Cette semaine avait lieu le lancement de la période des demandes

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 1er décembre 2022 – La députée Sylvie Bérubé invite les employeurs à procéder à leur demande dès maintenant et est ouverte jusqu’au 12 janvier 2023. Après cette date, il ne sera plus possible d’y faire de demande.

« C’est une opportunité pour nos jeunes et pour nos employeurs. Chacun y trouve son avantage. Une aide financière pour nos organismes à but sans lucratif et nos petites entreprises et une expérience de travail pour nos jeunes », mentionne Mme Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

Le programme Emplois été Canada (EÉC) crée des possibilités d’emploi d’été procurant une expérience de travail des plus précieuses aux étudiants et étudiantes à temps plein qui sont âgés entre 15 à 30 ans et qui comptent poursuivre leurs études l’année suivante.  Cette expérience de travail aide les jeunes à acquérir les compétences dont ils ont besoin pour bien entreprendre leur carrière. 

Les employeurs qui souhaitent présenter une demande de financement auprès d’EÉC 2023 peuvent le faire par voie électronique au moyen du formulaire à remplir en ligne. C’est la façon la plus simple pour les employeurs de présenter leur demande par voie électronique.

« C’est une invitation aux employeurs de se prévaloir de cette aide financière pour combler leurs besoins en main-d’œuvre et d’offrir l’occasion aux jeunes d’acquérir une expérience dans le monde du travail. », conclut Sylvie Bérubé, députée.

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Source :
Lynda Perreault                                                 

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé,                                     

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                                                                                                            

lynda.perreault.301@parl.gc.ca

Ottawa prive des milliers de nouveaux retraités de leur pension

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 15 novembre 2022 – La députée Sylvie Bérubé dénonce de nouveaux ratés de la machine gouvernementale fédérale dont ont écopé quelque 70 000 personnes retraitées qui n’ont pu compter au moment prévu, sur les revenus légitimes de leur pension de vieillesse. La députée bloquiste s’indigne de ce manquement inadmissible du gouvernement Trudeau dont le devoir le plus élémentaire est de verser aux personnes retraitées les sommes qui leur sont dues.

Le Bloc dénonce ce scandale, qui encore une fois, ne trouve aucune justification ni explication, si ce n’est l’incompétence manifeste du gouvernement fédéral à gérer efficacement les programmes qui sont sous sa responsabilité.

« Les gens ne sont pas dupes : ils voient bien que ça cloche au gouvernement fédéral et qu’Ottawa peine à assurer convenablement les services de l’État. Ça se perçoit aussi dans la gestion des passeports, des frontières et de l’immigration, entre autres. Voilà encore une fois un exemple flagrant de l’incompétence de ce gouvernement et ce sont les citoyens et citoyennes qui sont en droit de toucher leur retraite qui en font malheureusement les frais », déplore Mme Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

Cette prestation devrait normalement être disponible à partir du premier mois suivant le 65e anniversaire. De nombreux aînés, dont des milliers de Québécoises et de Québécois, attendent avec impatience ces versements pouvant dépasser 600 $ par mois.

« Ce devrait être naturel, lorsque les gens arrivent à l’âge de la retraite, de pouvoir compter sur la pension de la Sécurité de vieillesse à laquelle ils ont cotisé toute leur vie. Le gouvernement fédéral prive nos citoyens et citoyennes les plus vulnérables d’un revenu sur lequel ils devaient normalement pouvoir se fier, et c’est d’autant plus désolant que cette faute survient à un moment où l’inflation frappe de plein fouet. Au lieu de s’acharner à s’immiscer dans les compétences du Québec, Ottawa devrait plutôt voir à ses propres affaires et régler rapidement cette situation qui plonge des milliers de Québécoises et Québécois dans la précarité », avise Sylvie Bérubé, députée.

« Tous cotisent et ont droit à leur pension. Le gouvernement fédéral manque à ses devoirs les plus élémentaires. Qu’il répare sa faute et vite », conclut Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

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Source :
Lynda Perreault                                                 

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé,                                     

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                                                                                                               

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Ottawa pille au Québec des sommes en infrastructures

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 8 novembre 2022, La députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, dénonce le vol par Ottawa de sommes dédiées au Québec pour des projets d’infrastructure, tel que confirmé dans l’énoncé économique. À cet effet, le porte-parole en matière d’Infrastructure, Xavier Barsalou-Duval, a adressé une lettre au ministre des Affaires intergouvernementales, de l’Infrastructure et des Collectivités, Dominic LeBlanc, lui réclamant de modifier son échéance pour permettre aux municipalités de déposer leurs projets dans le cadre du programme.

« Afin d’accélérer la réalisation de projets d’infrastructure essentiels, le gouvernement a annoncé son intention, dans le budget de 2022, de devancer au 31 mars 2023 l’échéance pour que les provinces consacrent tout leur financement restant à des projets prioritaires. L’énoncé économique de l’automne de 2022 réaffirme cette intention, de même que l’engagement pris dans le budget de 2022 de réaffecter les fonds inutilisés à d’autres priorités », peut-on lire dans la mise à jour économique.

« En réaffirmant cette décision, le gouvernement fédéral ne laisse que 5 mois, plutôt que les plus de 2 ans prévus initialement, au gouvernement du Québec pour présenter pour près de 3,5 milliards $ en financement fédéral des projets d’infrastructure. Faute de respecter cette date, Québec et les municipalités perdront toutes les sommes non engagées alors qu’Ottawa avait promis dans l’Entente bilatérale intégrée Canada-Québec relative au programme investir dans le Canada 2018 de laisser à Québec jusqu’en 2025 pour les dépenser. Ce geste unilatéral du gouvernement fédéral risque de coûter très cher au Québec et aux villes », soutient Mme Bérubé.

Rappelons qu’autant le gouvernement du Québec que l’Union des municipalités du Québec ont signifié au gouvernement fédéral qu’ils s’attendent à ce qu’il respecte sa parole telle que contenue dans l’entente négociée entre Québec et Ottawa. « Les sommes prévues proviennent directement des taxes et impôts des Québécois et Québécoises. Ils ont le droit de recevoir leur juste part du financement fédéral en matière d’infrastructure, surtout lorsque ce dernier s’est formellement engagé à rendre ces sommes disponibles pour le Québec par le biais de l’entente Canada-Québec. Le gouvernement fédéral doit revenir sur sa décision et respecter sa parole. C’est tout bonnement inadmissible de voler le Québec ainsi », dénonce Sylvie Bérubé, la députée bloquiste.

Finalement, rappelons que le gouvernement du Québec et les municipalités possèdent 90% des infrastructures publiques présentes sur le territoire québécois. « L’entêtement du gouvernement fédéral à ne pas respecter ses engagements n’est qu’une nouvelle démonstration que le Québec n’a rien à attendre du gouvernement fédéral qui n’hésite pas à faire chanter les Québécois et Québécoises avec l’argent qui sort de leurs poches, et ce, même s’il s’est engagé à leur redonner en contribuant au financement de leurs infrastructures. Le Québec mérite mieux », conclut Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

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Source :
Lynda Perreault                                                  

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé,                                     

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                                                                              

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Le Bloc Québécois obtient un délai pour mener à bien les projets municipaux

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 20 octobre 2022– Après plusieurs mois d’attente et de longues démarches auprès de Développement économique Canada la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, se réjouit du report de la date limite consenti pour terminer les travaux des projets financés par le Fonds canadien de revitalisation des communautés (FCRC). Les fonctionnaires du ministère ont annoncé aux municipalités que la date limite sera repoussée au 31 mars 2024. Grâce aux démarches des élus bloquistes, les projets communautaires financés pourront ainsi être complétés. Au moins 15 municipalités ou organismes avaient signalé aux élus bloquistes l’absence de réponse du gouvernement fédéral dans ce dossier.

Rappelons que les municipalités demandaient depuis plusieurs mois une extension des délais pour réaliser les travaux en raison, notamment des difficultés d’approvisionnement, de la pénurie de main-d’œuvre, de l’octroi de permis par le ministère de l’Environnement et de la Lutte aux changements climatiques du Québec, de même que de la difficulté d’effectuer des travaux pendant la saison hivernale. Il aura fallu plus d’un mois après avoir fait parvenir une lettre cosignée par huit députés à la vice-première ministre du Canada pour obtenir une réponse du gouvernement à ce sujet.

Les gains du Bloc dans ce dossier permettront, entre autres aux municipalités et organismes communautaires que leurs projets si importants puissent jouir d’un temps raisonnable pour être réalisés, s’est réjoui Mme Bérubé. « C’est une victoire pour les citoyens et citoyennes que nous sommes fiers de représenter ! », a-t-elle fièrement commenté.

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Source :

Lynda Perreault                                                  

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé,                                     

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou                                                                             

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L’importance de la semaine des personnes aînés

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 28 septembre 2022 – L’entrée de la session parlementaire à Ottawa s’est amorcée le 20 septembre 2022, pour Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.


À proximité des gens
Néanmoins, Mme Bérubé souhaite maintenir un lien privilégié de proximité auprès des citoyennes et citoyens de la circonscription en multipliant sa présence au sein de la communauté. De ce fait, Mme Bérubé, se réjouit de participer à diverses activités lors de la semaine des personnes ainées qui se tiendra du 1er au 7 octobre 2022 à Val-d’Or.
« Ces activités qui favorisent le bien-être, la santé ainsi que les rencontres intergénérationnelles qui sont primordiaux afin de briser la solitude et l’isolement de nos ainées. J’invite la population à profiter de l’occasion pour s’y amuser en participant au programme de cette année », souligne Sylvie Bérubé.


Programmation de la semaine des ainées
https://semainedespersonnesainees.com/


Pression sur le gouvernement fédéral
D’ailleurs, elle mentionne l’importance d’aller à la rencontre de plusieurs citoyennes et citoyens lui permet d’obtenir les spécificités régionales des gens afin de bien les représenter lors de son mandat de porte-parole de Famille, Enfants et Développement social du Bloc Québécois à Ottawa.


« De plus, nous travaillons fort afin que le gouvernement libéral cesse immédiatement de diminuer le chèque du Supplément de revenu garanti des ainés les plus démunis qui ont bénéficié de la PCU ou de la PCRE l’an dernier. Nous tenons notre position au gouvernement afin qu’il hausse la Pension de la sécurité de la vieillesse pour préserver le pouvoir d’achat des ainés face à la hausse du coût de la vie », affirme Mme Bérubé.


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Source: Mélanie Matte
Adjointe de circonscription
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Bilan « Emplois Été Canada » dans la circonscription

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, le 16 septembre 2022 – Une autre saison estivale qui prend fin pour les jeunes embauchés pour les différents emplois dans le cadre du programme fédéral « Emplois d’Été Canada » dans la circonscription d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

« Je trouve important de rappeler que plus de 480 emplois via le programme d’Emplois d’Été Canada a permis aux employeurs, de notre circonscription, d’être subventionnés pour un montant de 1 583 969 $. C’est un investissement majeur pour aider à combler les emplois et pallier, sporadiquement, à la pénurie de main-d’œuvre qui sévit depuis plusieurs années », précise Sylvie Bérubé, députée.

Plusieurs jeunes entre 15 et 30 ans ont pu acquérir une expérience qui les aidera dans leur future carrière. C’est des emplois de qualités et importants, pour nos jeunes et pour notre communauté, qui ont été offerts dans la circonscription d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou. Les employeurs apprécient ces subventions qui les aident financièrement et surtout les jeunes qui viennent travailler pour eux.

« Grâce au programme Emplois d’été Canada, des emplois ont été offerts à des jeunes de chez nous, ce qui leur a permis d’acquérir une expérience de travail précieuse et leur permettre de développer les compétences utiles pour réussir dans leur avenir. Selon moi, il s’agit d’un excellent investissement qui est aussi fort utile pour aider et soutenir nos employeurs », a mentionné Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

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Source :
Lynda Perreault                                                  

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé                                     

Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou           

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Le Bloc Québécois intensifie sa lutte pour les intérêts du Québec

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 15 septembre 2022 – Réunis en caucus présessionnel à Oka sous le thème « Tous pour le Québec », le chef du Bloc Québécois, Yves‑François Blanchet, et la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, ont réitéré que le Bloc portera encore plus haut et plus fort la voix de l’Assemblée nationale du Québec.

« Le Bloc Québécois va continuer à être la voix du Québec à la Chambre des communes et continuer à y porter les consensus de l’Assemblée nationale. Le Bloc Québécois va continuer aussi à être la force constructive qu’il a su être au fil des dernières années. Tous pour le Québec, nous nous mobiliserons pour porter et promouvoir les intérêts de la nation québécoise », affirme le chef du Bloc Québécois.

Le Bloc Québécois reviendra bien sûr à la charge sur le renforcement de la Loi 101 et sur la Loi 21 qu’Ottawa veut contester jusqu’en Cour suprême, ainsi que sur les transferts en santé dans un contexte de déséquilibre fiscal qui est nuisible à de nombreux enjeux. Le gouvernement Trudeau sera quant à lui invité par les troupes bloquistes à rendre des comptes sur les multiples ratés qui ont affecté la gestion des affaires de l’État au cours des dernières semaines et des derniers mois, en particulier à l’encontre des vacanciers et voyageurs.

« Nous allons aussi revenir sur des thèmes à caractère économique comme l’inflation qui menace de provoquer une récession et affaiblit le pouvoir d’achat des plus vulnérables : des mesures doivent être prises pour soutenir les Québécois et Québécoises. Nous allons revenir sur les aînés, pour lesquels il faut obtenir l’augmentation de la pension sans discrimination pour tous les retraités de 65 ans et plus », soutient Sylvie Bérubé.

« Il y a deux sujets évidents où s’affichent des différences marquées entre le Québec et le Canada : l’environnement, où nous favorisons la création de plus de richesse en recourant aux énergies propres alors que les partis fédéraux sont, tous et de façon plus ou moins avouée, pro-pétrole; et la monarchie. Le Bloc Québécois n’est ni pour l’un, ni pour l’autre. Outre accélérer la transition énergétique pour laquelle le Québec est un leader, il faut clairement et sans équivoque abolir la monarchie, comme le souhaite une très forte majorité de Québécois et Québécoises », mentionne Mme Bérubé, députée d’Abitib-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

La question de la perte d’un siège pour l’Est-du-Québec à la Chambre des communes occupera aussi un espace important : « Le Bloc se fera le messager d’une très forte mobilisation régionale contre la disparition de la circonscription d’Avignon—La Mitis—Matane—Matapédia. La proposition de redécoupage de la carte électorale fédérale contribue à affaiblir l’Est-du-Québec, et ce faisant, toutes les régions du Québec, à un moment où des développements très récents permettent d’espérer un frein à son déclin démographique. Insuffisamment sensible à la réalité québécoise, le redécoupage doit aussi respecter les institutions municipales et régionales.

Nous poursuivrons aussi notre travail pour soutenir l’agriculture, le secteur de la pêche et le secteur de l’aérospatiale québécois afin d’apporter aux problématiques encourues, des solutions abordables et réalisables, en vue d’une véritable politique nationale », conclut Sylvie Bérubé.

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Source :
Lynda Perreault                                                  

Directrice de bureau                                           

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Bilan de la tournée estivale en Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, le 13 septembre 2022 – C’est déjà la fin de l’été et de la tournée estivale dans la circonscription d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

« Que de plaisir ce fut de rencontrer les citoyens et citoyennes de la belle et grande circonscription ! Des rencontres remplies d’informations sur les réalités et les besoins de nos gens. C’est toujours, pour moi, énergisant et riche ces moments passés auprès de la population. Ainsi ça me permet de poursuivre le travail en circonscription et à Ottawa avec les préoccupations de ma circonscription », souligne Sylvie Bérubé, députée.

Depuis trois ans, Sylvie Bérubé va à la rencontre des citoyens et citoyennes, des propriétaires d’entreprises, des élus et élues ainsi que des personnes qui travaillent auprès des OBNL de la circonscription. Cette année, elle a opté pour une présence en trois semaines différentes dès le début juillet jusqu’au début septembre 2022. C’est plus de 24 rencontres planifiées avec des élus et élues ainsi que des organismes, en plus des présences à plusieurs événements de partout en circonscription, des galas, et des prises de parole comme le discours patriotique au feu de la fête nationale du Québec à Lebel-sur-Quévillon. Ça met fin à la tournée estivale 2022 bien remplie. La présence en circonscription de Mme Bérubé se poursuivra durant l’année pendant les temps réservés en circonscription selon l’horaire de la Chambre des communes.

« Je tiens à remercier la population d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou pour ces échanges enrichissants année après année. Vous êtes une source d’inspiration qui me motive encore plus à poursuivre votre représentativité à Ottawa, a conclu Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou. »

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Source :
Lynda Perreault                                                  

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé                                     

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Un ultime signal d’alarme pour le gouvernement Trudeau

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, 18 août 2022 – Réagissant aux données de Statistique Canada confirmant le recul du poids du français au Québec au profit d’une anglicisation croissante, la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, appelle le gouvernement Trudeau à « se saisir de l’urgence de la situation ».

« Tous les indicateurs le démontrent : le déclin du français se poursuit, tant au Québec qu’au Canada. Ceci doit être l’ultime signal d’alarme pour le gouvernement libéral, qui refuse toujours de se saisir de l’urgence de la situation. Si les libéraux sont sérieux lorsqu’ils se disent préoccupés par l’état de la langue française, c’est le moment d’agir en reculant sur leur intention de soustraire l’application de la loi 101 aux entreprises sous juridiction fédérale et en mettant un frein au financement de l’anglicisation croissante au Québec. « Qu’on mette les choses au clair : Québec est le seul maître d’oeuvre de sa politique linguistique,  le déclin est arrivé pour notre belle langue de Molière et nous avons sonné l’alarme maintes fois et maintenant, il faut que le gouvernement Trudeau agisse! », tranche Sylvie Bérubé, députée bloquiste.

La proportion de francophones est maintenant sous la barre des 80% comme principale langue parlée à la maison. Le français langue maternelle se rapproche des 75%. Il y a aussi un déclin quant à la simple connaissance du français ou à ladite première langue officielle parlée. En parallèle, l’anglais progresse, selon l’ensemble de ces indicateurs.  

« Les libéraux fédéraux vivent sur une autre planète : huit députés québécois du Parti libéral du Canada ont participé en mai à une manifestation contre la loi réformant la Charte de la langue française, tandis que le ministre de la Justice ouvre tout grand la porte à une contestation judiciaire de cette loi. C’est inacceptable! Ces données doivent servir d’ultime éveil à l’urgence de la situation », soutient Mme Bérubé.

Au cours des derniers mois, le Bloc Québécois a déposé un projet de loi sur la langue française exigeant notamment une connaissance suffisante du français comme condition à l’obtention de la citoyenneté canadienne pour les résidents permanents du Québec. Le gouvernement du Québec a aussi exprimé son souhait de rapatrier les pouvoirs en immigration, demande sur-le-champ rejetée par Justin Trudeau.

« Outre la connaissance minimale du français comme un critère à la citoyenneté québécoise, nous pensons qu’il est crucial pour le Québec de contrôler de A à Z son immigration. Jusqu’ici, tout ce que le gouvernement Trudeau aura prouvé, tant par ses nominations unilingues que ses sorties contre les tentatives de protection et de promotion de la langue française du gouvernement du Québec, c’est qu’il s’oppose aux efforts de sauvegarde de notre langue. Ça suffit! Ottawa doit cesser sa croisade contre la loi 96, obtempérer aux demandes de Québec et transférer les pouvoirs en immigration », conclut Sylvie Bérubé.

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Source :

Mélanie Matte

Adjointe de circonscription

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Réaction à la suite de financement d’Ottawa pour les fouilles à Eeyou-Istchee

Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, le 27 juillet 2022 – Pour donner suite à l’annonce, la semaine dernière, d’Ottawa de financer la recherche au sol du pensionnat à Fort George sur le territoire Eeyou-Istchee, la députée fédérale d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, a réagi.

« Depuis des lunes que les communautés vivent l’angoisse de savoir ce qui s’est passé pour leurs enfants disparus. La découverte des dépouilles, dans les pensionnats partout au Canada, ont surpris le monde entier et la révélation des actes inconcevables de la part du clergé et du gouvernement en place ont été de la stupéfaction par ses gestes odieux qu’on subit ces enfants par la souffrance à la mort dans les pires sévices. Aujourd’hui, ce geste du gouvernement n’est qu’un baume dans la perspective de la découverte d’enfants sur notre territoire Eeyou Istchee, » a mentionné Mme Bérubé.

Le mois dernier, la communauté de Chisasibi avait fait savoir publiquement qu’elle ferait la fouille de cinq sites d’anciens pensionnats sur leur territoire. Le financement qui vient d’être annoncé, par Ottawa, les aidera dans ces recherches. Un mémorial sera érigé en collaboration avec les survivants, leurs familles et leur communauté.

« Les chefs décideront du fonctionnement selon leurs valeurs et coutumes. Nous savons que le Pape François est arrivé au Canada, et arrivera sous peu au Québec. Est-ce que les excuses, présentées cette semaine, suffiront pour les gestes de ses pairs ? Cependant, les séquelles vont demeurer et les communautés touchées se souviendront. Courage, paix, sérénité et espoir pour l’avenir de nos enfants ! a conclu Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou. »

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Source :
Lynda Perreault                                                  

Directrice de bureau                                           

Bureau de Sylvie Bérubé                                     

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