Ouverture des demandes pour le programme Emploi été : Encourager la jeunesse et favoriser le développement

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 12 janvier 2021 –– Les députés d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou et d’Abitibi-Témiscamingue, Sylvie Bérubé et Sébastien Lemire, sont heureux d’inviter les organismes, les entreprises et les employeurs du secteur public à soumettre leurs demandes pour le programme Emplois d’été Canada 2021 (EÉC).

En accordant une aide financière aux employeurs pour l’embauche de gens âgés entre 15 et 30 ans, ce programme contribue à offrir aux jeunes des expériences de travail de qualité, d’améliorer et de développer leurs compétences et de faciliter l’accès au marché du travail pour ceux qui font face à certains obstacles.

« Le programme Emploi d’été est un programme particulièrement intéressant pour notre région, car il tient compte des priorités que nous avons établies localement tout en contribuant à développer des compétences essentielles à notre développement. D’autant plus dans une perspective de relance de plusieurs secteurs affectés par la pandémie, ce programme devient un outil concret pour nombreux employeurs qui souhaitent former la relève dans leur secteur d’expertise. C’est donc en ce sens que nous invitons les employeurs de la région à déposer leurs demandes avant le 29 janvier 2021 », ont déclaré Sylvie Bérubé et Sébastien Lemire députés du Bloc québécois.

Afin de soutenir les demandeurs, des séances d’information sous forme de webinaire sont accessibles aux participants potentiels afin d’obtenir des renseignements généraux sur le programme. Pour de plus amples informations, les employeurs intéressés peuvent s’informer auprès de l’administration du programme via leur site internet :
https://www.canada.ca/fr/emploi-developpement-social/nouvelles/2020/12/csj.html, ou en contactant le bureau du député fédéral de leur circonscription.
– 30 –
Source :
Julie Ouellet Marie-France Beaudry
Adjointe aux communications Conseillère aux communications
Bureau de Sylvie Bérubé Bureau de Sébastien Lemire,
Députée Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou Député, Abitibi-Témiscamingue
418 748-2234 819 763-1915
julie.ouellet.301@parl.gc.ca Marie-France.beaudry.302@parl.gc.ca

LE BLOC PROPOSE UNE SOLUTION IMMÉDIATE

Val-d’Or, 6 janvier 2021, – Le chef du Bloc Québécois et député de Beloeil‑Chambly, Yves‑François Blanchet, ainsi que la députée d’Abitibi-Baie‑James-Nunavik-Eeyou, Sylvie Bérubé, constatent que la gestion des frontières et de l’espace aérien dans le contexte de la pandémie par Ottawa est « davantage un échec qu’un succès ». Yves‑François Blanchet ajoute que « non seulement le gouvernement de Justin Trudeau a manqué de leadership depuis mars et suscité une vive inquiétude au Québec, mais il n’était pas du tout préparé à livrer les vaccins en quantité et en temps opportun, ce que dénoncent les experts en santé. Il a réagi trop tard lors de l’apparition de la mutation du coronavirus au Royaume‑Uni et n’a pas exercé, en temps opportun, avec l’urgence et la rigueur nécessaires les contrôles auprès des voyageurs. Qui plus est, malgré la volonté louable de remédier à la situation, le premier ministre hésite à régler tout de suite et clairement le grave problème de la prime au voyage de 1000 $ qui découle de la loi C‑4 adoptée en septembre ».

Sylvie Bérubé salue aussi la volonté du gouvernement de remédier au problème de la prime au voyage de 1000$, mais précise : « la façon la plus rapide et efficace de procéder est un court amendement législatif à la loi C‑4 qui réserve la prestation (PCMRE) uniquement en cas des déplacements essentiels. Cela exclut évidemment les vacances! »  Si le gouvernement choisit cette voix, le Bloc Québécois est convaincu que le NPD et les conservateurs accepteront de procéder rapidement. Pour ce faire, le gouvernement doit rappeler le parlement. Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou précise que « le rappel du Parlement peut se faire avec moins de 50 députés présents afin d’adopter une motion sur les procédures pour une durée de 24 heures et ensuite voter une loi modifiant C-4 comme les Québécois et Québécoises l’exigent. La faille du PCMRE permet aux voyageurs le montant de 1 000 $. La population est indignée, face à ce cadeau gratuit, pour le retour des voyageurs avec les risques connus quand nous devons rester confiner en étant responsables ! La réaction du gouvernement a tardé à répondre jusqu’à ce que nous dénoncions cette incohérence. Tout à fait logique de réagir comme nous l’avons fait ainsi que la pression populaire pour que le gouvernement se réajuste finalement. Trop peu, trop tard… »

Mme Bérubé précise que cette solution dispose de la prime au voyage de 1000 $, qu’elle évite un règlement unilatéral du gouvernement sans consulter les oppositions, ou de « pelleter vers l’avant la solution jusqu’au moment des impôts à la fin avril ». La députée bloquiste, Sylvie Bérubé ajoute qu’il y aura d’autres gestes à poser : « Il faut qu’Ottawa, comme les États‑Unis et l’Europe, impose le remboursement des billets à des compagnies aériennes qu’il s’apprête à aider généreusement. Il est inacceptable que des gens qui ont acheté de bonne foi un voyage pour leur famille, avant même la pandémie, se fassent dire de renoncer au voyage et à l’argent! Il faut aussi que le gouvernement redonne confiance aux Québécoises et aux Québécois en resserrant les directives aux frontières aériennes comme terrestres pour ne permettre que le commerce et les déplacements essentiels. Il doit aussi, comme les experts le suggèrent, demander des tests au départ et à l’arrivée, et superviser lui-même de façon étroite les quarantaines. 

Dans ce contexte, le chef du Bloc Québécois et Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou assurent Messieurs Trudeau et Rodriguez d’une collaboration sincère parce que c’est sans aucun doute ce que les Québécois attendent de leurs élus.

-30-

Source :

Julie Ouellet

Adjointe aux communications

Bureau Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou

418 748-2234

julie.ouellet.301@parl.gc.ca

Une lettre manuscrite pour nos aînées en établissement

Val-d’Or, 21 décembre 2020 – Cette année, plusieurs résidents et résidentes des différents établissements pour personnes aînées seront contraints à célébrer le temps des fêtes seules sans pouvoir recevoir de la visite.

Considérant la situation actuelle, Mme Sylvie Bérubé, députée bloquiste d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, a tenu à leur offrir un petit moment de bonheur et un peu de réconfort en leur écrivant une lettre manuscrite. Elle l’a fait parvenir avec une petite pensée ainsi que ses vœux des fêtes auprès d’environ trente CHSLD, RPA et RI de la circonscription.

« En cette période de fin d’année, je tiens à dire que vous comptez beaucoup pour nous dans cette difficile crise que nous vivons tous. Votre vécu, votre sagesse et vos combats émérites sont la fondation de ce que nous sommes aujourd’hui. Vous méritez la paix et la tranquillité.  Joyeuses fêtes avec des étreintes virtuelles! » cite Mme Bérubé.

Un appel aux citoyens et citoyennes

Mme Bérubé en profite pour inviter la population, qui le peut à donner, aux différentes banques alimentaires de la circonscription. Les besoins sont plus grands cette année afin d’offrir aux familles une table plus garnie pour souligner le temps des fêtes qui est à nos portes. C’est une belle façon de partager la joie du temps des fêtes tous ensemble et de s’entraider.

« À l’aube de cette nouvelle année 2021, acceptez de tout cœur les vœux les plus chaleureux de mon équipe et de moi-même », mentionne Sylvie Bérubé, députée fédérale d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

-30-

Source :

Lynda Perreault
Directrice de bureau
Bureau de la députée Sylvie Bérubé
819 824-2942
lynda.perreault.301@parl.gc.ca  

La Chambre des communes demande au gouvernement d’augmenter les transferts en santé

Nord-du-Québec et Abitibi-Témiscamingue, 3 décembre 2020 – Yves François Blanchet, chef du Bloc Québécois, Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou et Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue ont salué l’adoption par la Chambre des communes d’une motion du Bloc reconnaissant le travail des professionnels de la santé durant la pandémie
et exigeant du fédéral une hausse durable et immédiate des transferts en santé.

« Il y a eu un vote unanime de l’Assemblée nationale hier pour dénoncer la volonté d’ingérence du fédéral en matière de soins de longue durée et demander une augmentation des transferts en santé. Le premier ministre du Québec et tous les premiers ministres des provinces et territoires se sont exprimés là-dessus sans équivoque. Et maintenant, on ajoute à cela un vote de la Chambre des communes du Canada. Tout ce monde demande une augmentation des transferts en santé de façon immédiate, durable et sans condition. Il va falloir que Justin Trudeau réalise qu’il est fin seul et n’a pas d’allié. Il doit arriver, le 10 décembre, à la rencontre des premiers ministres avec la volonté de s’incliner devant cette demande nécessaire et légitime », a déclaré M. Blanchet.


La Chambre a adopté en date d’hier une motion déposée par le chef du Bloc Québécois saluant « le travail extraordinaire des travailleuses et des travailleurs de la santé pendant la pandémie », reconnaissant « le courage et les sacrifices exigés tant pour eux que pour leurs familles » et constatant « les effets directs » de la pandémie sur les budgets du Québec et des provinces.


Finalement, la Chambre « demande au gouvernement d’augmenter de façon significative et durable les transferts canadiens en santé avant la fin de 2020 afin de soutenir les efforts des gouvernements du Québec et des provinces, des travailleurs de la santé et de la population ». Le Bloc a obtenu l’appui de tous les partis sauf les libéraux.

« Je salue le dévouement exceptionnel des travailleuses et des travailleurs de la santé depuis ces longs mois de pandémie qui perdure. L’impact est majeur en région avec le manque de transfert prévu par le fédéral, ce qui fait mal dans le réseau de la santé avec la perte de main-d’œuvre, l’essoufflement des professionnels en santé, la réorganisation pour assurer les services adaptés et la réaction de la population. Nous devons prévoir l’après-pandémie et nous assurer des services essentiels. Le réseau de la santé subit l’inaction du gouvernement fédéral pour le transfert en santé. Notre motion est adoptée et nous persistons pour que le gouvernement agisse pour l’augmentation des transferts en santé », a conclu Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.

« Concrètement, nous savons que pour chaque dollar dépensé au Québec en santé, il y a à peine 22 sous qui proviennent du gouvernement fédéral. Celui-ci devrait couvrir, en vertu d’ententes historiques, 50 % des dépenses en santé. Nous réclamons dès maintenant une augmentation de 28 G$ des transferts en santé afin de faire passer de 22% à 35% la part d’Ottawa, telle que réclamée unanimement par l’ensemble des provinces. Cela permettra au gouvernement du Québec, en ce temps de pandémie, de pouvoir servir convenablement nos citoyennes et nos citoyens qui ont besoin de soins de santé » a déclaré M. Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue.
-30-
Source :
Julie Ouellet Marie-France Beaudry
Adjointe aux communications Conseillère aux communications
Bureau Sylvie Bérubé, députée ABJNE Bureau Sébastien Lemire, Abitibi-Témiscamingue
418 748-2234 819 763-1915
julie.ouellet.301@parl.gc.ca Marie-France.beaudry.302@parl.gc.ca

Le Bloc Québécois veut étendre la loi 101 aux entreprises de compétence fédérale

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 25 novembre 2020 – Alors que la Chambre des communes est saisie d’un important débat sur le déclin de la langue française au Québec, le Bloc Québécois a déposé un projet de loi pour assujettir à la loi 101 les entreprises de compétence fédérale.

« C’est la première fois que tous les partis à la Chambre des communes reconnaissent le déclin du français au Québec. Maintenant, il faut passer aux actes. Après des décennies durant lesquelles Ottawa a malmené le français en appuyant le démantèlement de la loi 101 au Québec et en favorisant l’anglicisation, nous leur demandons de voter en faveur de l’application de la loi 101 aux entreprises de compétence fédérale » ont déclaré Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou et Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue.

Le projet de loi vise à modifier le Code canadien du travail, la Loi sur les langues officielles et la Loi canadienne sur les sociétés par actions de manière à assujettir les entreprises fédérales au Québec à la Charte de la langue française. Il inclut la reconnaissance du français en tant que langue commune et officielle du Québec, en plus d’un engagement à ne pas entraver l’application de la loi 101 au Québec.

Le chef du Parti conservateur, Erin O’Toole, et le chef du Nouveau parti démocratique, Jagmeet Singh, s’étaient déjà engagés en faveur de la loi 101 pour les entreprises de compétence fédérale. Mercredi dernier, le premier ministre Justin Trudeau a ouvert la porte à joindre ce consensus en déclarant que « nous appuyons la loi 101 dans ce qu’elle fait pour le Québec » en réponse à une
question d’Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois.

« Ce rare consensus à la Chambre des communes sur la loi 101 doit mener à des résultats concrets. Il n’est pas normal qu’il subsiste deux classes de travailleurs et de travailleuses au Québec et que le droit de travailler en français chez nous ne soit pas garanti pour tous », a fait valoir Sébastien Lemire.

Pour sa part, Sylvie Bérubé a comparé le projet de loi à un test pour les partis fédéraux. « Au Québec, la langue commune est le français et c’est de faire du français, la langue officielle du Québec. On protège notre langue depuis quatre cents ans! Il faut s’assurer de sa pérennité puisque la réalité actuelle est le déclin de la langue française au Québec. Protégeons notre langue qui
s’accorde avec la reconnaissance de la nation québécoise. Le sérieux de leur démarche sera jugé en fonction de leurs actions en appui à nos propositions pour soutenir notre langue », a conclu Mme Bérubé.
-30-
Source :
Marie-France Beaudry Julie Ouellet
Conseillère aux communications Adjointe aux communications
Bureau Sébastien Lemire, Abitibi-Témiscamingue Bureau Sylvie Bérubé, députée ABJNE
819 763-1915 418 748-2234
Marie-France.beaudry.302@parl.gc.ca julie.ouellet.301@parl.gc.ca

La stratégie canadienne mal adaptée à la réalité québécoise

Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec, 19 novembre 2020 –– Le Québec n’obtient pas sa juste part de financement pour le développement des marchés des produits du bois, selon Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou et Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue. Alors que la majorité des activités forestières se déroulent au Québec, la stratégie canadienne tend plutôt à privilégier les provinces de l’Ouest.

Effectivement, le Québec se démarque puisqu’on y retrouve 31% des emplois liés à l’industrie forestière au Canada, dont 6 % de tous les emplois du secteur forestier québécois sont en Abitibi-Témiscamingue. Pourtant, pour l’année en cours, on constate que près de 80 % des sommes du Programme de contribution de développement des marchés pour les produits du bois sont allés à des organismes situés en Colombie-Britannique.

Selon Sylvie Bérubé, députée bloquiste, cette situation s’explique par le fait que le programme est mal adapté à la stratégie québécoise en matière d’exportation des produits du bois. « Le Québec peut et fait autrement en se réinventant pour viser une transition plus claire en quête de nouveaux produits, de nouveaux marchés. L’indice de l’économie verte est en explosion mondiale en matière recyclable et c’est une question d’équité pour la valeur future du marché au Québec contre l’engouement fédéral pour l’industrie en Colombie-Britannique ».

Au fil des années, le Québec a été obligé de revoir sa stratégie d’aménagement, d’exploitation et d’exportation en raison du conflit du bois d’œuvre avec les États-Unis, mettant en lumière deux défis importants, soit le développement de nouveaux marchés et de nouveaux produits. Puisque le Québec, à l’instar de la Colombie-Britannique, ne peut se tourner vers les marchés asiatiques, il doit continuer de miser sur la valeur ajoutée de la ressource et le Programme de développement des marchés n’offre pas les mêmes incitatifs en se concentrant essentiellement sur les produits du bois d’œuvre alors qu’il demeure essentiel de diversifier nos marchés pour sécuriser l’industrie. « Il faut absolument miser sur la deuxième et troisième transformation en région, là où l’on retrouve la ressource et où nous devons assurer d’une occupation dynamique du territoire.

De plus, je tiens à réitérer l’importance d’être en lien avec nos institutions régionales et nos centres de recherches qui sont passés maîtres dans la compréhension de la filière et le développement de produits à valeur ajoutée », a conclu Sébastien Lemire en rappelant que les produits à valeur ajoutée offrent des retombées quatre fois plus intéressantes que
le bois d’œuvre.

À propos du Programme de développement des marchés
Le programme vise à développer les marchés internationaux pour les produits forestiers canadiens et à promouvoir une augmentation de l’utilisation du bois dans la construction. À cet effet, le budget fédéral de 2019 prévoyait une enveloppe de 64 M$ sur trois ans pour sa mise en œuvre.


– 30 –
Source :
Marie-France Beaudry Julie Ouellet
Conseillère aux communications Adjointe aux communications
Bureau Sébastien Lemire, Abitibi-Témiscamingue Bureau Sylvie Bérubé, députée ABJNE
819 763-1915 418 748-2234
Marie-France.beaudry.302@parl.gc.ca julie.ouellet.301@parl.gc.ca

Sylvie Bérubé dévoile ses priorités

Val d’Or, le 9 novembre 2020 – Déjà 1 an que Sylvie Bérubé est élue, au sein du Bloc Québécois en tant que députée. Le 21 octobre 2019, Madame Bérubé est devenue la première femme élue dans la circonscription d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou au fédéral. Une grande fierté pour elle de représenter les citoyennes et les citoyens puisqu’elle est native de cette circonscription.


Une première crise autochtone qui a mis en lumière l’exaspération des Premières Nations face à une accumulation de rapports et de promesses sans lendemains, une crise sanitaire qu’il nous faut maintenant apprendre à transformer en opportunité de nous redéfinir, puis une seconde crise autochtone qui s’est rapidement transformée en arme de politique partisane
pitoyable.

Après s’être approprié la circonscription d’Abititi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, elle a pu constater, grâce à son équipe qui prône les mêmes valeurs, les besoins et priorités qui en émanent. Le moment est venu de vous les présenter afin de se propulser dans l’évolution de la crise et soutenir une relance qui devra, avant tout, porter les valeurs québécoises telles qu’elles se vivent dans les régions du Québec.
• Autochtonie
• Pandémie
• Essor économique
• Ressources naturelles

« En étant porte-parole des affaires autochtones, j’étais déçue de n’avoir pu visiter les citoyens et les citoyennes du Grand-Nord au début de la pandémie. L’autochtonie est un dossier qui me tient vraiment à cœur et j’ai pu heureusement y parvenir durant l’été. Je connais maintenant bien mes citoyens et mes citoyennes et je suis convaincue qu’on fera la différence. Je travaille depuis le premier jour, avec mon équipe actuelle, et nous sommes là pour vous! » mentionne Sylvie Bérubé.

En conclusion, l’objectif de la députée Sylvie Bérubé est de rallier l’ensemble des citoyennes et des citoyens de la grande circonscription d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou à unir leurs voix pour militer sur leurs priorités à Ottawa.
– 30 –
Source :
Julie Ouellet
Adjointe aux communications et
Adjointe de circonscription
Julie.ouellet.301@parl.gc.ca
418 748-2234

Une vision d’avenir pour le transport aérien

Abitibi-Témiscamingue, Nord-du-Québec, 6 novembre 2020 – Alors qu’Ottawa n’a toujours pas présenté de plan de soutien pour le transport aérien, le Bloc Québécois, représenté par les députés régionaux Sylvie Bérubé et Sébastien Lemire, ont présenté les propositions tirées du plan de relance du parti afin de protéger ce secteur tout en favorisant l’essor de l’Abitibi-Témiscamingue et des régions du Québec. 

« Tout ce qu’Ottawa fait pour le transport aérien, c’est offrir de l’argent des contribuables à Air Canada sans la moindre condition : pas de remboursement des billets, pas de desserte régionale, pas de reddition de comptes. Il n’y a aucune vision globale. Pour le Bloc Québécois, l’avenir, c’est plutôt favoriser la compétition pour qu’émerge une solution québécoise au monopole d’Air Canada, et ce, afin de favoriser la desserte des régions du Québec à prix raisonnable et le développement de l’économie régionale. C’est aussi soutenir globalement et durablement le secteur de l’aérospatiale alors que le Québec en est le troisième pôle mondial », a fait valoir Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois.

De l’aide pour servir les régions, pas Air Canada

Mme Bérubé et M. Lemire reprochent au fédéral de se comporter en valet d’Air Canada plutôt que de mettre de l’avant un plan de relance pour l’industrie du transport aérien. « En finançant directement Air Canada, mais pas nos entreprises aériennes régionales ni les aéroports, Ottawa favorise un monopole néfaste pour les régions. L’accès à un service aérien fiable et abordable a été mentionné lors du discours du trône, mais ça ne peut pas demeurer des paroles vides ». C’est nuisible pour le Québec et ces régions », ont-ils fait valoir. Le Bloc Québécois propose plutôt :

  • De protéger la qualité des services de nuit de NAV Canada dans les aéroports régionaux, comme celui de Rouyn-Noranda.
  • De soutenir les plans d’affaires des aéroports régionaux du Québec;
  • D’exiger d’Air Canada le remboursement des billets pour les vols annulés;
  • De mettre fin aux pratiques de dumping d’Air Canada empêchant toute compétition;
  • Un moratoire sur la vente d’Air Transat afin de protéger la concurrence;
  • De remettre la part relative de l’aide fédérale à Air Canada au Québec afin qu’elle soit réinvestie dans l’émergence d’une solution québécoise au monopole d’Air Canada;
  • De mettre en place une politique globale, durable et écologique de l’aérospatiale.

« Les solutions existent, mais le fédéral se traîne les pieds. Le Bloc Québécois fait des propositions concrètes pour l’avenir du transport aérien impliquant le développement de nos régions et la protection des fleurons de l’économie québécoise. Nous invitons le gouvernement Trudeau à s’en inspirer », ont conclu les deux députés.

Plan de relance du Bloc Québécois : https://www.blocquebecois.org/plan-de-relance/

-30-

Source :

Marie-France Beaudry Responsable des communications Bureau du député Sébastien Lemire 819 763-1915 marie-france.beaudry.302@parl.gc.caLynda Perreault Directrice de bureau Bureau de la députée Sylvie Bérubé 819 824-2942 lynda.perreault.301@parl.gc.ca    

Sylvie Bérubé rend hommage aux vétéranes et aux vétérans du Québec

Val-d’Or, 5 novembre 2020 — Luc Desilets, député de Rivière-des-Mille-Îles et porte-parole du Bloc Québécois en ce qui concerne les anciens combattants, et la députée Sylvie Bérubé d’Abititi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, soulignent la « Semaine des vétéranes
et des vétérans », qui se tiendra du 5 au 11 novembre prochain, avec comme point culminant le jour du Souvenir.

Cette année, le thème est le 75e anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale. Près de 150 000 Québécoises et Québécois ont servi pendant ce conflit.

« Cette semaine spéciale est l’occasion de rendre hommage à nos vétéranes et nos vétérans du Québec et surtout, de se souvenir avec reconnaissance de celles et ceux qui ont donné leur vie en service au fil des ans afin de défendre notre démocratie », a souligné Luc Desilets.

Les anciens combattants forment une population des plus diversifiées et ils ont participé à plusieurs efforts militaires, autant ici qu’à l’étranger. Ces artisans de la paix ont joué un rôle dans plusieurs opérations de combat, d’efforts humanitaires et de missions de soutien auprès de notre population, comme on l’a vu au début de la pandémie.

Compte tenu de la situation actuelle avec la COVID-19, Sylvie Bérubé déposera, par l’entremise de son adjointe de circonscription, une couronne le 11 novembre 2020 au cénotaphe de Chibougamau dans le respect des consignes sanitaires en vigueur.

« Que ce soit en temps de guerre, de conflit militaire ou de paix, nous avons un devoir de mémoire envers celles et ceux qui se sont battus pour notre liberté à toutes et à tous. Au nom des citoyennes et des citoyens que je représente, je tiens à les remercier de leur service », a conclu Sylvie Bérubé députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou.
– 30 –
Source :
Source :
Julie Ouellet
Adjointe aux communications
(418) 748-2234
julie.ouellet.301@parl.gc.ca

Le Bloc Québécois exige des excuses officielles du gouvernement fédéral

Val d’Or, 2 novembre 2020 – Le Bloc Québécois a déposé une motion à la Chambre des communes exigeant que le gouvernement fédéral présente des excuses officielles aux 497 Québécoises et Québécois qui ont injustement subi les exactions de la Loi sur les mesures de guerre promulguée le 16 octobre 1970 par Ottawa.

Ce 16 octobre, et dans les jours qui ont suivi, des soldats de l’armée canadienne et des policiers ont fait irruption dans des milliers de foyers québécois pour procéder à des perquisitions et des arrestations. Près de 500 citoyens innocents ont été arrêtés sans mandat et des dizaines de milliers d’autres ont été interpellés.

« Le Bloc Québécois est contre toute forme de violence. En octobre 1970, le gouvernement Trudeau a suspendu les droits et libertés au Québec et lancé l’armée contre la population du Québec », a rappelé Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois.

« Des citoyennes et des citoyens innocents ont été menacés, intimidés à la pointe d’une mitraillette, arrêtés et incarcérés dans des conditions qui sont réservées à de grands criminels. Imaginez un seul instant que des soldats armés s’introduisent avec fracas dans votre maison, en pleine nuit, et vous interpellent à la pointe d’une mitraillette… Il s’agit bien ici, d’une violence politique indigne d’une société démocratique. Nous ne faisons pas un retour en arrière, mais il faut se souvenir que le peuple québécois n’a pas eu à subir et qui ne doit plus vivre ses pressions injustes du gouvernement fédéral! », a signalé Sylvie Bérubé, députée bloquiste.

« Le gouvernement fédéral, ce même gouvernement qui se proclame contre la violence et l’extrémisme à travers le monde, doit faire montre de compassion à l’égard des 497 citoyens québécois ainsi qu’à leurs familles qui ont vécu des moments de terreur et qui ont dû vivre avec les séquelles de ces agressions. C’était inadmissible il y a 50 ans et ça l’est toujours aujourd’hui. Ottawa doit s’excuser », a conclu la députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik- Eeyou, Sylvie Bérubé.

Voici le texte de la motion déposée par le Bloc Québécois :
« Que la Chambre réclame des excuses officielles du premier ministre au nom du gouvernement du Canada pour la promulgation, le 16 octobre 1970, de la loi sur les mesures de guerre et le recours à l’armée contre la population civile du Québec afin d’arrêter de façon arbitraire, d’incarcérer sans accusation et d’intimider près de 500 Québécoises et Québécois
innocents. »
– 30 –
Source :
Julie Ouellet
Adjointe aux communications
(418) 748-2234
julie.ouellet.301@parl.gc.ca