons à la ministre de réaliser, une fois pour toutes, l’ampleur du drame qui se prépare », mentionne Sylvie Bérubé.

Pour le Bloc Québécois et l’Alliance interprovinciale, la solution passe par une réforme globale du programme d’assurance-emploi, qui viendra répondre aux besoins réels des travailleurs de l’industrie saisonnière. « Les solutions sont connues depuis des années; il ne reste qu’à les appliquer. La ministre devait présenter un plan de réforme au début de l’été que nous attendons toujours. Les collectivités qui vivent de l’industrie saisonnière peuvent toutefois compter sur nous pour talonner Ottawa afin que cette réforme aboutisse enfin », conclut la députée d’Abitibi – Baie-James – Nunavik – Eeyou, Sylvie Bérubé.

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Source :
Mélanie Matte

Adjointe de circonscription, bureau de Sylvie Bérubé

Députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou

melanie.matte.301@parl.gc.ca

Le Bloc Québécois obtient un délai pour mener à bien les projets municipaux

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 20 octobre 2022– Après plusieurs mois d’attente et de longues démarches auprès de Développement économique Canada la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, se réjouit du report de la date limite consenti pour terminer les travaux des projets financés par le Fonds canadien de revitalisation des communautés (FCRC). Les fonctionnaires du ministère ont annoncé aux municipalités que la date limite sera repoussée au 31 mars 2024. Grâce aux démarches des élus bloquistes, les projets communautaires financés pourront ainsi être complétés. Au moins 15 municipalités ou organismes avaient signalé aux élus bloquistes l’absence de réponse du gouvernement fédéral dans ce dossier.

Rappelons que les municipalités demandaient depuis plusieurs mois une extension des délais pour réaliser les travaux en raison, notamment des difficultés d’approvisionnement, de la pénurie de main-d’œuvre, de l’octroi de permis par le ministère de l’Environnement et de la Lutte aux changements climatiques du Québec, de même que de la difficulté d’effectuer des travaux pendant la saison hivernale. Il aura fallu plus d’un mois après avoir fait parvenir une lettre cosignée par huit députés à la vice-première ministre du Canada pour obtenir une réponse du gouvernement à ce sujet.

Les gains du Bloc dans ce dossier permettront, entre autres aux municipalités et organismes communautaires que leurs projets si importants puissent jouir d’un temps raisonnable pour être réalisés, s’est réjoui Mme Bérubé. « C’est une victoire pour les citoyens et citoyennes que nous sommes fiers de représenter ! », a-t-elle fièrement commenté.

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Source :

Lynda Perreault                                                  

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé,                                     

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                                                                             

lynda.perreault.301@parl.gc.ca